- Le Royaume d'Arendelle -
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sapin
sapin
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Ah, la vie d'étudiante... Empty Ah, la vie d'étudiante...

Dim 30 Aoû 2015, 11:33
Il est temps d’ouvrir une section différente 


Bon, c’est un premier chapitre assez court, faut bien le dire, mais on va baser cette petite série par des moments de sœur, il y aura parfois de la jalousie, sûrement des larmes, ça dépendra surtout de l’inspiration (car c’est jamais beau d’écrire les larmes d’une femme, alors deux qui couinent, c’est carrément honteux, sourire).

Et si nos héroïnes vivaient à notre époque. Bon va tout de suite faire quelque Entorse à la règle

1 Elsa est bien la sœur d’Anna.
2 Elsa est normal donc elle ne maîtrise pas, la glace ça, c’est fait. Elles sont super-copine, genre je partage tout, même, les mecs, faut voir. Elles viennent de province et suivent des études à paris, Elles louent un petit meublé en banlieue, proche de paris, grâce à l’argent donné par les grands-parents. L’aîné veut être actrice (non pas genre Clara Morgane), actrice ou monter sur les planches, la cadette est plutôt rêveuse et veut surtout écrire des romans policiers elle adore ça, résoudre des énigmes c’est son passe-temps favori.
Leurs seuls amis Connu sont
Kristof un voisin plutôt sympa, il en pince à mort pour Anna, mais ne crache pas contre un coup avec la grande, Olaf et le surnom du petit frère de Kristof qui s’appelle en réalité, Olivier (je n’y peux rien moi, mon prénom commence par O et si vous n’êtes pas content c’est pareil na)

Rassurez-vous on ne va pas les voir souvent en cours, non pas qu’elles ne soient pas studieuses mais un peu d’aventure c’est pas mal non plus, BON ON SE CALME, des aventures de fesse y en a de prévu mais elles seront plus softs hein, quoi que.


Elsa : tu as fini de causer
L’auteur : non
Anna : moi ça craint là tu ouvres cette p***** de porte !
L’auteur : Elsa, calme ta sœur s’il te plaît,
Elsa : si je veux
L’auteur : OK entrer, c’est à vous
Elsa et Anna ensemble : ah quand même

Chapitre I
Une soirée banale

Elsa : tu baisses la télé Anna m*rde, Kolanta ras-le-bol
Anna : eh c’est vachement bien comme concept, c’est des mecs ils font des épreuves et il y en a d’autres qui les éliminent, enfin bon je ne comprends pas tout le jeu mais les paysages c’est géant.
Elsa : tien j’ai un défi fait la vaisselle en attendant.
Anna : Rrraaa ok, j’arrive. Anna passe derrière sa sœur et lui tape les fesses : p’tite fesse.
Elsa : eh j’te ne permet pas ok.

Bon ces échanges un peu braillards cache en fait une certaine complicité et….
Elsa : stop l’auteur, j’explique y a deux trucs que je veux pas qu’on raconte, primo que j’ai des p’tites fesse et deuxièmement que je suis plate.
Anna : tien c’est vrai, je comprends mieux pourquoi tu prends des sous-tifs rembourrés.
Elsa : hé pitié, ne dite pas que ma sœur touche ce qu’elle veut en mec.
L’auteur : bon euh et si on revenait à l’histoire, Anna tu fais la vaisselle.
Anna : hé ne pousse pas pépère, je complimente ma sœur sur ces formes généreuses
Elsa (mi-boudeuse) traîtresse.
Anna : bon pouce ton popotin, que je fasse la vaisselle.
Elsa : m’en fou j’ai pris le dernier carré de chocolat
Anna : quoi ! Tu as bouffé ma tablette de Krunch
Elsa : ça, c’est pour m’avoir dit que j’avais de petites fesses.
Anna : OK, puisque c’est ça demain Jonathan, je me tape quand je veux.
Elsa : Anna, pas touche, chassé gardé
Anna : (tout en faisant la vaisselle) gnagnagnagnagna.
Elsa : tu fais ça Anna je te pourris la vie pour une journée.
Anna : Elsa, je te charrie, toute façon il est moche et c**, je ne vais pas sortir avec des cons.
Elsa : euh au faîte le voisin là dans l’ascenseur il a l’aire de t’avoir fait de l’effet.
Anna : Ah tu crois
Elsa : oui je crois et je vais le surveiller.
Anna : euh tu veux voir quoi à la télé ?
Elsa : je ne sais pas.
Anna : bah on zappe et on verra ce qu’on trouve.
Elsa : si tu veux, aller viens sœurette j’ai un petit quelque chose pour toi
Anna : c’est quoi ?
Elsa : bas tu le seras quand tu seras à côté de moi.
Anna s’assoit près de sa sœur
Elsa : tien cadeau.
Anna : c’est quoi.
Elsa : surprise !!!!

C’est une Boîte rectangulaire, plutôt légère, entourée d’un papier cadeau argenté avec des petits cœurs bleus.

Anna : les cœurs tu n’étais pas obligé tu sais
Elsa : y avait que ça en papier cadeau.

Anna déchira le petit paquet : Ouah c’est un ordinateur, il est mimi
Elsa : c’est pour m’excuser d’avoir démoli ton précieux, ainsi que t’est écrits
Anna : c’est magnifique, il est léger, cool c’est une pomme, ah Ba tu vois je vais récupérer mes écrits. Merci Elsa, merci beaucoup. Mais tes économies.
Elsa : bof t’inquiète il m’en reste un peu.
Anna : arrête t’a plus rien, j’en suis sûre :
Elsa : ce n’est pas grave, je vais bien finir par trouver quelque chose.
Anna : c’est super gentil, mais je peux écrire à la main tu sais.
Elsa : écoute de nos jours il faut savoir vivre avec son temps tu te débrouilles avec les machines moi, pas vraiment et puis tu me le prêteras pour que je puisse faire des recherches sur internet.
Anna : il est déjà à toi. Tu me dis simplement quand tu l’empruntes ok.
Elsa : ça marche. Bon, je vais me coucher, un coup à la salle de bains et après dodo.
Anna : bonne nuit Else
Elsa : bonne nuit princesse.

Anna passa quelque temps à utiliser son nouveau cadeau, puis décide que pour elle aussi c’était l’heure de dormir, un coup à la salle de bains, puis passa discrètement voir si ça sœur dormais bien, referma la porte et parti dans sa chambre et s’endormit bien vite.
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Ah, la vie d'étudiante... Empty Re: Ah, la vie d'étudiante...

