- Le Royaume d'Arendelle -
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Lucifer
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La reine des neiges : Les flammes et la glace Empty La reine des neiges : Les flammes et la glace

Jeu 05 Juil 2018, 22:13
La reine des neiges connait enfin un bonheur auprès de son peuple et de sa famille n'ayant plus peur de cacher ses pouvoirs, la princesse Anna prépare son mariage avec son prince charmant.
Mais ce bonheur semble de courte durée car un homme aux pouvoirs ardents, issu d'un passé sombre du royaume, arrive à Arendelle bien décider à réaliser sa vengeance, il amènera avec lui des secrets cachés et des flammes de colère.

"Quel médiocre usager de la vie que celui qui prend pour source de sagesse la peur que lui inspirent ses colères"


Dernière édition par Lucifer le Mar 28 Aoû 2018, 05:16, édité 1 fois

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Jeu 05 Juil 2018, 22:23
Avant toute chose je vous préviens cher lecteurs que ceci est ma première fanfiction, donc un peu d'indulgence et que les personnages de Frozen sont la propriété de Walt Disney Picture.
Comme il existe plusieurs site d'information de "Frozen" où les informations ne sont pas les même entre eux j'ai donc décidé de prendre les informations qui m'arrangeais le plus dans la logique scénaristique :
-11 ans sépare l'instant où Anna a été blessé par sa sœur et le couronnement d'Elsa (certains sites disais 10 ans d'autre 12, j'ai coupé la poire en deux).
-Le nom de la mère d’Elsa et d’Anna est Iduna et celui du père est Agnarr. (Désolé pour les fans d’OUAT)
-Gerda est la gouvernante qui patine avec Kai à la fin du film.
-La reine Iduna était la fille du précédent roi d'Arendelle, Agnarr est donc devenue roi d'Arendelle par le lien du mariage.
-Dans le long-métrage "Frozen" Elsa à 21 ans, Anna à 18 ans.
-Le royaume porte le nom de sa capitale: Arendelle

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Dim 26 Aoû 2018, 23:10
Prologue

Avez déjà connu ce sentiment d'abandon, ce sentiment se traduisant par une plonger dans des abysses sombres, noir et sans fin. Comme quand qu'on vous lâche depuis un bateau dans un océan de sentiment et d'émotion, à la surface vous voyez la joie, le bonheur, l'amour mais vous avez un boulet au pied et il vous entraîne dans les profondeurs abyssal là où se tapis la douleur, la peur et le tourment, vous essayer d'atteindre la surface de hurler et on vous entend, le bateau vous entend mais de ses passager personne ne vient pourtant ils peuvent sautés, plonger et vous libérer de ce boulet mais personne ne plonge et ce  boulet vous entraînes toujours plus au fond là où il n'y a plus de lumière, plus de sentiment heureux seulement l’obscurité.

Vous restez là dans le noir et petit à petit le mal gagne sur vous, votre peur devient la folie, votre tolérance devient du mépris, votre calme devient de la colère et votre amour se change en haine, vos yeux cesse de voir le jour. Un jour vous réussissez à briser vos chaines qui vous retenaient à ce boulet, ce boulet qui n’était juste une qu’une question :  

                                                                                 "Pourquoi m'a-t-on abandonné ?"

Cette question qui vous a entraîné dans les abysses, la réponse n'a plus de valeur désormais. Vous atteignez la surface vous voyez les sentiments heureux mais vous ne les ressentez plus, vous vous mettez à nager vers le rivage vous atteignez enfin le port et voyez le bateau et ses passages, ceux-là même qui vous on abandonner et c'est ce moment-là que vous n'êtes plus un humain, vous  laissé parler votre colère et vous détruisez tout du bateau. A ce moment le monde décide de vous rejeter complètement. Une nouvelle fois vous vous sentez seul, vous vous sentez abandonné et c’est à ce moment précis que vous êtes brisé et qui ne reste plus rien de la personne jeter à la mer. Les gens vous regarde comme si vous étiez un monstre et vous vous comporté comme un monstre puis vous passé le point de non-retour et vous devenez la bête que les gens voyaient en vous. Tout ça à partir d'un simple sentiment, et ce sentiment à fait de vous un monstre.


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Lun 27 Aoû 2018, 14:47
Chapitre 1 : Un carrosse dans la nuit

Le jour avait déjà disparu depuis un moment, le ciel dégagé permettait à une magnifique pleine lune d'éclairer la forêt enveloppée dans le manteau de la nuit, un carrosse s'aventurait sur une route de campagne, s'avançait dans la faible obscurité, il roulait depuis l'aube, s'arrêtant seulement pour abreuver les deux chevaux de trait. Le cocher fouettait les chevaux, ne sentent plus son bras tant il l'avait levé pour maintenir l'allure, le carrosse commençât à ralentir alors qu'il sortait de l'épaisse forêt, le conducteur ne put retenir son contentement;

"Enfin j'en voyait plus le bout."    

