- Le Royaume d'Arendelle -
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sapin
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L'illusion Empty L'illusion

Ven 25 Sep 2015, 02:23
Avant propos

L’histoire est fictive. Elle rend hommage à de nombreux auteurs de ce forum, plus ou moins discret. Je les remercie de leur imagination je les respecte parce que se sont de bonne idée voir très bonnes. L’idée n’est pas de se moquer des uns et des autre mais de leur donner un sentiment de justification. C’est plus une réflexion métaphysique et un tantinet psychologique si on se rapproche un peu de ONCE UPON THE TIME on s’en éloigne un peu. Ici le voyageur est pleinement conscient de son immersion et tente de poser la question « est-ce que le rêve doit prendre le pas sur nous ou devons-nous prendre le pas sur nos rêves » la réponse est plus ambiguë car un rêve c’est quoi, un mélange de fantasme et de délire, d’espérance et de joie, un renouveau permanent. Mais l’auteur pose un nouvel élément, les personnages eux aussi on des rêves, des espoirs et des désespoirs. Ils sont en recherche d’identité, ils ont peur, ils ont des sentiments. L’auteur pose la question secrète « et si nous ne croyons pas aux comptes de fées » comment appréhenderions nous la vie ?  Justement si les personnages ne crois plus en eux-mêmes c’est que quelque part, nous ne croyons plus en eux.

En aidant nos héros, l’auteur tente de leur faire prendre conscience qu’ils sont des êtres qu’ils peuvent faire des choix, peut importe ce que notre monde nous dis d’eux ils ont aussi leur crises existentiels. Anna et Elsa deux sœur que rien n’oppose devrons apprendre que de l’amour qu’elle se porte engendre une force commune qui est autant destructeur qu’enchanteresse. Tour à tour l’auteur les amènera à se poser les vraies questions. « qui aime tu a traver toi »




L’illusion

Prologue


Il arrive que parfois nous soyons victime d’hallucination certain d’entre vous se vente d’inventer la machine inter-dimensionnel* d’autre se contente de raconter leur imagination. Dans les deux cas nous sommes victime soit de notre imagination soit de notre désir de les rencontrer. Ne soyons pas médisant, tout comme la machine inter-dimensionnel et le rêve, ils font parti d’un même désir, les rencontrer. Qui, voyons ne faite pas l’innocent cher lecteur.

l’histoire que je vais vous raconter est peux commune, quoi que je me demande encore si je n’ai pas rêvé quoique, je tente de m’en convaincre encore.




Chapitre 1
c’est grave docteur ?

Il y a quelque temps je suis revenue de Norvège, pour raison professionnel, à la fin de ce séminaire, plutôt que de rentré dans la morosité parisienne, j’ai décidé de faire les rues d’Oslo ou c’est l’inter saison et autant vous le dire ce n’est pas paris, c’est pas spécialement beau, non plus, mais les gens sont sympas. Par contre c’est cher, très chere la vie. Ce n’est pas la suisse mais c’est pas le Pérou non plus. Faut pas pousser. Ça reste une ville plutôt campagnarde et très relâchée la verdure y est omniprésente faudra que j’y retourne en hivers c’est chouette paraît il, enfin ça c’est mon banquier qui me dira si je peu y retourner hein. Il est coutumier de voir que le chômeur et les retraiter son très bien pris en charge et il faut bien reconnaître que hormis les charge importante 36% qui sont prélevé à la source ils ne sont pas très malheureux. Partout dans le ville l’accessibilité pour les personnes à mobilité réduite est bien ancré. Autant le dire si je savait mieux parler le norvégien j’y serait resté.

une fois les conférences passées je décide de rester quelque jours et c’est là que tout à commencé. En Norvège l’effet reine des neiges est certainement le phénomène national tant certaine partie du filme font référence à leur culture, il est pas très compliqué de trouver des paysage digne d’Arendelle, même si en effet la ville n’existe pas en principe. Certain on remarqué que la seul chose qui existait et de façon réel, c’est Olaf l’un des premier roi connu de Norvège et la reine des neige par hans Anderson. Ces fameux comptes. Alors faut bien faire tourner le commerce et des car touristique vous emmène à qui mieux-mieux vers leurs Arendelle commercial.

ça manque pas d’idée là-bas. Ça tombe bien moi non plus. Je prends un de ces cars qui parle français, anglais…. Bref une bande passe on voyage comme ça c’est joli le paysage ces églises de bois et tout le folklore. Au bout de 3 heures de route on nous annonceur nous somme à destination. arrivé dans un village qui se voulait représenter à peu près Arendelle, pauvre naïf quidam on est loin d’’un château c’es plus un village touristique pour vendre des souvenirs. On suit un peu tout le monde, he oui, on connais pas le norvégien nous, alors on fait comme les moutons, on suit le berger.
soudain une personne s’adresse à moi dans un parfait français, oui je sais on est entouré de touristes eh alors ! elle  m’annonce qu’en faite elle est en mesure de me montrer la vrai Arendelle. Ah ba pour ça ma veille tu devrait lui dire au berger ça nous éviterais d’avoir l’impression d’avoir payer pour rien un bout de sa retraite. Non mais finalement des Laurent Deutsch ils se reproduisent partout. Vous savez c’est le genre de larron qui vous fait croire que le caillou là, oui le caillou posé élégamment sur votre pieds, à une histoire. Cela dit en passant dans ce qu’il balance sur hexagone* y a un fond de vérité et peut-être bien que Disney lui aussi y a pas que du toc, il y un peu de vérité je me suis dit que les risques de se perdre sont on va dire minime ou très limité, enfin je l’espérais surcout sur le coup parce que le voyage ou j'allais va me réserver quelques surprises. Bon aller c’est bien parce que je suis curieux que je vais vous suivre, j’espérait bien entendre quelque chant de sami. Bon maintenant il faut que je vous dise là-bas c’est ou très chaud, ou très froid. On marche pendant quelque heure, et on fini par arrivé dans une petite bourgade, et là OH MIRACLE, Arendelle, j’en revenais pas. Elle m’explique que visiblement c’est fête et qu’a partir du moment ou on rentre en ces lieux il faut dire adieux à tout ce qu’on connaissait pour un temps car le temps c’est arrêter. Ici, m'explique t’elle il y a bien une reine et c’est bien la reine du filme. Je lui rétorque que l’histoire se passe enfin et supposé se passer au XIXème siècle et que nous somme tout de même bien avancer que sa reine doit être plus une sorte de sorcière qu’autre choses. Elle me dis, « vous verrez c’est la vrai reine des neige. » je lui suggère que peut-être en mettant une pièce on aurait de la glace. Cette dernière me rit au nez et m’averti que certes la reine est sympathique, mais faut pas poussé et qu’il fallait être très précautionneux en terme de tradition local. Quoi qu’il en soit je continu ma route et peu à peu ma perception des choses commence à changer je fini par arriver à une sorte de cabane qui est le bureau de change d’Arendelle.
- bonjours monsieur. je vous passe la formule norvégienne, parce que très vite il nous parle anglais mais nous averti que si je veux repartir il faut passé impérativement par ici. Après échange de quelque banalité, je prends mon petit baluchon et c'est parti.
- Bon je suis paré pour un excursion en Arendelle dis donc
- Vous serez retrouver la cabane ? me demande la guide.
- Il faudra bien de toute manière je repart dans 3 jours d’Oslo et franchement rater l’avion sera le dernier truc à faire.
- Bien, je vous laisse vous pourrez rejoindre l’hôtel en prenant la navette au point de rendez-vous comme convenu.
- Merci madame.
- Ah monsieur. Me dit le banquier. Soyez prudent ce que vous avez pourrait vous être d’une grande utilité, vous êtes surement riche et sans vous offenser seul la reine peut égaler votre fortune.
- Pourquoi ?
- Bah pardi votre monnaie est très forte, j’ai même plus d’or dans mes casiers.
- Je peu vous en laisser si vous voulez je ne reste pas longtemps
- Pas longtemps, beaucoup de voyageurs on dit cela.
- Eh
- Ils ne sont jamais revenue
Il me montre un grand local d’affaire et de porte feuille.
- C’est dangereux
- Non. Rassurez-vous, mais un conseille, ne perdez pas de vue qui vous êtes.
- Ok je vous remercie.