Dim 30 Aoû 2015, 17:15
Bon ..x)

Heu .. et bien je ne sais pas quoi te dire. J'ai l'impression que c'est un peu vite fait à l'arrache. En fait le problème c'est qu'il y a beaucoup d'oublis. Non pas de mots, mais dans l'histoire en elle même. Il faut déjà faire un prologue ou un petit résumé pour mettre dans le bain le lecteur. Une histoire n'est pas raconter comme dans la vraie vie et il faut savoir bien écrire des beaux textes. Il y a quelques petites erreurs mais rien de grave ce qui est un bon point. N'oublis pas les points et majuscules c'est l'une des règles de base !
l'idée de faire parler l'auteur avec les personnages est bien mais il faut savoir bien écrire !

Bref faut que je vois la suite pour voir se que sa donne.
sapin
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Ah, la vie d'étudiante... Empty Re: Ah, la vie d'étudiante...

Dim 30 Aoû 2015, 18:38
Merci je tien compte de la remarque, je reconnais ne pas êtres un grand scénariste en même temps un beau texte reste subjectif ceci dit tes remarques me touche, parce qu’au moins tu as pris le temps de lire et c’est déjà un bon point.

Bon parlons des choses qui "fâchent" (les guillemets sont importants)

Le prologue d’abord, conscient du problème j’ai opté pour une tactique en deux temps

Dans le premier chapitre on a surtout Elsa qui se décrit, mais dans le second, ce sera Anna.

Mais s’il fallait un prologue et si c’est plus adéquat, je me ferai un plaisir de faire un prologue, mais là où tu as un peu raison c’est le terme fait à l’arrache, je suis assez imaginatif ça me sert pas mal dans le mielleux ou je travaille, pris entre le monde numérique et le monde disneyens ça permet beaucoup d’excentricité, mais aussi pas mal de sources de tout horizon, certes je serais jamais Edmond restant mais l’ai-je prétendu une fois, certainement pas.

En tout cas, merci.
sapin
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Ah, la vie d'étudiante... Empty Re: Ah, la vie d'étudiante...

Lun 31 Aoû 2015, 21:00
Certains ont eu le bon goût ou mauvais de lire cette nouvelle section

On m’a reproché qu’il n’y avait pas de prologue, bon reproché est un grand mot, faut pas exagéré non plus.

Mais sachant que certains fonds de très joli prologue et qu’en général, votre imagination me permets d’avoir un peu d’aires frai, merci, c’est très agréable, ne voulant pas faire le ronchon de service, je vais sagement vous faire un prologue. D’autre part cette même personne m’a reproché, non, non, je vous jure elle ne m’a pas tapé, me reprochait donc le côté un peu à l’arrache. Alors j’ai décidé de modifier l’histoire par rapport à celle qui a été postée au paravent, je ne changerais plus c’est promis, mais comme il faillait poser des jalons et leur donner du corps autant donné un peu de quoi leur donner de la couleur.

Nous sommes en 2015, oui ça, je sais, vous le savez déjà. On va prendre les Âges de nos héroïnes, si on part du principe qu’au moment du film Elsa à 21 aujourd’hui elle en aurait 23, et donc que sa cadette en aurait 20. Elles sont sœur, mais il peut arriver que certains personnages qui graviteront autour d’elles croiront qu’elles sont ensemble, elles en joueront bien évidemment, histoire de faire tomber les préjugés, un manifeste sera d’ailleurs écrit par Anna sur le « choix de paraître et d’apparaître » ce sont deux filles de notre temps, le smartphone et ordinateur sont un quotidien permanent, inventive et rebelle en même temps elle ne rêve pas moins que de bien réussir leur vie de jeunes adultes de pouvoir s’émanciper l’une de l’autre en espérant qu’elles seront toujours ensemble quoi qu’il arrive. Y arriveront elle, sûrement, mais comme le dira sans doute Elsa « la vie est un chemin de croix, on pense pouvoir porter ses problèmes toute seul, et finalement on s’aperçoit que c’est les autres qui les porte »

L’histoire a été remaniée, pour diverses raisons, mais principalement parceque j’attachais trop d’importance au dialogue, et que du descriptif serai mieux, donc pour ceux qui ont lu le premier texte je m’en excuse mais c’est pour la bonne cause Pour les autres je vous remercie de faire toutes les remarques utile ou inutile, parfois dans l’inutilité on trouve toujours quelque chose d’utile

je reprendrais un peu plus tard la vie de château qui subira lui aussi un lifting


Prologue.

Nous sommes en fin d’été, on doit reprendre nos activités de citadine. Nous sommes dans une famille bordelaise, qui ont un vignoble pas forcément classé mais très respectable, en tout cas nos parents nous disent que si nous avions envie de vendre on n’aura pas beaucoup de souci d’argent.