En face de lui, se tenant à seulement un lieu de distance, une ville s'étendais dans le creux de la vallée où un fleuve la traversait avant de se jeter dans la mer, la ville de Londemare n'était pas aussi grande et majestueux que la ville d'Arendelle mais elle l'avait le charme des villes qui mêlait la côte et la campagne, une communauté soudée, des champs fertiles, une mer riche en ressource, un fleuve qui les dispensait d’un puits et une grande forêt pour les réchauffer face à l'hiver.

Le carrosse traversât le petit bourg, alors désert à cette heure, continuant sa route, il montât une colline et s'arrêta juste devant la grille du seul bâtiment se trouvant sur la colline qui dominait la ville, l’un des plus grands bâtiments de la ville où y était inscrit en grand caractère juste au-dessus de la grille :

                                                                                "ORPHELINAT AUX 100 CŒURS"

L'orphelinat ressemblait à un petit château de la Renaissance de 3 étages se situant dans une cours entouré par un muret de 6 pieds de haut.
Le coché frappât sur le toit du carrosse pour faire signe à leurs passagers qu'ils étaient arrivé à leur destination. A l'instant même, la porte de la calèche s'ouvrit laissant un homme en descendre, il portait une toile à capuche qui dissimulait son visage, derrière lui suivit une femme, portant le même genre de toile, elle tirait par la main un enfant à peine âgé de 6 ans et de l'autre tenais un grand panier couvert par un tissue. L'enfant se débattait pour échapper à la prise de la femme.

"Non lâche-moi, Mama, je m’enfuirait plus, promis, je ne recommencerais pas mais lâche moi."

L'enfant suppliait et pleurait en même temps, il avait peur, peur d’être laissé seul. Pendant que l'homme tirait sur une chaîne pendue près de la grille, faisant entendre le son d'une cloche au loin, la femme s'agenouillât et portât son regard à la hauteur de l'enfant.  

"Si nous faisons cela c'est pour ton bien, tu comprends, regarde c'est un beau château non ? Et il a plein d'enfant de ton âge en plus, tu n'as pas envie de te faire de nouveaux amis ?"

La voix de la femme contenait une certaine forme de pitié à la vue de l'enfant en larme.

"Non, j'ai pas envie, j’ai pas envie, j'ai pas envie."

La femme tira sur l'enfant de nouveau plus fort, en espérant que ce mauvais moment serai vite finit pour tout le monde, se répétant à elle-même que c'est pour le bien de ce dernier.

Aux bruits répétitives de la cloche, un homme d'une cinquantaine d'année était arrivé, en jurant sur qui arrivé à cette heure du soir, l'homme portait un manteaux de tranché de cuir sombre qui se finissait aux chevilles, un haut de forme écrasé, une chemise de toile de couleur rouge et un pantalon kaki très sale tenue par une ceinture noir, se déplaçant grâce à une béquille posé sous son aisselle droit car le détail qui ne se loupait pas chez cet homme était sa jambe droit absente remplacée par un long bâton. Son pied gauche se finissait par une longue botte noire se terminant sous le genou,  il avait avec lui une lanterne qu'il tenait par sa main disponible. Quand il atteignit les grilles, les voyageurs pus voir et surtout sentir l'attention que l'homme portait à son hygiène, sa courte barbe brune semblais n'avoir jamais été lavé, les cheveux qui dépassait de son couvre-chef n'ont pas vu l'ombre d'un bain depuis des lustres et son nez vermeil n'arrangé rien. A leur vue l'homme ne pris pas la peine d'employé des formalités;

"Qui est-vous, quesque vous voulez ?

Son haleine se fît sentir malgré les mètres qui les séparaient des visiteurs. L'espace d'une seconde, l'homme à la toile pensait qu'il n'était pas au bonne endroit mais après avoir relue une seconde fois les inscriptions sur la porte, il se prononça;

"Bonsoirs mon fils, je suis le père Amédée, nous aimerais nous entretenir, si cela est possible avec le directeur, Monsieur Isaak, je vous prie."

L'homme au haut de forme releva la lanterne à la hauteur des visages pour mieux observer les inconnues, comme pour déceler une quelconque  information dans leurs yeux, à la lumière de la lanterne un pendentif en forme de croix se mit a brillé au cou du père Amédée, âgé d'à peine de quarante ans, symbole de son appartenance aux ordres. Il pointât ensuite le faisceau sur la femme, qui devait entamait la trentaine, qui, sous sa toile, était dans une tenue qui ressemblait à celle d’une domestique. Il finit par apercevoir l'enfant, toujours habitué à l'obscurité de la nuit, qui mettait sa main au visage pour protéger ces yeux de la forte lumière de la lampe.