Je sors de la bâtisse avec un sac quelque effets personnel que je tenais à garder et je pris le chemin.
Alors c’est ça Arendelle. C’est assez simple c’est une ville, que dis-je, un très grand village pas très grand. C’est une petite bourgade mais c’est assez impressionnant. Effectivement les gens ne sont pas avec des téléphones, on vent les produit à la criée, le marché est abondant, c’est fou, le nombre de chose qu’on peu trouver, ce qui est frappant c’est que les gens ne semblent pas presser et plus surprenant encore même si je ne parle pas le norvégien, en observant les gens. bien qu'ici c'est plutôt de l'ancien norvégien. Je pouvait comprendre ce qi se passait, visiblement c’est une journée d’agitation qui se prépare, un événement assez rare visiblement allait ce produire. je fini par chassé ma timidité et demande à un passant.
- Bonjours je suis nouveau, enfin je veux dire de passage, que ce passe t’il ?
- Ah mon bon monsieur, vous aller assister à la présentation du fils d’Anna d’Arendelle.
La, je prends des notes dans ma tête ou plutôt je commence à me demander si de retour à paris je vais pas faire un tour chez le psy et vider mon compte en banque, parce que là je devenais pour ainsi dire fou.
- Euh on est en quel année ici parce que là je m’intéresse à l’histoire du pays et enfin brief.
- Mon bon monsieur on est en 1844.
- En 1844, (m*rde j’ai forcé sur la boisson ou quoi ou je…. Ah ba ça alors……) je viens de faire un bon de 171 ans, la vache.
- Ah non monsieur ne commencé pas à être désobligeant, la princesse Anna n’est pas une vache.
- Pardonner l’ami, je ne parlais pas de la princesse, mais de moi.
- Ah si vous le dite.
Oui m*rde, retour vers le futur, y a un peu de vrai ou pas, je ne suis pas venu en deloréanne. Ah moins que j’ai un rôle à jouer dans l’histoire, mais lequel. Va falloir que je remonte à la cabane poser quelques questions, enfin,  si je la retrouve cette cabane.
- Ok, je vous remercie beaucoup.
- De rien,
Bon je sors mon Iphone et…. Ah bah ça alors, j’ai certes pas de réseau mais il à le chic de m’indiquer

11 h 55 le 22 juin 1844.

Ce qui allait me sauver et que j’ai un chargeur solaire et de ce fait je suis sure d’une chose comparer à ces gens là j’ai l’heure universelle. J’ai p***** MAIS OUI JE PEU PROUVER QUE JE NE SUIS PAS DE CE MONDE. Sauf que y a la remarque qui tu.
- Maman y a un monsieur qui regarde un morceau de bois.
- Arrête de dire des bêtises et dépêche toi ou on va rater la présentation.
Ah oui m’dame je regarde un morceau de bois, bon pour la démonstration c’est rater. Ça commence à sentir le sapin cette histoire. Bon j’ai quoi en poche, ah bé oui j’ai beaucoup d’or visiblement il m’avait passé une sacoche et m’avais dit vous serez presque plus riche que la reine. Bon pour résumé j’était pas dans le besoin.

Les minute passe et la foule retenais son souffle et tout d’un coup une fanfare et un haleur

MESDAMES ET MESSIEUR LE ROYAUME À L’IMMENCE HONNEUR DE VOUS PRESENTER SON ALTESSE QUENTIN FILS DE NOTE BIEN AIMÉE ANNA.

La foule est en délire et je peu les comprendre une femme resplendissante rousse magnifique se tenais a côté de son époux…Mince mais Disney y son vachement fort c’est Kristoff. Mon dieu, voir le film, enfin le dessin animé et les voir en vrai c’est choquant, comme dirais les anglais « very choking » Ma parole si Anna est belle comme ça, sa sœur fait lever la trique à n’importe qui. C’est stupéfiant ou renversant si vous avez regarder « retour vers le future » ah ba ça, après je peux dire que certain du forume la reine des neiges après avoir vu ça pourrons définitivement dire qu’ils pouvaient mourir sur le champ. Ce n’est pas croyable.
- Dite excusez moi à nouveau pourquoi la reine ne sort pas.
- Vous n’êtes pas au courant.
- Non, je devrais ?
- La reine est mourante.
- Eh vous avez le toupet de festoyer. Quelle ingratitude.
- Oh ne vous emballer pas, c’est sur ordre de la reine que nous célébrons l’enfant, regarder bien le visage d’Anna, vous semble t’il heureux ce visage ?
- Ah bien y regardé, non.
- Eh contrairement aux autre événements il n’y aura pas de balle cependant on pourra saluer le jeune prince.
- Ah bas effectivement vous cachez bien votre jeu. Donc vous attendez quoi ?
- Anna attend la fin de sa sœur et pas avec impatience je puis vous le garantir, elle à passer deux années merveilleuse avec elle mais depuis quelque temps la santé de sa majesté est disons très inquiétante.
- Ah sait on ce que c’est.
- On ne sait pas, mais depuis les médecins on annoncer que la reine ne bougeai plus et ne parlais plus
- Vous disiez tout à l’heure que la reine ne sortait Que très rarement.
- Oui, elle sort pour les grandes occasions, noël, nouvel ans et pour célébrer le renouveau enfin c’est ce qu’elle avait promis l’année de son retour.
- Je suis désolé monsieur.

Bon en gros ces gens là était surtout là pour rassurer Anna pour lui dire on est avec toi. Et qu’est ce que j’y pouvait que la reine est malade rien. Rien du tout, a vrai dire on attend que le monarque meurt et voilà, la reine et morte, vive la reine, En plus toute commodité est fortuite y a un héritier, que demande le peuple. Je sais, je fais parfois preuve d’un cynisme désarment. Bon, être cynique, n’empêche pas de ressentir le malheur des gens, certes, ils font la fête, mais parfois les apparences sont trompeuses. Parfois même un bateau des île du sud ne ferait mais pas bouger un marronnier. Au pire le peuple se chargerais de l’opportun. Bref, dans quoi je me suis fourré.