Ma mère s’occupe de la comptabilité et la partie négoce, mon père et plus à s’occuper des vignes, bon il n’est pas tout seul, mais il est souvent dehors. Moi c’est Elsa, j’ai 23 ans, je suis blonde presque albinos yeux bleue, c’est très fatiguant au moment des journées de soleil, le bronzage est presque proscrit, je deviens rouge rapidement et les coups de soleil, je ne vous raconte pas, je suis réservé, j’ai peu d’amis, mais ceux qui font partie de ma troupe sont de vrais amis, ils savent mon petit secret, il s’en moque un peu juste pour me faire charrier, mais ce secret et que j’aime énormément ma sœur, je lui céderais tout, oui tout, c’est mas mascotte, ma confidente, mon punching-ball, j’aime la lecture, les champs et j’aime faire mon jogging autour du parc de la maison et j’adore taquiner ma sœur. Ma sœur justement que dire de ma sœur, elle est extra elle à 20 ans c’est le contraire de moi, excentrique, ouverte, généreuse, bien que je le sois aussi, mais je le montre moins, elle est toujours fourrée dans des situations pas possible, brillante, voire très brillante, vous en connaissez des gens capables d’avoir son bac à 16 ans, avec mention, moi pas, je l’ai eu à l’âge normal 18 ans, elle est mature et rigolote, En fait c’est assez compliqué de parler de quelqu’un qu’on aime, parce qu’on a tendance à ne dire que les qualités de celle-ci, elle est un peu plus petite que moi, rousse, mais roux, avec une pointe de blondeur vénitien. Elle a les cheveux assez long et adore ce faire des nattes, mais en fait elle adore jouer avec ses cheveux, leur donner des formes bizarres, c’est une fille très étrange elle arrive à penser à plein de trucs à la foi, elle est musicienne, le piano et le violon c’est son truc, elle à l’oreille absolue, pour ceux qui ne savent pas c’est une personne qui est capable de reconnaître un son ou une note, dans le cas de la musique, et de la nommer sans échelle préalablement définie. Si vous voulez quand vous jouez une note de la gamme du piano elle est capable de vous dire l’octave et la note sans avoir besoin de voir ou elle se situe sur le clavier. Elle travaille, enfin je veux dire elle à décrocher un emploi à disneyland paris, pour s’occuper des thèmes à assembler pour les différentes parades, bien que celle-ci sont codifié par la maison mère, associer les ambiances, les intermèdes et autre festivité en tout genre et un boulot fort intéressant. Si elle à été repérer c’est parce que cette folle à envoyer un CV et avait simplement dit comme motivation : si la musique avait un prénom, ce serait Anna. Fière sa missive elle l’envoi, on a bien rigolé, mais ce fut autre chose quand ils ont voulu la rencontrer pour un stage qui à déboucher sur un emploi. Donc depuis deux ans ma sœur vit à paris, mais comme on ne peut pas vraiment se passer l’une de l’autre elle m’a embarqué dans sa galère enfin je dis galère, c’est un euphémisme on est super-contente d’être ensemble pour le logement on avait deux solutions, soit on vivait dans une sorte de studio aménagé pour les employés du parc, mais alors bonjour l’intimité, ma sœur n’est pas pudique, enfin ça dépend quoi, mais moi par contre, c’est horrible, si je suis nue c’est toute seul ou alors en présence de ma sœur. Ou habité dans les nouveaux petits logements du val d’Europe, On a choisi cette option, enfin, surtout ma sœur, bien qu’il faille reconnaître que c’est très très très chiant le soir. Moi qui rêvais de faire du théâtre, j’ai réussi, moi-même à me faire intégrer dans les shows du genre, les princesses Disney et tout ça et je mets de côté pour aller au cours Florent., je veux être comédienne ou chanteuse, mais comédienne on a moins de clichés. On vit notre vie de bohème un peu au fil de l’eau, mais pour ce lancer se fut pas simple, ma sœur et moi voulions tellement être ensemble que pendant six mois nous cherchions un moyen de travailler ensemble, mais très vite nos parents voyait qu’on cherchait surtout à fuir les réalités de la vie nous ont simplement dit « mais si vous amuser vous plaît, faites-le, mais assumez-le aussi » Là on a compris qu’il nous aimait bien mais qu’il va falloir qu’on se bouge les fesses et c’est là que ma sœur à dit qu’elle va réfléchir à essayer de rentrer à disneylande paris pour jouer du piano dans les hôtels faire des événements, pas folle quand on a un sacré bagage en piano quelque concours en poche et que de toute façon faut bien rentrer un peu d’argent pour financer ses études à la Sorbonne, elle, c’est dit un stage d’été et on verra après et me regarde et me demande : et toit ? Et mon vulgaire : je ne sais pas, elle m’a poussé à réfléchir et elle a eu raison, certes je n’ai pas écrit directement tout de suite, mais elle a su convaincre mes parents de nous laisser partir toutes les deux, elle avait pour mission de me réveiller un peu.

L’histoire que nous vous raconterons et le chemin, mon chemin, moi Elsa je dédis cette histoire à ma chère sœur qui bien qu’elle soit ma cadette et ma grande sœur en de bien nombreuse circonstance.

petit détaille
lorsque ce sera le point de vue de l'une de nos chère héroïne, elle sera annoté ainsi

Anna
et le texte de l'histoire continue.

coupvray est une ville qui existe elle est en seine-et-marne son principal lieux d'attrait et la maison natal de Louis braille, mais pas que
https://fr.wikipedia.org/wiki/Coupvray

les voluntEARS existe aussi
http://corporate.disneylandparis.fr/entreprise-citoyenne/mecenat/engagement-walt-disney/disney-voluntears.xhtml

bonne ou mauvaise lecture. je vous salut bien bas
Chapitre I
Une soirée banale

Elsa : tu baisses la télé Anna merde, Kolanta ras-le-bol
Anna : eh c’est vachement bien comme concept, c’est des mecs ils font des épreuves et il y en a d’autres qui les éliminent, enfin bon je ne comprends pas tout le jeu mais les paysages c’est géant.
Elsa : tien j’ai un défi fait la vaisselle en attendant.
Anna : Rrraaa ok, j’arrive. Anna passe derrière sa sœur et lui tape les fesses : p’tite fesse.
Elsa : eh j’te ne permet pas ok.

Bon ces échanges un peu braillards cache en fait une certaine complicité et….
Elsa : Anna j’ai déjà dit qu’il y a deux trucs que je ne veux pas qu’on dise, primo que j’ai des p’tites fesse et deuxièmement que je suis plate.
Anna : tien c’est vrai, je comprends mieux pourquoi tu prends des sous-tifs rembourrés.
Elsa : Anna !!!!
Anna : hé ne pousse pas mémère, je te complimente sur tes formes généreuses
Elsa (mi-boudeuse) traîtresse.
Anna : bon pouce ton popotin, que je fasse la vaisselle.
Elsa : m’en fou j’ai pris le dernier carré de chocolat
Anna : quoi ! Tu as bouffé ma tablette de Krunch
Elsa : ça, c’est pour m’avoir dit que j’avais de petites fesses.
Anna : OK, je me vengerais un jour ou l’autre
Elsa : ça, c’est passé comment.
Anna : (tout en faisant la vaisselle) chiant, non je rigole on n’arrête pas de travailler sur des trucs de la reine des neiges avec leur fête givrée
Elsa : ne m’en parle pas, remarque pour une fois je suis dans mon élément, tien regarde je m'appelle Elsa, je suis blonde canon, et je ressemble a peu de chose prêt à la reine des neiges.
Anna : c’est marrant, ils n’ont pas osé me demander, moi c’est Anna, je suis rousse et je suis super-méga canon et je suis brimé par ma sœur qui s’est enfermée dans son mode de glace.
Elsa : Moi je sais, il ne te trouve pas super, giga canon. euh au faîte le voisin là dans l’ascenseur il a l’aire de t’avoir fait de l’effet.
Anna : Ah tu crois
Elsa : oui je crois et je vais le surveiller.
Anna : (vite il me faut un autre sujet) euh tu veux voir quoi à la télé ?
Elsa : je ne sais pas.
Anna : bah on zappe et on verra ce qu’on trouve.
Elsa : si tu veux, aller viens sœurette j’ai un petit quelque chose pour toi
Anna : c’est quoi ?
Elsa : bas tu le seras quand tu seras à côté de moi.
Anna s’assoit près de sa sœur
Elsa : tien cadeau.
Anna : c’est quoi.
Elsa : surprise!!!!