Je retourne vers la cabane et je vois de nouveau le tenancier
- Vous saviez ou c’est nouveau.
- Je sais quoi ?
- Que la reine est mourante.
- Tout le monde sait cela l’ami,
- Bon écouter je pense que mon séjour va s’arrêter ici, je ne peu assister à un deuil, j’ai pas les habits qu’il faut et franchement je la connais pas la reine, eh c’est pas ma meilleur amie.
- Vous avez trouvé le problème.
- Quoi ?
- Fermé cette porte et je vais vous expliquerais tout mais alors tout.
Je ferme sa boutique
- Voilà il y a 2 ans Elsa, notre reine est revenue et sa sœur était toute heureuse elle pouvait revoir sa sœur chaque jour, les portes était ouvertes.
- Jusque là, la maladie j’en vois pas
- Écoutez, la suite, il y a eu se fameux mariage,
- Euh laissez moi deviner, la princesse Anna
- Exacte
- Bon ok le problème est résolu, Elsa est jalouse elle aime sa sœur et de désespoir elle se meurt.
- C’est en effet plausible ce que vous raconter, mais ce n’est pas dans les mœurs de chez nous.
- Ah mes attendez, loin de là l’idée, en France le mariage pour tous n’inclus pas le mariage fraternel je vous rassure.
- Vous êtes bien avancé.
- Oh vous ne plaignez pas en Norvège on est pas si malheureux que cela. Mais revenons au fond du problème. Vous dite que depuis le mariage d’Anna les choses se sont dégradés.
- En effet vous suivez bien, comment vous appelez vous.
- C’est maintenant que vous me le demandez, ah bah mon prénom n’a que peu d’importance appelez moi….. Sapin.
- Sapin j’aurais vu des prénoms bien curieux. Mais celui là !
- On ne vous demandera pas de jugez, je vous rassure.
- Bon puisque vous me paraissez plus perspicace je vais vous donner un coup de main.
- Ah je vais enfin rentrer chez moi.
- Ah non, vous allez vers le château.
- Oh va peut-être calmé l’enthousiasme général, AUBERGISTE, énumérons les points, premièrement, je ne connais pas la reine, secondement, je vois pas comment je vais rentrer, troisièmement, comme tout le monde s’attends à voir leur reine mouru bientôt, je vois pas vraiment l’oportunité de déranger la quiétude d’une veillé funéraire.
- Bien vous avez fini de radoter monsieur….Sapin.
- Oui, pour le moment.
- Bien, restez ici, demain je vous présenterais quelqu’un qui sera vous convaincre de la nécessité du projet.
- Juste une toute petite question, pourquoi les personnes qui sont venu ne sont jamais reparti.
- Leur cupidité à voir la reine. Ils ne voulaient voir que la reine et lui poser des questions et des questions, sans se rendre compte qu’au-delà des questions posées, il y a une personne qui souffrait.
- Qui vous dit que je n’en aurais pas fait autant.
- Premièrement, vous n’avez pas dit « je veux voir la reine » secondement vos raisonnements sur l’affaire m’ont fait comprendre que certes vous voulez surement la voire mais pas dans le but de l’ennuyer mais de parler en toute franchise, votre tête me plait et vous êtes très terre à terre.
- Dans un monde qui n’existe que pour enfant, je dois vous rassurez sur ce point je commence à devenir fou.
- Connaissez-vous Narmia ?
- Un autre monde littéraire, oui.
- Non, celui-là existe, mais est connu que de très peu de gens, tout comme Arendelle, quelques découvreur on eu le privilège de le connaître et en on fait un commerce sans nom.
- Attendez, alors je résume, pour faire très simple les comptes et légendes, qu’on raconte aux enfants on un fond de vérité, pierre et le loup, blanche-neige, raiponce la petite sireine….. tout c’est compte n’ont qu’une porte Narmia.
- Je vois que vous êtes plus intelligent que beaucoup d’autre. Elsa est la reine de ses royaumes et le lion de narmia son gardien.
- Je vous rappel qu’il y a une sorcière de glace dans narmia.
- Plus maintenant ! En faite la reine blanche était cupide et c’est par un sortilège qu’elle à réussi à contrôler la glace. Elsa le contrôle naturellement.
- Vous savez aubergiste, peu d’homme peuvent se vanter être rentré dans un compte de fée.
- Et d’y jouer un rôle essentiel. Demain, nous irons voir les Trolls.

Oui dés fois je me demande si je ne suis pas un peu fou. C’est grave docteur ?
sapin
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L'illusion Empty Re: L'illusion

Mar 29 Sep 2015, 01:31
Chapitre 2
Allez, en avant oh on charge.

C’est donc de bonheur que je reparts vers la forêt, bon un jours de perdu, j’apprendrai beaucoup plus tard que le temps n’a pas de prise sur moi. Par contre je ne sera jamais combien de temps j’ai en fait grignoter en réalité.

- Sapin, vous suivez
- Oui, la forêt et moi ce n’est pas facile
- J’avais remarqué. On est arrivé.
Comment vous dire, ah oui c’est assez simple, je me trouve devant, 10 cailloux. Bon vous savez, voir dans un film un caillou qui va devenir vivant c’est naturel, tout les enfants vous le diront « Mais c’est des trolls. » mais bien sure.
- Grand paddie, je vous ai amenez un voyageur,
Soudain le plus gros des cailloux qui était devenu encore plus gros se transforma en troll.
- Gérémiam, je t’ai déjà dit que tu va réveiller les enfants. Qu’amènes-tu là ? OOooooh vous voilà enfin. C’est pas trop tôt.
- Le chemin, difficile d’accès.
- Peu importe, les cieux, mon entendu.
- Bien, c’est pour ça que je suis là.
Grand paddie, se tourna vers Gérémiam.
- Tu peu nous laisser, tu as fait t’as part, liber les autres, nous n’en avons plus besoin.
Interloquer, je regarde Grand paddie,
- Les autres, quels autres ?
- Les voyageurs par di ceux qui on tenté de voir la reine, par cupidité.
- Il y en a beaucoup,
- Non une centaine, mais par rapport à la ville c’est pas grand chose.
- Que vas t’il advenir d’eux.
- Ils reprendront leur vie là ou il l’on laisser sans se rappeler de ce qui leur est arrivé.
- Mais si ça fait longtemps ?
- Ne vous inquiétez pas pour eux c’est tout au plus, une fraction de leur vie.
- Une fraction, trois ans ou plus ! avez-vous une idée de l’espérance de vie de chacun
- Je vous ai dit de ne point vous inquiétez, pour vous prouvez ma bonne fois, je peux vous dire que vous avez passer a peine une seconde de votre vie depuis votre arrivé, le temps n’a plus de prise sur vous et il en aura à nouveau pour ceux qui sont libéré.
- Je vois. En faite je suis comme l’observateur observé qui qui observe ce que l’observateur observe.
- Ce qui veux dire ?
- Que je vis l’instant T t’elle que le défini Einstein et encore, je suis même pas sure de ce que j'avance.
- Qui est se Einstein.
- Quelqu’un qui à une fâcheuse tendance à dire que tout est une question de point de vue.
- Ça m’ira pour aujourd’hui, venons en a votre mission.
- Je sent que ça va pas être court votre truc.
- Bien que savez vous de la reine ?
- Quel fait de la neige, quel à une soeur, bref on sait pas mal de chose sur la reine.
- Commencez pas à faire l’insolent.
- Eh oh je dis les faits.
- Euh c’est juste. Bon on vous a dit quoi à propos de la reine.
- Je crois savoir que les gens la tiennent pour pratiquement morte.
- Je vous rassure, ce n’est pas le cas.
- Ah bah voilà. Donc les gens se font des idées.
- Non ils ont à moitié raison.
- Bon voilà qui complique votre explication.
- Il y a deux ans, la reine à fait un événement exceptionnel, elle à offert à sa sœur un magnifique anniversaire qui à valu pour le cout de marier mon fils Kristoff à la princesse Anna.
- Jusque là ça se tient. bon permettez que j'ai des doute que se soit votre fils, mais le reste, je ferais avec
- mon fils adoptif, vous venez d'où vous ? enfin bref depuis se mariage, la reine est sujette à des sots d’humeurs, mais elle est encore plus angoissée par ses pouvoirs. Il y a eu un accident qui aurait pu avoir de fâcheuse conséquence.
- Un autre accident ?
- Saviez-vous que ce n’est pas le premier enfant d’Anna ?
- Non.
- Anna joyeuse comme tout le présente à sa sœur, cette dernière en était tout heureuse et manifestait une joie attendrie selon les témoins. Mais l’émotion fut trop forte elle à instantanément geler l’enfant.
- Sa sœur n’a pas dû apprécier.
- Pas vraiment, mais alors pas du tout.
- Donc cette deuxième naissance tout le monde devrait se réjouir.
- Oui, en effet.
- Mais pas Elsa c’est ça.
- Oh non, je me suis entretenu avec elle elle est heureuse, elle à peur de le toucher et elles sont en froid Anna et Elsa c’est ça qui fait que les choses se complique et il faut savoir que chacune tire leur vie dans l’autre. Ce qui arrive va tôt ou tard arrivé à Anna elle va aussi mourir.
- Donc si Anna ne se réconcilie pas avec sa sœur, elles vont toute les deux mourir.
- Et le monde des contes de fées aussi.