C’est une Boîte rectangulaire, plutôt légère, entourée d’un papier cadeau argenté avec des petits cœurs bleus.

Anna : les cœurs tu n’étais pas obligé tu sais
Elsa : y avait que ça en papier cadeau.

Anna déchira le petit paquet : Ouah c’est un ordinateur, il est mimi
Elsa : c’est pour m’excuser d’avoir démoli ton précieux, ainsi que t’est écrits
Anna : c’est magnifique, il est léger, cool c’est une pomme, ah Ba tu vois je vais récupérer mes écrits. Merci Elsa, merci beaucoup !
Elsa : ça te fait plaisir ?
Anna : (si ça me fait plaisir, nom mais elle rêve, c’est le mac book que je voulais à noël et que je n’ai pas peu commandé faute de temps, bon j’en avais un mais Elsa à rien trouvé de mieux que de jouer à la bataille d’eau et bien sûr l’ordi n’était pas loin et bon vous savez, l’eau et les ordinateurs ce n’est pas vraiment un truc génial à faire) je suis trop super-contente.
Elsa : bon bah comme ça, j’ai réparé mes bêtises..
Anna : c’est super-gentil, mais je pouvais écrire à la main tu sais.
Elsa : écoute de nos jours il faut savoir vivre avec son temps tu te débrouilles avec les machines moi, pas vraiment et puis tu me le prêteras pour que je puisse faire des recherches sur internet.
Anna : il est déjà à toi. Tu me dis simplement quand tu l’empruntes ok.
Elsa : ça marche. Bon, je vais me coucher, un coup à la salle de bains et après dodo.
Anna : bonne nuit Else
Elsa : bonne nuit princesse.

Anna passa quelque temps à utiliser son nouveau cadeau, puis décide que pour elle aussi c’était l’heure de dormir, un coup à la salle de bains, puis passa discrètement voir si ça sœur dormais bien, referma la porte et parti dans sa chambre et s’endormit bien vite.


Chapitre II
Quand une fille est belle c’est qu’elle est forcément idiote
(Rassurez-vous ça sonne faux)

8 heures (Elsa)
Généralement c’est moi qui me lève en premier et donc je prends soin d’éviter de réveiller ma sœur qui dort comme une marmotte, j’entends quelque ronflement bien bruyant, je plains d’avance le type qui couchera avec elle. Je l’aime bien cette sœur, parfois je me demande si je pourrais vivre sans cette boule de nerfs sur patte. Je commence à préparer le lait chaud, le chocolat, on en raffole, je mets quelque tartine à griller et je commence méticuleusement à réfléchir sur notre journée, Anna doit aller avec une association volumtEARS* à a faire chanter des enfants dans des écoles et les hôpitaux elle adore ça, Moi le service je le prends en fin de matinée et c’est parti pour du « Elsa, une photo et fait tombé de la neige » je ne sais pas faire tomber la neige, mais quelque confetti et un peu d’imagination, les enfants sont plus magique que mes petits sourires de princesse. je n’oublie pas mon rêve de comédienne, mais a force je me demande si je ne vais pas essayer de faire quelque chose dans cette cité pleine de magie.
je me lève prends ma tablette laisser la veille négligemment sur le canapé et commence à regarder l’était de mes comptes, pas terrible, je regarde les comptes de la princesse, ça va, contrairement aux idées reçut, ma sœur es d’apparence folle, taré, barge, excentrique, déjanté, mais au finale sait gérer ses affaires, elle a pris goût à boursicoter de temps en temps, mais pas trop ces derniers temps comme elle dit, « c’est pas bon, j’ai reprend mes mises et je passe à autre chose pour le moment, quelque chose de plus concret. » On a eu notre bac, enfin ma sœur l’a eu en tricotant, je crois bien n’avoir jamais vu ma sœur fourrée dans un bouquin, mais en fait je ne regarde pas assez souvent ma sœur travailler, elle comprend vite les choses et en fait elle m’a un jour déclarer « c’est la nuit que je travaille, comme ça, je peux profiter de toi et t’aider » Au que oui elle m’a aidée pour la philo, le français ça va, je m’en sors plutôt bien, mais les math et la section littéraire, on a bossé ça ensemble, en fait elle faisait ses devoirs et s’appliquait à bien m’expliquer pour les miens. Bref, le boulot on connaît et ce n’est pas ça qui va nous faire peur. Il faut que je mette de l’argent de côté, Anna pourrait payer mes cours, Florent mais question de fierté, je ne lui demanderais rien. je me déconnecte de son compte en banque. Vous vous dites que si je peux regarder ses comptes, elle peut en faire autant, c’est juste, mais elle n’a jamais fait de remarque sur mes dépenses.