Ça Alors, on est à la fin du monde j’entends la phrase « tu crois aux fée, oui j’y crois, tu y crois alors tape des mains ou pense aux fée et souhaites leur une bonne nuit »
- Mais ce n’est pas possible dans mon monde les fées sont indispensable pour l’éducation de nos tout petits et moins petit d’ailleurs. C’est une richesse de l’imaginaire. Vous êtes en train de me dire que tout cela ne va plus exister.
- Hélas oui, sauf si nous arrivons à les réconcilier. Entendez bien ceci sapin, si Elsa est la magie de la nature, Anna et la persévérance elle est le message vivant que tout est possible cela prouve que voir dans chaques événements tragiques….il y a un espoir. Mais sa sœur c’est tout pour elle, plus qu’elle même ne veut l’avouer à son mari.
- Alors l’idée est de trouver quelqu’un qui crois en la magie et qui en sera persuadé devra essayé de la perpétuer.
- Oui, vous êtes les deux Sapin. Vous êtes très terre à terre mais vous admettez votre part d’enfance comme une chance de mieux appréhender ce qui vous arrive ou ce qui peu vous arriver. Tout est magique pour vous, mais loin de dire que ça l’est vous chercher une explication logique, tout en admettant que parfois même quad elle sont expliquée le phénomène n’est reste pas moin magique.
- C’est juste. Je mettrais volontiers Elsa dans une cloche scientifique pour voir comment elle produit la glace tout en ne cessant jamais de me dire que c’est un miracle.
- Vous avez compris.
- Bon je vais faire un petit raccourci ou un résumé si vous préférez, admettons que, je dis bien admettons, qu’Anna se réconcilit avec sa sœur, cette dernière se sentira mieux et le royaume des compte de fées ne s’en portera que mieux c’est ça ?
- C’est exactement cela.
- fantastique !!
- Pourquoi ?
- Mais voyons on vois bien que vous n’êtes pas maman.
- Eh !
- Bah techniquement Elsa à fait un infanticide.
- Expliquez-vous.
- C’est pourtant très parlant Elsa, toute reine qu’elle est à tué un enfant. Elle à tué l’essence même du rêve.
- Vous aller loin dans la philosophie des choses.
- Peut-être, mais justement Anna n’en est pas pour autant une rêveuse, mais voir ça sœur tué l’enfant de ce rêve…. C’est inconcevable. Ceci dit j’ai peut-être une idée.
- Dite toujours.
- Ah pour le moment ça reste une théorie alors je la garde pour moi.
- Très bien alors je vais vous faire entrer dans le château. J’espère que Gérémiam à fait ce que je lui est dit et qu’il est parti.
- Il devrait partir ?
- Oui, lui aussi était prisonnier du sortilège, maintenant vous êtes seule. Je veux dire vous êtes le seule à être dans le compte.
- Et je suis coincé, c’est ça.
- On peu dire cela comme ça.
- c'est parti, ah j'avais oublié j'ai horreur des comptes de fées qui finissent mal.
sapin
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L'illusion Empty Re: L'illusion

Mer 30 Sep 2015, 13:10
Chapitre 3
Le château.

Je reviens avec grand paddie je passe devant la cabane et je constate que de cabane il n’y en a plus. Je suis donc bel et bien coincé dans ce monde, la curiosité est un vilain défaut, je tacherais de le dire à ma nièce, elle qui veux tout savoir sur les princesses.
- Vous aurez quelqu’un qui vous aidera dans votre quête, mais il faudra le ménager, j’ai déjà eu du mal à lui faire admettre qu’il existe d’autre monde que le sien. Mais il est tout aussi peiné que moi de la situation si ce n’est plus.
- Qui est-ce ?
- Kristoff.
- Il est au courant.
- Obligé, il en va de sa propre vie et de tout ce qui l’entour.
- Je vois son destin est lié comme l’est le soleil et la lune. Pas de compte magique, pas de reine des neige Disney, pas d’espoir, pas de rire pas de joie. Si je comprends bien, ma vie aussi est lié.
- Oui !
- Super.
- Maintenant j’ai compris ce qu’il voulait dire l’aubergiste « rappelez-vous qui vous êtes » c’est ça qui me fait vivre.
- Vous pourriez être un bon troll.
- De toute manière, je n’ai pas le choix.
- Venez, discuter ne nous avancera plus voici la ville.
- C’est étrange il n’y a plus personne !
- C’est normal les choses change, mais……
Il s’arrête brusquement
- C’est plus grave que ce que je ne le pensais, il y a eu une autre dispute. Sapin, il faut que vous réussissiez, Attendons Kristoff, une fois qu’il aura calmé sa furie d’épouse.
- Laissé je vois où il est.
- Bien, bon courage.
- Merci, je vais en avoir besoin.

Et là je n’aurais jamais cru voir ça un jour, devant les grilles d’un château, un homme et une femme se disputait violement, mais c’était violent.
- Tu ne comprends pas, je regrette sincèrement d’avoir sacrifier ma vie pour cette tueuse d’enfants
- C’est ta sœur, elle c’est excusée mille fois, elle sait que ce qui s’est passé nous chagrine tout les deux elles s’en veut, pardonne lui, je t’en supplie Anna on ne s’en portera que mieux
- Te déranges pas Kristoff, si tu veux vivre avec elle ne me le fait pas dire
- j’ai pas dis cela Anna.
- Non a peine tu le penses tellement.
- Anna arrête de faire l’enfant, ta grandi
- Oui et mon point dans la figure aussi a grandit (paf)
- NON MAIS ÇA VA PAS NON

Bon avant que ça ne dégénère….
- Eh c’est quoi tout ce raffuts
- Vous étranger on vous à rien demandé. Me répondit assez froidement Anna
- Oh fillette ta mère ne t’as jamais dit que montrer du doigt c’est pas bien.
- Fillette, fillette, je vous demande pardon un étranger respecte au moins l’étiquette.
- Vous avez raison j’aurais dire sauvageonne et ingrate par dessus le marché.
- Continuez et j’appel les gardes.
- En attendant je les trouvent bien hilare devant le spectacle.
- Attendez GARDE.
- Qu’on me coupe la tête. Lançais-je à la cantonade.
Et dans un rire général les garde ne bronchèrent pas.
- Bon vous taper les hommes c’est ça.
- Je vous permet…..
Je m’approche et lui vole un baiser sur la joux. Alors Kristoff n’en revenais pas un type venu de null part affronte sa femme et pour venger les hommes de tout au tout vole un baiser.
- Vous avez du culot. Me lance t’il
- Vous auriez préférer un autre coup de point ? Je peux en rajouter.
- C’est ma femme.
- Oui bah la mienne j’ai deux règles primo on ne lève jamais la main sur une femme et deuxièmement une femme ne lève pas la main sur son mari. Allez venez nous avons à parler.
- Eh moi,
- Ah vous êtes la princesse alors les activités…. ne devrait pas manquer. M’adressant aux gardes « messieurs ayez la bonté d'âme de ramener la princesse dans ses appartements.
- Oui mon seigneur.
- Hein. Me lance d’un air incrédule Kristoff. « vous commandez aux gardes de la reine »
- Il faut savoir mon chere avoir la volonté d’un roi. Venez je viens de la part de grand paddie.
- Vous êtes l’envoyé ?
- En quelque sorte. Oui. bien que le mot envoyer soit mal choisi. j'aurais dit plutôt contraint.
- J’aurais tellement de question……
- Eh moi donc ! Malheureusement, on a un peu de temps.
- Vous venez d’où ?
- c’est assez compliqué.
- D’accord, je pense que c’est à moi de répondre aux votre.
- En effet. Mais soyons entre gens de bonne compagnie Appellez moi Sapin.
- Kristoff pour vous servir, merci, je suis désolé que vous ayez assisté à pareille scène.
- C’est la première fois.
- Non.
- C’est rare une femme qui bat un homme, très rare et très inquiétant.
- C’est terrible.
- Aller aller c’est fini on va arranger ça.
- Je vous trouve culotté et en même temps brave du geste que vous avez fait. La reine pourrait vous congeler pour ça.
- Kristoff, j’ai comme l’impression qu’elle ne pourra pas… me congeler, au pire, je l'embrasserais
- Comment ça ?
- bah un peu d'amour ça tu personne non ?
- Comment conté vous faire.
- Bon passons au choses sérieuse, Kristoff ou est l’enfant congelé ?
- Que voulez-vous faire.
- Vérifier quelque chose.
- Je vous préviens il est mort.
- il n'y a point de mort, il y a la force.
- vous dites
- Oh rien de très spectaculaire.

Kristoff m’amène à la crypte royal ou je découvre avec stupéfaction un véritable mausolée de glace garnie des petits lutin glacé. Même Kristoff semblait impressionné.
- C’est Elsa qui à fait ça ?
- Je ne vois pas beaucoup de gens faire de tel prouesse Kristoff.
- C’est….. pardonnez-moi, je… (quelque larme coule de ses joues) c’est beau
- Justement les larmes c’est tout ce qui lui reste a votre reine. Elle regrette sincèrement ce qui s’est passé. Bon voyons.
Je casse quelques crochets de glace et sort le petit être congelé, mais a peine sorti je vis quelque chose de translucide apparaître, son cœur…… il battait.
- Ça par exemple !!!!!
- Qui y a t’il
- Regardé
- Je ne vois rien.
- Bon je vois, je suis le seul a voir, vous connaissez l'expression, tant qu’il y a de la vie, y a de l'espoir ?
- Non, Vous avez vu ce que vous vouliez.
- Oui Kristoff, j’ai vu et je pense trouver une solution au problème, mais il me faut le concours de tout le monde.
- Que voulez-vous dire par tout le monde
- J’ai une dernière question à vous soumettre et je répondrai à votre question.
- Oui mais….
- Où est Olaf.
Et là je vis Kristoff peiné
- Décapité par Anna.
- Voilà qui ne va pas arranger les choses.
- Vous avez dit le concours de tout le monde ?
- Moai et ça va pas être facile.
- Que faisons non maintenant.
- J’aurais volontiers dit patience, mais je crois que je vais vous demander un petit service.
- Lequel.
- Est-il possible de voir…… la reine.
- Venez, suivez-moi.
On rentre a nouveau au château les gardes me laissent passer, forcément je suis avec le prince consort en titre, j’arrive dans une grande salle, la reine lisait, mais elle était blanchâtre.
- Ah Kristoff, on m’a rappeler les derniers événements elle vous a encore frappé.
- Ah vous êtes au courant, lançais-je
- Qui êtes vous ? me demande t’elle d’une froideur. Que je me demande si j'avais pas perdu une occasion de me taire.
- Il est de passage, c’est un ami. L’informa Kristoff.
- Bien il à assisté à cette épisode fâcheux.
- En effet. Votre majesté, si je puis me permettre, votre sœur est d’une incorrection.
- Je dois reconnaître que pour qu’un étranger dise cela c’est qu’effectivement elle à passer à un autre stade.
- Je pense que parler de ce qui est fait ou pas, n’avance pas nos affaires.
- C’est juste, voilà des paroles sage d’un roi.
- Vous me flatter votre majesté.
- Bien que puis-je faire pour vous, je vous préviens, la situation d’Arendelle n’est pas réjouissante.
- Au départ c’était une visite de courtoisie, mais quand je vois votre sœur, je me dis que la visite peut attendre, il faudrait l’aider.
- Je doute qu’on puisse refermer les plaits de ce qui est arrivé.
- Je pense que non, tout espoir est permis placer votre confiance en vous et Kristoff.
- Je le souhaite, cette nouvelle naissance est une bénédiction.
- En effet. Mais vous ne pouvez être en froid avec votre sœur.
- J’ai tenté toutes les approches possibles, rien n’y fait elle est devenue mauvaise et arrogante.
- Bon je vois que cela ne va pas être simple. Merci tout de même.
- permettez moi de me retirer, je vais tenter de trouver une solution.
- Kristof, ayez la bonté de lui trouver quelque e de convenable.

Je me retire Kristoff me suis,
- Vous n’allez pas laisser tomber.
- Qui à dit que je laissais tomber. J’ai dis que ce ne serais pas simple.
- Ah je vous prie de m’excuser.
- Je vous en prie. Bon il est temps de se mettre au travaille et y a du pin sur la planche.
- Suivez-moi
- Pardonnez ma question, Il n’y a personne du personnel.
- pas à cet heure-ci
- PARTI.
- Oui, mais ne vous trompez pas, ce n’est ni Anna, ni Elsa qui les a fait partir, on est en service minimum.
- La reine fait dans l'économie, pas mal.
- Tenez ici vous serez très bien.
J’ouvre la porte et étrangement je revois ma chambre d’hôtel.
- Kristoff vous voyez ce qu’il y a l’intérieur.
- Un lit quelque armoire mais rien de très étonnant, vous savez c’est une chambre simple.
- Merci Kristoff.

Je rentre et je n’en reviens pas. Je laisse Kristoff s’en aller, puis j’ouvre la porte c’est bien les couloirs du château, mais ma chambre…. C’est étonnant. J’avais le confort de la modernité et le kitch du château d’Arendelle. La chambre j’avais à ma disposition un mini bar, une télévision, une connexion internet, bref le confort de l’homme parfait si on peu dire, je me rappel que dans l’ordinateur j’ai laissé le filme Frozen sur pause. Je m’empresse de l’allumer retrouver le fichier et que découvrais-je horreur malheur non pas Frozen mais « relation tumultueuse de deux sœurs » je me dis que là. Il y a un petit problème. Je visionne quelque parti du filme autant dire que c’était loin d’êtres pour des enfants très loin, beaucoup trop loin. Je regarde, un peu puis agacé je regarde les acteurs, ou plutôt, les actrices, je vois Elsa, Anna dans des positions assez équivoque, choquante, trop choquante et là je me dis, qu’il va falloir que je réfléchisse est-ce mes propres fantasmes, ou suis-je en train de visionner les fantasmes d’un pervers. Puis je me rappel de ce que j’ai dis « je suis comme l’observateur observé qui observe ce que l’observateur observe. » ça paraît tellement dément que je réfléchit bon prenons les choses dans un ordre concret, d’abord je rabat violemment le clapet de cet engin quand Elsa supplia sa sœur de lui…..oh puis merde. Bon reprenons je suis comme l’observateur observé, en effet je deviens témoin de ce que je fait et quelqu’un d’un œil distrait peut voir ce que je fait mais plus étonnant c’est que j’observe avec le témoin les faits à geste que je produit et du même coup je suis témoin de ce que le témoin observe et donc à mon tour je deviens l’observateur observe bref en faite je vois à la télévision mes fait et geste en Compagni d’un témoin, moi, donc je réalise avec horreur et fascination que finalement c’est peut-être moi l’obsédé de l’histoire. C’est qui me donne autre idée, pensons à autre chose parton du fait que je revois la journée, je me concentre ouvre prudemment l’ordinateur et que vois-je « l’enfant de la discorde » et là je revoie bien ce que j’ai vécu. Conclusion je suis un pervers sexuel. Cela dit en passant j’ai lu des fanfics, des histoires des théorie en tout genre de cette relation. Fusionnel et dangereuse. Il va falloir que j’enlève un doute mais il est évident que je ne vais pas poser la question de bout en blanc euh vous êtes lesbienne ? ça donne un certain cachait, je vous le garantie. Non je vais êtres plus subtile, beaucoup plus subtil ce qui va me permettre de mettre du grain dans le moulin à théorie. Si toute fois je trouve de quoi la nourrir. Je regarde le poste de télé à écran plat, j’allume je vois une série de chaine toute plus adultère qu’autre chose, mais tout a coup je vois une chaine étrange, un monsieur, un journaliste, mais en y regardant de plus prêt c’était Oaken

- You houe Nouvelle journée triste à Arendelle la présentation du prince c’est terminé par un drame l’enfant après sa présentation fu pris d’une quinte de toux et mourru dans les bras de sa mère. Toute festivité sont bien sur annulé et chacun est invité a prononcé un prière à l’enfant.