Nous sommes deux sœurs, on aurait presque préféré être jumelle, mais à défaut on se comporte comme. Au bien sûre, il arrive qu’on se chamaille, et beaucoup plus qu’on ne veut le croire, mais jamais au grand jamais je ne laisserais ma sœur dans la panade ou quoi que ce soit, c’est ma sœur et gare à celui qui oserait faire le malheur de cette dernière. Moi ma grande faiblesse c’est le manque de confiance en moi, je pouvais passer des heures à rester dans un coin plutôt que de faire le premier pas, ça ma jouée des tours, mais ma sœur à parfois arrangé de situation plutôt cocasse. Vous en connaissez des sœurs qui vont voir le mec que vous convoitez pour lui demander de faire le premier pas sinon il n’y aura rien. Là ou ma sœur est plus réservée c’est quand je lui ai demandé de voir Sébastien si ça le tentait de coucher avec moi, j’avais très envie d’essayer, mais là il a été plus nuancé. Ma sœur a eu le bon goût de ne jamais me donner la réponse pendant quelques moi le temps que je comprenne en fait qu’il ne voulait pas et puis elle m’a rétorqué que je devrais un peu gérer mes histoires de cœur. Sur ce point je suis d’accord. Mais ce Jonathan a le don de réveillé mes sens il a l'aire si attentionnée, si ouah. Que pour une fois je me dis que c’est peut-être le bon moment de sortir la femme de sa chrysalide. Ma sœur c’est autre chose, elle a su dépasser ces angoisses. Bref Comment décrire ma sœur, derrière son côté excentrique se cache une personne sensible généreuse, ouverte, très tolérante ça phrase fétiche « l’amour est un cadeau, qui n’ai jamais garantie, il suffit d’un rien pour qu’il nous quitte », elle est assez fleur bleu par moments et s’imagine parfois que tout le monde veux le bien de son prochain, mais elle a vite déchanté à certaines occasions, un drame peu enviable c’est produit dans son lycée il y a un an et retrouver cette fraîcheur quand elle parle de garçons est une revanche sur les événements qui l’ont pour un temps renfermé sur elle-même. Eh oui, un viol ça marque, mais c’est avec un aplomb peu commun qu’elle a d’abord su en parler à papa et maman et surtout à moi, Nos parents ont eu la réaction attendue posée et mesuré, on porte plainte, tu vas voir un psy si tu en besoin et surtout tu en parles. Cette sœur est épatante combien de nos camarades ou amie, bon on en a pas beaucoup non plus qui se font violer est fort heureusement, mais Julie et Vanessa qui sont passés par le même rigolo, sont plus réservés. C’est certain sa marque et quand elle a eu la force elle est aller voir ce, je ne sais comment qualifier cette personne, ce monstre et devant une douzaine de lycéens, elle là carrément, paraît il, brillamment mis un coup de pied dans les parties intime, ça fait mal, mais heureuse de l’infortune de ce dernier elle entreprit de lui pincer a ne plus en avoir la force ces petites boulettes comme elle aime à le dire, se Hans il est pratiquement sûr de ne jamais pourvoir faire quoi que se soit après. À partir de ce moment-là, Ça là disons, libéré, délivré et le soir, rentrant dans ma chambre elle me dit, « maintenant je peux avoir une sexualité à peu près normale. » C’était peu dire cet effronté, elle regardait un garçon, le chauffait un peu et hop c’était plié. Mais c’était pas souvent que Madame partait en chasse les allers et venu de mec c’est plutôt tranquille dans l’appartement. Tien, ma sœur se réveille, je crois qu’il va falloir que je la joue cendrillon (rire), elle est radieuse dans sa petite chemise de nuit et ces cheveux en broussaille.

Anna : (s’en décrochant la mâchoire) bien dormit Else.
Elsa : j’ai connu mieux, mais ça va.
Anna : Jonathan
Elsa : peut-être
Anna : OK je prends, qu’est-ce que tu trouves à ce type.
Elsa : Anna, tu as ton rendez-vous à quel heur ?
Anna : change pas de sujet, veux-tu, ça fait trois moi que je te vois tourné autour, sort avec lui, je te vois bavé devant lui ces derniers temps, que je n’ose être ton lit
Elsa : Anna !!
Anna : quoi, c’est vrai, tu sais ce que disaient les gars du lycée sur toi, miss coincé ! Et je ne te parle même pas des remarques plus blessantes les unes que les autres, elle est lesbienne, elle n’a jamais……..
Elsa : ça va merci, comme tu peux le constater, je mange et tes descriptions répugnantes vont finir par avoir raison de mon appétit, alors préparé toi et vas t’amuser ailleurs
Anna : (s’approchant d’elle) euh si tu veux je peux t’arranger un coup avec Jonathan.
Elsa : tu n’arranges rien du tout, compris
Anna : si on peut plus rendre service…….
Elsa : en fait j’aimerais surtout que tu n’en fasses pas trop.
Anna : Aie c’est moi. Je t’arrange ça et tu pourras montrer à Jonathan la douceur de tes charmes.
Elsa : qu’est ce que tu vas lui raconter,
Anna : je n’ai pas encore réfléchi, faut que j’y aille mais attends-toi que ce soir tu sois en charmante compagnie avec ton Jonathan.


10 heures Anna
Mince je suis en retard, c’est tout moi, je sors des chez nous, je prends le bus, direction le lieu de rendez-vous c’est dans ce même bus que je me rends compte que me suis trompée de téléphone j’ai celui de ma sœur, je lui avais pourtant dit de choisir un téléphone d’une autre couleur je ne sais pas moi, gris sidéral, mais non elle voulait blanc, comme ses cheveux et moi j’avais pris blanc, justement pour me rappeler ses cheveux et pour rajouter un peu de trouble son fond d’écran est une photo de moi petite, je devais avoir 8 10 ans quant à moi mon fond c’est une photo d’elle à 15 ans en chemisier bleu et un short en jean, je me rappelle cette photo, Elsa voulait une photo d’elle le jour de son anniversaire. Bref : tan pis ce sera mon téléphone de la…… Putain j’ai une idée de folie, Jonathan, elle veut sortir avec Jonathan, ce crétin, ce bouffon je vais le chauffer, pas trop quand même, mais juste assez pour qu’il ait envie de lui demander de sortir avec elle. Bon, pour connaître son adversaire faut voir les SMS, je sais ça ne se fait pas mais c’est ma sœur, alors, je peux. Bon voyons, il l’a appelé, je regarde quelques messages et là je reste verte

Le répondeur : Euh salut Elsa je sais pas mais des potes mon dit que t’étais sûrement bonne et euh je veux sortir avec toi et répond.