Je comprends mieux pourquoi cette dispute, je comprends mieux ce qui se passe. Je prends mon ordinateur et je commence à saisir des notes. Mais avant j’ouvre la fenêtre et là je me demandais si j’était pas fou. Il y avait quelque chose d’étrange et de fascinant, c’est bien simple je voyai des voitures arriver sous ma fenêtre mais passé vers la droite elle disparaissent. En tournant donc la tête, vers la droite, j’avais le lac qui bordait les douves du somptueux palais. Bon ok je suis définitivement désactivé. Je prends mes notes, j’y inscris toute mes observations les images que j’ai vu sur l’ordinateur ce qu’elles reflètes.

c'est vrai que ce serait troublant
- Anna j'ai un secret
- Que vas-tu me sortir
- Je suis lesbiennes.

c'est grotesque.
sapin
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L'illusion Empty Re: L'illusion

Jeu 01 Oct 2015, 00:36
Chapitre 4
Eh maintenant, que vais-je faire.

La nuit ne fut pas tellement bonne, les bruits du palais étaient même plutôt inquiétant. Je fini par me lever et décide de regarder l’heure (5.48 23 juin 1844). C’est vrai ça je suis en 1844, difficile à croire avec tout le fourbi qui m’entour. Je réalise que peut-être, s’est moi qui ais voulu de cette chambre, voyons réfléchissons cette chambre devrait être simple démuni de confort, pas de toilette, pas d’électricité, peu à peu la pièce de l’hôtel disparaît au profit de ma vraie chambre. J’ai compris j’ai soudainement compris, Einstein avait raison, enfin si nous voulions vraiment influencer notre perception des choses, il suffisait de se convaincre qu’elles existent. Mais alors Arendelle est-ce un songe ou une réalité fictive se qui finalement à peu de chose prêt reviens au même. Pour me permettre de réaliser et de lever le doute sur la question je fini par réaliser une expérience fort simple ou du moins j’espérait qu’elle l’était, je vais passer un coup de téléphone, je veux vraiment appelle ma mère c’est son anniversaire et je lui avais promis de l’appelé de Norvège. Si ça passe alors il suffisait que je veille qu’elle se réconcilie et la chose est régler, si ça ne passe pas Alors je suis dans la merde et si j’en sort je demande à voir le premier psy qui me conduira gentiment à l’hôpital Sainte-Anne et tenterais de persuadé l’expert du m’y interné a vie.

Bon c’est le moment de l’essai
- Allo
- ………..
- maman
- ………..
- maman je t’en supplis répond.
- …………..
je suis fou. Il y a quelque chose qui cloche pas mais alors pas du tout.

Soudain on frappe à la porte. J’enfile le premier pantalon que je trouve et ouvre la porte.
- Ah je croyais vous avoir dérangé.
- Non, entrez Kristoff.
- Vous êtes au courant pour le bébé, Anna est dans tout ces était elle regarde un moyen pou qu’on se sépare.
- Kristoff, je vais poser une question assez délicate et je ne suis même pas sûre que vous puissiez répondre alors je vais vous aider à formuler une réponse.
- Que se passe t’il ?
- Ecouter moi bien comment Anna parlait de sa sœur au moment du renouveau.
- Ou voulez-vous en venir,
- Répondez à la question je vous demande d’être sincère
- C’est gênant a dire.
- Continuez je vous rassure d’ou je viens plus rien ne m’étonne.
- Elle parlait d’embrasser sa sœur.
- Ok donc je ne suis pas complètement crétin. Et dire que je croyait que c’était impossible
Bien on approche d’un mystère, elle serait donc lesbienne. Eh bah les producteurs s’il sont venu ici, ils ont du drôlement remanier l’histoire.
- Euh Kristoff, on est entre homme ok
- Vrai de vrai oui,
- Très bien, avez vous consommer votre mariage autre qu’en concevant des enfants.
- Je vous demande pardon ? Oui bien sure.
- Très bien.

Bon ok l’une des deux l’est, il faut que je trouve une question assez délicate mais pas franchement gênante ou si, un peu peut-être, voyons ah ça y est
- Elle est exigeante au lit
- Ah ça coucher avec Anna c’est disons sportif, heureusement que je suis montagnard….
- Ok ça suffit.
- Ah ok. Vous savez elle est de feu, mais c’est une femme très douce.
- Je n’en doute pas.
- Vous allez m’aider à éviter qu’on se sépare.
- Kristoff, depuis quand le divorce et prononcé après le mariage
- Bah jamais, c’est pour ça que je pense qu’elle va essayer de me tuer.
C’est plus la reine des neiges, c’est la reine des meurtres. Qui veux jouer à cluedo. « oui, moi, moi, », bon ok le pauvre en faite à la trouille de ce faire tirer par les gardes et je le comprends.

Je réalise avec difficulté que finalement je ne connaissais rien au monde ou je me trouvais.
- Y a t’il une bibliothèque ?
- Oui
- Elle est disons libre d’accès ?
- Tous les habitants on le droit d’y accéder, seul la réserve royale est à la reine.
- Je me contenterais des écrits disponibles.
Je regarde Kristoff, c’est fou comme se blondinet et plutôt cool d’apparence, et dire qu’il est marié à la plus splendide des créatures.
- Vous aviez songé à être parent auparavant.
- C’est plus un accident on y pensait mais vous savez la nature à ces règles…
- Je me doute, certaines choses son difficile à contrôler.
- En effet, mais quand elle à su c’était merveilleux. Elle préparait cette événement comme un moment de fête.
- Kristoff, je crois que ni Anna, ni Elsa ne sont responsables de ce qui c’est passé.
- Vous avez bien vue un bébé congeler.
- En effet.
- Donc vous conviendrez que c’est Elsa qui l’a congelé.
- Je ne dis pas le contraire tout l’accuse a priori.
- Donc Elle à ruinée mon couple.
- Si tel est le cas, pourquoi. Enfin, je veux dire quel intérêt. vous m’aviez dit qu’elle voulait voir comment sa sœur embrasse, c’est paradoxal mais finalement je peu trouver dans certaine chronique d’amour passager entre frère et sœur. Réalisons le fantasme et on en sera quitte.
- Vous les imaginez s’embrassant et faire des trucs un peu interdit.
- C’est la reine et la princesse, Alors, moi, je ne m’interdit rien.
- Soyez sérieux.
- Je suis d’accord c’est farfelu. Non plus sérieusement je vais vous racontez les évènements tel que je pense, elles se sont produites.
- Allez-y
- La naissance à lieux, votre fils, je veux dire le premier fils se présente, heureuse les deux sœur partagent cet événement, vous n’êtes pas oublié mais mis en retrait, c’est logique, mais voilà Anna prends peur et canalise la magie d’Elsa, cette dernière voyant la chose décide de sauver ce qui est faisable en le mettent en hibernation.
- Vous êtes en train de dire que l’enfant vis sous la glace ?
- C’est une théorie.
- Comment pouvez-vous tirez de tel théorie.
- Je ne peu m’expliquer mais il va falloir me faire confiance et accepter un certain nombre de contrainte dont revoir votre épouse.
- Comment !
ou est elle a présent ?
- Anna est avec sa sœur en principe mais vu le froid qu’il y a entre elle je peu supposé qu’elle est dans notre aile du palais.
- Bon bah vous savez quoi, on va y aller.
- Quoi, maintenant.
- Oui, ça vous dit une petite partouze
- C’est quoi une partouze.
- Oh c’est rien laisser tomber.
- Allez-y chez les trolls j’en apprends aussi
- Oh après tout vous êtes un spécialiste de l’amour.
- Ah c’est vrai ça.
- Une partouze c’est quand on fait l’amour à plusieurs.
- Eh c’est m’a femme.
- Bah raison de plus si elle s’ennui !!!
- Dois-je vous rappeler qu’elle cherche à se séparer de moi.
- Un appolon comme vous, c’est du pure gachie elle va y réfléchir croyez moi. Faut bien qu’il y ai un p’tit montagnard qui lui gigotte le gobelet.
- Vous êtes fleurie quand vous vous y mettez. Nous y voilà.
- Ah Kristoff je suis désolé j’ai été dure avec toi, tu as…… vous (elle me regarde comme si je venais d’une pochette surprise)
- Bah quoi, j’ai rien fait moi ?
- Entrez. me dit elle.
- Anna s’il te plait ne soit pas si dure avec lui il a vu la tombe de notre bébé et c’est honorablement acquitter des vœux de paix adresser au seigneur pour le repos de notre fils.
- Kristoff, j’ai perdu un deuxième bébé (et ce met à pleurer)
Désireux de soulager le couple je me propose de faire un peu de cuisine
- C’est gentil mais c’est juste dans la marmite à la cheminé principal.
- Bon très bien Anna, je vous sers.
- PRINCESSE (me fit remarqué cette dernière).
- Bon ok princesse Anna je vous sers.
- Je veux bien,
- Anna, as-tu vu ta sœur. Demande Kristoff
- Elle à décider de ne plus me parler.
- Euh ça ne me regarde peut-être pas mais quel sont les raisons.
- Ma sœur me reproche de ne pas savoir ce que je veux ?
Kristoff commençais à s’agiter sur sa chaise
- Elle est culotté elle congèle notre progéniture et elle te sort ça, toute reine quel est la psychologie n’est pas son fort.
- C’est en gros ce que je lui ai dit.
- Bien parler ma chérie.
- Euh j’ai une autre explication.
- Vous, Silence. Me lancèrent de manières spontané le couple.
- Soyez heureux que je vous accepte à ma table. Cru bon de rajouter la pauvrette.
- Puisque vous m’avez l’air assez bien partant pour les remarques désobligeantes, je vais tout de même en placer une malgré que vous soyez prince, princesse et tout le tralala du château. Kristoff tu m’as dis que c’était un accident, vous voulez des enfants mais pas tout de suite, celui-ci est tombé un peu en avance.
- Vous pouvez arrêter la nature.
- LA PILULE CONNASSE. Je m’arrête, ils ne connaissent pas la pilule c’est apparut au cours du 20ème siècle. « je vous pris de m’excuser je me suis emporté »
Kristoff me regarde « c’est quoi une pilule » Et merde j’avais gaffé une invention qui arrivera au mieux 100 ans plus tard, puis un combat pour les féministes de tout bord, la liberté sexuel, non c’est trop pour ces deux là, quoique je fait le pari qu’Anna ait des mœurs, plus que douteuses, si j’ajoute que ça sœur ne la rattrape même pas….. Mes enfants, Disney à du drôlement s’amuser. Je vous laisse imager s’il était venu ici en plein travaux y a du avoir du mouvement.
- Kristoff je ne sais même pas moi-même j’ai sorti ça un peu en espérant que dans le futur certain accident pourrait être stopper ou prévenu en amont.
- Une chose qui permettrai de ne pas avoir d’enfant, mais c’est horrible ! S’exclama notre effarouché de princesse.
- En attendant, ça t’aurais fait un bien fou. Lui rétorquais-je.
- Euh Sapin, ma femme va faire une crise, tu l’as un peu poussé à bout.
- Ah merde les gamins grandissez un peu, je vais vous dire ce qui ce passe et ayez la bonté de remercier Elsa. Car votre gamin, il est pas mort il est en suspend. Je vais vous raconter ce qui se passe exactement, l’ors de la présentation, Anna tu as tendu l’enfant à ta sœur, celle-ci était heureuse comme jamais, même si cela ruinait ses rêves de te révéler ses sentiments pour toi, mais toi horrifier de devenir mère voyant la responsabilité tu as provoqué la magie de ta sœur en invoquant « pourvu que ma sœur le congèle, j’en veux pas maintenant » Ta sœur dans son immense bonté n’a pu tenté de faire marche arrière sa magie opérait, alors elle à fait un veux, ELLE S’EST RACHETÉE, du sacrifice en donnant ou plutôt redonnant une chance de vie à FEU LUDWIG.
- Comment insinuez-vous que ma sœur serait de mœurs légère.
- Pas une pas rattraper l’autre. Puisque je suis aussi stupide Madame, Princesse d’Arendelle, on va crever les abcès maintenant, sa fera du bien à la reine et à toi et par la même occasion à ton marie que tu frappe, ou que tu agresse. Hein allez hop tous chez mère Elsa.
- NON MAIS ÇA NE VA PAS, ON DÉRANGE PAS LA REINE.
- Tien, je vais me gêner votre seigneurie.
Je me lève je sors, me retrouve dans le couloir et réfléchis, mais très vite Kristoff et Anna me rejoignent.
- Vous ne savez même pas ou elle se trouve !
- Ah mes j’attendais la joyeuse compagnie des lapin crétin.
- On peu vous indiquer le trajet, mais, nous, nom
- Vous avez peur de belle-maman ? Je vous informe, c’est le moment d’être adulte.
- Vous avez quel âge vous pour nous donner des leçons ?
- Mon Ages n’a que peu d’importance, c’est la façon dont on appréhende la vie qui fait que nous sommes Agés.
- Eh
- Ta sœur et mature, sur certain côté et sur d’autres ne l’ai pas assez, mais une chose est sur elle à soif d’apprendre, elle à soif de découvrir. Aller, allons voir maman Elsa.
- Vous tenez vraiment à la voir, parce que, en principe elle dort.
- Je lui demanderai de me faire un bonhomme de neige.
- Ah non pitié, pas vous ?
- Pourquoi, j’aimerais bien moi un petit bonhomme de neige.
- Bon attendez. S’éclipsant quelque instant puis reviens avec un grand manteau en peu de renne. « Prenez ça ça peu s’avérer utile.
- Ah c’est qu’elle commence à pas être trop bête ta femme Kristoff. Bon aller, en avant.
Nous parcourons les couloir du château et peu à peu quelque chose me dit que je suis dans la bonne direction, les bruit se font entendre comme si par le simple fait de faire amener le couple vers Elsa provoquait quelque chose
- Nous sommes devant la porte de ma sœur.
En effet, j’entendais une chose terrible, elle pleurait, la porte était chaude, je rends le manteau à Anna.
- Je pense que je n’en aurais pas besoin. Bon soyez sages ne commencer pas à vous chatouiller le bas ventre je vous appellerais. Mais rester pas loin.
- Euh bon courage.
- Merci Anna.
- Euh sapin, on est un peu responsable en quelque sorte, alors je prends les risques aussi.
- Très bien Kristoff, je note
- Ok très bien je viens avec vous personne ne connais ma sœur aussi bien que moi.
- Anna, je pense que justement, tu ne l’as connais pas assez, en revanche, par les on dit elle s’est faite une idée de toi.
- Euh sapin, j’entends du bruit.
En effet il semble que les chose se précipite, comme si quelque chose se mettait en branle c’est étrange une agitation, je ne serai l’expliquer, c’est comme si chaques actions que j’allais entreprendre aurait des conséquences.
- Que ce passe t’il Kristoff ?
- Le personnel !
- Apparemment ils sont de retour, ce qui colle avec ce que je pense. Bon il est temps d’agir. J’ouvre la porte.
Là on découvre Elsa au sol en train de pleurer, très vite Anna s’approche d’elle, Elsa se laisse faire, Anna la berce et lui murmure des chose rassurante et soudain le temps s’est arrêter enfin plutôt c’est figé…………
sapin
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L'illusion Empty Re: L'illusion

Jeu 01 Oct 2015, 17:14
Chaptitre 5
Et tout redevint comme avant.