Il veut Elsa comme un vulgaire tableau de chasse, Moi quand je sors avec un mec ce n’est pas souvent d’accord mais au moins j’ai la décence de rester à peu près ami avec eux, j’ai du respect pour eux et en général ils me le rendent bien, ce n’est pas des super copains, mais bon on peut sortir en boîte et ce dire que bon on n’ira pas plus loin. Mais ce Jonathan, je crois revoir le Hans de mon lycée. Ah non ça mon vieux, tu ne vas pas faire ça à ma sœur et je vais me charger de toi. C’est Elsa qui va être déçue. Bon, je

Je sors de mon bus comme une furie, je file au dressing prendre ma tenue et je rejoins mes collèges, Ah oui je me présente, je m’appelle Anna, oui bon ça va je sais vous le saviez déjà. Je suis là sœur d’Elsa, je mène ma vie un peu comme une barque sur un fleuve en faisant attention de ne pas trébucher sur les ennuis de la vie. Je suis une éternelle rêveuse, et j’ai tendance à penser que le monde devrait être gentil, vous le saviez aussi, Ah c’est Elsa qui vous là dit, très bien, que vous a-t-elle dit d’autres ? Les expériences de la vie ne m’ont pas donné raison tout le temps, j’en parlerais peut-être un jour, mais pas là c’est disons un peu personnel. J’écris des livres, enfin j’essaie, mais la plupart du je fais de la musique et j’apprends mon métier de « musicienne de show ça consiste à animer de façon musicale des événements de tout type en rapport avec Disney, enfin c’est comme ça que je parle de mes compétences, écrire des livres ça ne rapporte pas toujours, alors faut que je bosse. J’avais une passion au départ pour le journalisme, depuis que je suis aux lycées j’ai mis sur pied le journal du lycée avec les camarades de ma classe, puis mais mes professeurs mon largement encouragés à travailler dans tout ce qui touche à la musique, depuis je navigue entre hôpitaux, sensibilisation et porteuse de bonheur auprès d’association et quand j’en ai le temps je fais un peu de soutien scolaire dans une école primaire à coupvray, c’est pas facile, c’est loin mais bon j’apprends aussi faut pas croire. je reconnais être une enfant surdouée, mais j’ai vite compris que faire la miss je sais tout ça agace le monde. Elsa m’a un jour conseillé de faire simple, « Anna n’étale pas toujours tes connaissances, tu lis c’est un fait, tu es curieuse, c’est génial, mais la plupart du temps, les gens sont stupide, comme les garçons par exemple. » Oui comme les garçons j’ai connu de vrai crétin et d’autres beaucoup plus cool. Elsa croit que je couche avec n’importe qui, bon je vais rétablir une info ERRONÉE, j’ai depuis mon lycée couché avec trois mecs et ça a duré maximum 4 mois, après il trouve que je suis folle ou ils vont sémarroucher sur une copine bien plus greluche. C’est à croire qu’il préfère les filles bêtes.


18 heures Anna
Je suis crevé, mais j’ai pas oublié mon plan, entre-temps Elsa, c’est rendu compte qu’elle se baladait avec mon portable et a intercepté une communication de notre oncle qui demandais à me parler, hi hi hi, ba il a du être surpris le tonton, il vient à l’appart avec notre cousine Giselle, on va encore se marrer, c’est pas sûre qu’on dorme encore ce week. Bref j’ai un petit compte à régler avec ce Jonathan.

je l’appel et sachant à peu de chose près imiter ma sœur au tel ça va baver mon pote d’abord du va la voire monté et après ton estime va baisser d’un coup.

Anna (Elsa) : allô Jonathan
Jonathan : Oooooh Elsa, c’est cool tu m’appelles je suis chez moi et si tu veux on a qu’a se retrouver à café l’armurier en bas de chez toi et après on improvisera.
Anna : oui si tu veux OK je prends juste le temps de me changer et j’arrive, j’ai hâte tu sais.

Gros con, il croit déjà que je vais aller dans son plumard, ça ne va pas non. Euh rectification, il croit qu’Elsa va aller dans son plumard, il va avoir de gros problèmes bientôt.

Je fais un détour pour voir ma copine d’enfance qui habite depuis quelque temps là-bas au val d’Europe, non elle ne travaille pas à Disney c’est sa mère qui est responsable des relations visiteur du parc déjà, ce n’est pas la meilleure amie mais je peux compter sur elle dans les coups durs et finalement c’est ça qui est chouette avec elle.

Anna : allô Magalie, euh non ce n’est pas Elsa, c’est moi, je peux passer chez toi, j’ai besoin de prendre une douche et de t’emprunter une de tes robes rentre-dedans comme tu les appelles. Celle qui est bleue est dispo ou pas ? Oui je te raconterai, si elle est dispo tu sauves l’honneur de ma sœur… Je te promets que je te raconte tout mais là tu peux… YESSSSSS merci Magalie, merci beaucoup, euh si Else appel tu lui dis que je suis chez toi, de toute manière c’est la seule chose que tu peux dire pour le moment.

je prends donc le bus direct j’arrive devait le grand centre commercial, je sors je sonne devant l’immeuble, c’est un immeuble moderne ça change de chez nous, à bordeaux.

je me dirige vers l’interphone et cherche le nom de mon amie une fois trouver, ba je sonne.
Anna : oui, allô, c’est Anna, Magalie n’est pas là, à si OK parfait, je ne resterai pas longtemps de toute manière.

Rentrer chez magalie c’est comme rentrer dans un château, c’est grand c’est agréable, très aéré, quoi, Madame Tanier, ça mère, me salue.

Md T : Ah Anna, alors ce retour de vacances, comment va Elsa… Et tout plein de questions que j’ai du mal à retenir, je réponds poliment à quelques unes et voyant que j’étais pas à la discussion sa mère me dit qu’elle est là et m’attendait excité comme une puce.

Je me dirige donc vers la chambre de mon amie j’ouvre la porte et elle me dit de go : Elsa a téléphoné je lui ai donc dit que tu étais chez moi, elle m’a dit que c’était bon que ce soir elle était à l’armurier.