- Anna, Anna, pour l’unique fois de ma vie, embrasse-moi.
Je m’approche de Kristoff lui intime l’ordre stricte NE FAITES RIEN.
- Elsa, je suis pas sure que se soit très convenable,
- Anna, je t’ai laissé l’épousé,lui tu peu au moins m’accorder cela.
- Anna, fait ce qu’elle te dit. Lui dis-je. Tu apprendra ce qu’est souffrir d’amour.
- Mais. C'est ma soeur bande de dégueulasse, pervers
- Il à raison Anna, fait le.
- Très bien. Kristoff tu veux qu'on raconte que la princesse à dévergondé sa soeur, hein, c'est ça.
- ah écoute Anna, on te demande pas de faire des cochonneries, même pas un broute, miaou, oups pardon majesté, merde, roule lui un pèle epissetout. lui rétorquais-je mis amusé, mis excédé.
- Et après qui l'enfourche. sortie brutalement Anna.
- eh oh Anna, redescent, on parle pas de chevauché fantastique là. Argumentais-je.
- vous n'êtes qu'une bande de petit percer. Ce tournant vers Kristoff : toi , tu perd rien pour attendre.
- Ça va être ta fête, KriKri, lui dis-je.
Anna se penche sur sa sœur l’embrassa et tout d’un coup j’eu l’impression de voir deux choses La chambre d’Elsa et quelque chose d’autre en surimpression. Se baiser sembla durer une éternité, y prenait elle gout, on ne le seras sans doute jamais, et c’est peut-être mieux ainsi. Toujours utile qu’une fois cette action faite Anna et Elsa avait retrouver leur complicité.
- Anna, il faut réveiller le petit.
- Mais…. Il est mort…..
- Chut Anna on va le réveillé ensemble. Elsa se tournant vers nous : Messieurs, j’espère que le spectacle vous a plus. Mais nous avons une mission à accomplir.
- Ah euh oui la crypte.
Et hop on refait les couloirs sauf que visiblement y a plus de monde il y avait de l’agitation comme si le palais revivait.
- Votre majesté. Se présenta le majordome, « prendrez vous votre petit déjeuner se matin.
- Oui Kay, j’arrive, je dois réveiller avec Anna le petit ludwig.
Kristoff courrait à mes côtés.
- Euh sapin, le second enfant, il est bien mort lui ?
- Plus tard Kristoff, je vous expliquerai après.
Nous arrivons devant la crypte, instantanément la glace fond et par miracle cette glace se transforma ou plutôt se retransforma en OLAF. Et devinez ce qu’il tenait dans ses brindille de bras, Ludwig, qui était toujours de glace, mais ce qu’Olaf leur dit fut la magie la plus belle.
- Anna et Elsa, il faut le réveiller, maintenant.
Et les deux sœurs le prirent dans leur bras et tout a coup un cri, un cri de bébé, il était né. Et là tout s’enchaina la pièce qui était auparavant un lieux de mort devint un lieux d’amusement, la joie était là le rêve repartait, dehors le marcher repris vie le commerce reprenait. Tout d’un coup le monde reprenais sa place.

- Il est vivant, mon fils est vivant. S’enthousiasma Anna.
- Il est magnifique Anna c’est un beau petit prince.
- Saint-Exupéry. Lançais-ja de manière lapidère.
- Qui est-ce
- Oh un auteur qui à écrit l'une des plus belle chose, tenez je peu vous en dire un mot, c’est la plus belle phrase que mon amie d’enfance appréciai le plus. « On ne voit bien qu’avec le cœur. L’essentiel est invisible pour les yeux. »
- C’est beau. S’exclama Kristoff. « Qu’est ce que cela veux dire ?
- Bah par exemple si tu regarde les filles d’Arendelle, elles te paraitron surement jolie séduisante, à coucher, bref à séduire et en se sens Anna est une des nombreuses filles à séduire, mais ton cœur à vu sa bonté d’âme, et cela, nulle vision te permet une telle observation. En gros ce qui est essentiel n’est visible que du cœur et rien d’autre. Elsa était la seul à avoir vu que le petit était vivant, je veux dire par rapport à vous deux. Moi je ne me fit rarement aux apparences, c’est pour ça que j’ai compris aussi que par amour pour toi Anna, Elsa à congeler l’enfant plutôt que de le tuer, mais dans le même temps elle s’est rendu compte qu’elle mettait en péril un équilibre fragile et quand nous l’avons vu pleurer, elle se rendait bien compte que la fin approchait aussi pour elle.
- Elle a sacrifier un équilibre, mais lequel.
- Ah je ne peu vous en dire plus. Mais je pense que ce n’est pas la peine de le comprendre.
Elsa s’approcha de moi, « vous allez repartir »
- Oui, mais j’ai une explication à donner à ta sœur et son marie.
- Quoi ?
- Vous m’avez demandé pourquoi le second enfant.
- Ah oui c’est vrai.
- Eh bien dite vous que cette enfant n’a pas tellement existé il à été un reflet de vos désirs, une façon de conjurer le sort.
- Mais quand il est mort, le second ?
- Quand le second mourus, il était évident qu’il y avait quelque chose qui n’allait pas, vous auriez pu concevoir autant d’enfant, il serait mort de toute manière.
- Parce que Ludwig était le premier véritable !!!
- On peu voir cela comme ça.
- Mais peut-on en avoir d’autre maintenant ?
- Maintenant oui. Mais profitez de votre jeunesse.
- Sapin,
- Oui votre majesté,
- Aslan arrive, pour te chercher. Mais avant, j’ai un cadeau à te remettre, je suppose que tu voudrais savoir qu'était notre enfance à toute les deux.
- C’est juste
- Prends ceci. Elle me donne un carnet broder d’or ou était brodé une rose et une petite fille : prends en soin, il est unique.
- Attendes ! s’écria Anna, elle ouvre un tiroir : si ma sœur vous a donnez le sien, autan vous donner aussi le mien.
- Je vous en remercie c’est un présent rare. Comment vous le rendrais-je.
- Vous trouverez surement un moyen, j’en suis sûre. Qui sait.
- Bon j’ai l’impression que c’est les adieux, je dois rentrer.
Et tel le grand roi des animaux Aslan, s’arrêta devant moi et attendait gentiment la fin de ma conversation avec Elsa.
- Enfin, le calme est revenu. Furent c’est premières paroles.
- Sapin, à ramenez l’équilibre. Fit remarqué Elsa.
- Non Elsa vous l’avez fait ensemble, Anna et toi, Kristoff était le guide de Sapin. Aller l’ami, vous avez un avion à prendre, et vos affaires vous attendent à l’enregistrement, c’est que vous êtes en retard.
- Ah mais je fais comment.
- Réveilles toi.
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L'illusion Empty Re: L'illusion

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