Pardon j’ai du mal entendre.
Anna : tu as dit qu’elle allait à l’armurier, quand, ce soir ?
Magalie : Jonathan lui à téléphoner chez elle, enfin chez vous, l’amour à sonner pour ta sœur.
Anna : Magalie, tu as cette robe dis-je nerveusement
Magalie : eh cool tu peux rester, ta sœur n’aimerait pas que tu la chaperonnes
Anna : vaudrait mieux, Magalie ce Jonathan est un pervers, un salop et dans le genre salop, je connais
Magalie : Anna tu t’occupes trop de ta sœur elle est grande, elle sait se défendre toute seul
Anna : non et non.
Magalie : explique-moi en deux mots.
Anna : je crois que tu ferais mieux d’écouter ceci. Je lui tends le portable et plus elle avance dans le message, plus elle se décompose.
Magalie : (après un long silence) ON Y GO Anna on va montrer à ce fumier ce qu’est qu’une fille belle est intelligente. Prends la robe dans la penderie, maquille toi, fait gaffe le tube de rouge à lèvre est un peu provoc mais bon tu t’en fiches,
Anna : ça me va très bien. je peux prendre ça, je lui montre le fond de teint.
Magalie : tu ne vas pas mettre ça, c’est d’un dégueu, non prend celui de ma mère, ne lui dit pas elle ferait une crise cardiaque,
Anna : bon OK je ferais sans. Ah juste un truc, tu as des capuchons.
Magalie : t’explique.
Anna : des pochoirs, des sacs à bulle, des codons, des préservatifs. Merde.
Magalie : Oh punaise !!!! Anna t’est parti en chasse ou quoi, eh j’ai un mec je n’ai pas envie d’être dans tes plans foireux et non je n’ai pas ça.
Anna : La prévention contre les MST, ça te parle des fois et puis qui te dis que je t’incluais dans mon plan
Magalie : je te prête ma robe.
Anna : pas faux je note. Bon hop, tu as la permission de minuit, cendrillon.
Magalie : Attends, (elle lance en direction de sa mère) Maman je vais chez Anna et Elsa.
Madame Tanier : très bien, fait attention à toi.
Magalie : Mais oui t’inquiètes.

Sorti, on réfléchit on prend le bus, ou on va à pied, tan pis on va à pied il faut beau entre-temps on téléphone son jules, Salam, le copain de Magalie, et ce qu’il me dit est plutôt inquiétant.

Salam : Anna je ne sais pas ce qu’il a Jonathan mais il en furie depuis ce matin, il n’arrête pas de dire qu’il va se taper ta sœur.

je file le combiné à mon amie et je prie pour que les dégâts ne soient pas irréversibles. Magalie terminant sa conversation me regarde et me dit : une fois à l’armurier, on fait quoi
Anna : ça va dépendre des événements.

Arrivé devant le café, ce que nous vîmes nous glaça le sang, ce blaireau était tranquillement en train d’essayer de tripoter ma sœur qui tentait tant bien que mal de s’en sortir de cette sangsue. Je regarde Magalie : « décoiffe moi, je t’en supplie défait mes nattes mets les en désordre fait un truc mais alors genre la nana qui à vu son mec toucher une autre nana. » Ni une ni deux, Magalie défait mes nattes garde mes élastiques dans la poche et me rends aussi méconnaissable qu’un ours mal léché. Quand je rentre au bar le tenancier se demandait si je sortais pas de la rue ou si j’étais pas une de ces femmes de joie. Mais je le connais et me dirigeant vers lui je lui murmure : pas de vague et c’est tourné pour le bar. Il me connaît, je paye toujours mes verres et celui de quelques personnes désespérer que je tente d’aider auprès des services sociaux de la ville, il opine du chef, et me glisse : votre sœur passe un mauvais quart d’heure.
Anna : merci, me tournant vers Magalie : tu prends ce que tu veux je te rejoins avec Elsa dans dix minutes.

Et là je fis la comédienne :
Anna imitant une fille plutôt pas commode : Jonathan, on devait sortir ensemble et toi tu te tapes, une greluche blonde ! Inutile de vous dire que ma sœur n’en revenait pas elle voyait une autre personne se pointer pour ce, primaire, me faisant un clin d’œil : vous le connaissez
Anna : ah bien sûr que je le connais, c’est pas une bête au lit et en plus il essaye de se taper plus intelligent que lui.
Elsa : reconnu ma voie, mais voyant que j’essayais de la tirer d’un mauvais pas fit mine d’être un peu gênée par la situation et c’est là que Jonathan a fait la bourde de sa vie

Jonathan : oh pardon ma douce, je suis désolé, mais comme tu ne m’appelais pas j’ai décidé de passer du bon temps avec cette demoiselle et comme tu es là je vais revenir OK, de toute façon les copains c’est de mauvais conseilleurs tu vois je peu pas l’avoir touché, elle se refuse à moi.

Et là Je peux vous dire qu’une femme blessée dans son honneur ce n’est pas beau, mais alors pas beau. Elsa se lève rassemble toute sa dignité de femme.

Elsa : si j’étais la reine des neiges, je t’aurais gelé sur place sans discussion, mais je ne suis pas la reine des neiges, alors je vais me contenter de ça.

Et putain j’ai vu une gifle mais alors un truc que je ne veux pas en recevoir une comme ça. Et d’ajouter : Ma sœur ne se trompait pas sur toi, t’est con, tu es pervers, parce que tu vois la femme, là toute effarouchée hein que tu lui annonces fièrement que tu vas revenir vers elle, c’est ma sœur connard. Le bar crut voir une pièce de théâtre, c’était silencieux, moi-même je commençais à trouver l’atmosphère un peu lourd. Puis me passe son sac à main et lui mit une de ces prunes, qu’il en resta scotcher sur le sol. Le spectacle était terminé, Elsa manque d’explosé, Magalie est reste médusé et moi, je fais quoi moi, je regarde le Jonathan se tordre de douleur et de honte, j’intime à ma sœur de se rapprocher de Magali qui nous attend et qu’on rentre. La comédie avait assez duré.

Chapitre 3
On se remet de ses émotions.

Anna
ON rentre dans l’appartement le tableau est simple, Elsa pleurait, Magalie se sentait de trop et Moi, bah j’étais moi, la seule à ne pas avoir encore réalisé ce qui se passait. Dans la pièce qui fait office de petit salon, salle à manger, salle à discuter, salle à télé, sale à tout, est devenu salle pleureuse et là je me rendais compte que ma sœur avait un chagrin d’amour, elle s’accroche rarement à un mec, voir jamais le seul qu’elle avait éventuellement aimé c’est Bastien le fils du fermier quand on était en vacances chez nos grands-parents en Bretagne. Y a deux ans.

Magalie : Si tu veux Anna je rentre.
Anna : Non t’inquiète, Elsa va s’en remettre, demain sera un jour nouveau et je dirais pas qu’elle va l’oublier, mais elle commencera à faire le deuil, voilà tout.
Elsa : Il m’a humiliée, les mecs je veux plus en entendre parler !
Anna : ne pousse pas quand même Else.
Magalie : euh tu sais Anna c’est pas mal non plus entre fille.
Anna : j’étudie la question une autre fois, vois-tu. Mais si tu veux convaincre ma sœur…. Te gène surtout pas, mais je te prierais d’être un peu patiente là.
Magalie : eh je t’ai dit que j’avais un mec.
Anna : un mec, c’est un mec, une femme c’est autre chose. Bien, y a quoi a mangé dans cet appariement.
Elsa : rien.
Anna : je vois.
Elsa : je t’en pris Anna cesse de gesticuler, tu me donnes le tournis.
Magalie : je vais regarder dans le frigo.
Elsa : je crois qu’il doit y avoir une pizza, une bouteille de jus de fruit vitaminé, un sachet de salade et sinon dans le petit frigo ou tu vois des bouteilles il y a une ou deux bouteilles que tonton Charles nous a offertes.
Anna : les bourgognes, ah oui, n’y touche pas par contre sous les deux bouteilles il y a un rosé sympa je crois, enfin c’est Else qui connaît un peu en vinasse…
Magalie : elle boit maintenant ta sœur
Elsa : tu connais le mot œnologie ?
Magalie : non.
Elsa : choisi bien tes amis Anna, pour ta gouverne, l’œnologie est l’étude des vins ou l’art subtil de déguster un vin avec un plat, ce que ne fait pas toujours le clochard.
Magalie : tu es méprisante, parfois, je suis désolé de te décevoir mais on n’a pas les mêmes centres d’intérêt.
Elsa : pardon Magalie, mais supposer, que, parce que je m’intéresse au vin, tu te permettes de supposer ce que je trouve est assez déplacé de ta part. Enfin bon passons.
Magalie : Excuse-moi, j’ai été un peu vite dans les raccourcis.
Elsa : je te rassure, tu n’es pas la première, mais venant toi j’accepte tes excuses parceque ça fait longtemps qu’on se connaît et que je suis un peu à cran, donc je n’avais pas nécessairement besoin d’être méchante, ce n’est quand même pas toi qui à tenter de m’embrasser et de me faire des pieds pendant une demi-heure et de me faire comprendre que le truc ce serait que je baise avec ce genre d’oiseau.
Anna : Ouah, Else, tu as des mots choisis pour une femme,
Elsa : je te laisse les belles lettres ma chère.
Magalie : excusez-moi d’être terre à terre, mais ça vous va une pizza et une bouteille de rosé.
Elsa : j’ai mieux à vous proposer, on sort, on va chez RÉMY, c’est le bar sympa ou Anna et moi on aime bien manger quand on n’a rien dans le frigo.
Anna : en passant ce n’est pas la porte à côté non plus, mais c’est faisable, on va prendre la bagnole, enfin celle de Kristof.
Elsa : entre deux chansons tu prends le temps de dragouillé, tu fais comment ?
Anna : ah ah, pourtant tu devrais le voir il fait le service d’ordre des princesses, pour éviter que tout le monde veule les violer.
Elsa : ah ah ah ah.
Magalie : Venant de toi Anna c’est comique.
Anna : (réalisant tout d’un coup le chemin que j’ai fait, je ris de mon infortune d’il y a 4 ans) oui ba ça va on ne va pas en faire une marmite non plus.
Elsa : Anna faut que tu m’expliques un truc,
Anna quoi ?
Elsa : tu fais comment.
Anna : comment quoi ?
Elsa : je ne sais pas on sait tous dans cette pièce ce qui t’est arrivé.
Anna : mais Else ce n’est pas non plus un truc exceptionnel non plus, des tas de fille ne s’en sortent pas, j’en suis consciente, je m’en suis sorti parceque vous étiez là c’est important. Bon, vous voulez jouer au psy très bien, ça m’arrive de pleurer encore, ça m’arrive d’avoir honte de moi-même, ça m’arrive de vouloir mourir parceque je suis une sale fille, (et les larmes monte maintenant) et ce qui s’est passé ce soir m’a beaucoup plus remué que ce qu’il n’y paraît. Voilà vous êtes content.

je vais à la salle de bains, je refais mon maquillage. Je trouve l’idée super, ça va nous change les idées, surtout pour Elsa, moi ça va, elle essaie de remonter la pente rapidement, pour éviter de pleurer ou de crier, je crois qu’elle me remercie d’avoir invité Magalie. Mais moi, après ce que j’ai sorti pour les services de sécurité des princesse, je me rends compte que je ne suis pas tout à fait guérie. je vous parlerais un jour peut-être de ma difficulté à m’accepter comme je suis, je joue avec les garçons, mais je n’en mène pas large parfois. Bref.

Elsa venant à la salle de bains : Anna, pendant que tu t’échines à te refaire une beauté, je voulais te dire merci, tu as essayé de me prévenir, je n’ai pas voulu t’écouter, je fantasmais comme une gamine sur ce type, tu ne peux pas imaginer ce que j’en faisais, bref. Merci.
Anna : de rien.

Me souvenant que dans mon sac à main, il y avait son portable je songe a lui faire entendre le message, je réfléchis et finalement me résout à le lui faire entendre, après tout s’y elle avait son portable, elle l’aurait entendu.
Anna : Elsa je te rends ton précieux, mais avant faut que tu écoutes ce message, d’amour de Jonathan, je prends le soin de bien appuyer sur le mot Amour.
Elsa : voyons cela.

Un silence se fait ou je n’entends que e son haché du répondeur. Quand elle raccroche ;
Elsa : pauvre type.
Anna : ça va.
Elsa : j’ai vu mieux, mais je m’en remettrais, enfin j’espère.
Anna : Tu sais Else, tu es belle et les garçons ont peut-être tendance à penser que tu es belle mais c’est tout, tu sais j’ai vu des blagues sur les blondes,
Elsa : je ne préfère même pas te raconter ce qu’on raconte sur les rousses.
Anna : c’est-à-dire,
Elsa : je doute que t’a pudeur accepterait la moitié de ce qu’on y raconte.
Anna : mouai, je regarderai.
Elsa : il vaut mieux que non, c’est choquant, vulgaire et faux.
Anna : très bien peut-être que Magalie en sait un morceau.
Elsa : ne te gâche pas le dîner s’il te plaît, ça m’ennuiera. Surtout après ton joli coup d’éclat, je vais prévenir Kristof, ça te ferait plaisir qu’il vienne avec nous.
Anna : Elsa, si tu fais ça, alors je pense que rien n’est perdu. Merci

Kristof va venir avec nous, faut que je me fasse belle, très belle.











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