"Un cureton, une bonniche et un mioche en pleine nuit, l'homme à jambe de bois marqua une pause, on dirait le début d'une blague et je sens qu’elle va pas me plaire, bougeais pas je vais voir si monseigneur peut vous recevoir."

Après être sûr qu'il soit parti la femme saisie le prêtre par l’épaule;

"Nous n'allons pas le laissez ici quand même, vous avez vu cet individu, si cet homme représente l'image de c'est endroit, il est hors de question de le laissez ici."

"N'ayez pas peur voyons, Monsieur Isaak est un bon ami quant à cet homme, eh bien, c'est un orphelinat ici avec plein d'enfant turbulent il faut savoir bien s'entourer d’homme qui sache se faire entendre, il souffla, et puis ce n’est pas comme si nous avions le choix."

Le prêtre cacha le fait que cet homme avait fait le même effet sur lui que sur la femme et tenté lui-même de se convaincre avec les mêmes arguments. Pendant ce temps l'enfant continuait de pleuré.

"Pourquoi, vous me laissé ?"

Il dû se mettre à plusieurs fois pour prononcer correctement la phrase entre ces deux reniflements.

"Nous ne t'abandonnons pas, nous faisons ce qu'il y a de mieux pour toi, tu seras bien ici, et puis nous viendront te voir souvent."

Malgré ces douce parole l'enfant ne cessa de pleuré.

Après de longue minute, l'homme au long manteau est revenu, il a sorti un trousseau d'une dizaine de clé de sa poche intérieure et il en insérât une dans le verrou de la grille qui s'ouvrit avec un grincement.

"Suiviez-moi, je vous conduis au grand chef." Il parlait comme si chaque chose qu'il l'entourait l’excédait.

Le petit groupe traversa la cour au rythme de l'homme à une jambe, ils entrèrent dans le hall d'accueil spacieux mais vide de meuble juste un grand tapis, ils suivaient un couloir se situant sur leur droite qui les menaient vers une pièce où se trouvait un grand bureau en bois éclairé par un chandelier, un homme, proche de la soixantaine dans une tenue élégante d’instituteur montrant une certains autorité, avec le crane dégarnie et une courte barbe blanche bien entretenue y était assis et se leva à la vue de ces visiteurs.

"Bien le bonsoirs Isaak."

Le prêtre entama les salutations.

"Amédée, mon vieil ami, les nouvelles sont bonnes à la capitale, les deux hommes se seraient la main avec force témoignant de l'affection qui se montré mutuellement, j'ai entendu dire qu'il y a eu un terrible incendie à l'anniversaire de notre jeune princesse.

"Les nouvelles vont vite à ce que je vois, en effet, mais grâce à Dieu, il n'y a personne à pleurer, plus de peur que de mal"  

"Tant mieux, tant mieux, et qui est-ce…une amie" dit- en montrant la femme encapuchonnée du regard.

"Oui, une amie." répondit le dénommé Amédée mais sans en rajouté comme pour protégé un secret "Tu te doutes bien que je ne suis pas venue ici pour une simple visite de courtoisie ?

Le visage du prêtre pris un air sérieux et le visage du directeur de l'orphelinat pris le même air voyant le sérieux de son ami.

"J'imagine, il se retourna vers l'homme qui les avait conduit ici, Gregor laissé-nous je vous pris."

Juste avec un grognement le nouvellement nommé Gregor s'éloigna jusqu'à ce que Amédée se rattrape;

"Attendez! Serait-il possible que l'enfant soit couché, il doit être fatigué après un si long voyage et c’est pour te le confié que nous sommes venues."

Isaak se demandé de quelle enfant il parlait jusqu'à ce qu'il se rappel que Gregor lui avait parlé de trois "visiteurs", il vit le jeune garçon caché derrière l'"amie" d’Amédée. Un garçon à peine âge de 6 à 7 ans sortit de sa cachette pour être vue au grand jour, le directeur clignât plusieurs fois des yeux quand il vit le visage de l'enfant pour être sûr de bien voir; un garçon au cheveux noir corbeaux, a l'œil gauche aussi dorée que le cuivre mais rougis par les larmes, au visage d'ange pouvant faire fondre les cœurs des femmes une fois adulte, enfin uniquement si il n'y avait pas un bandage qui lui couvrait la partie droit du visage, et son œil lui cachant une blessure large et profonde qui traversais son visage du haut de son oreille droite jusqu'à sa lèvre inférieur en passent par son œil. La blessure semblais ressente, Gregor, lui, faisait mine de ne pas être impressionné, il est vrai qui ne l'avait pas remarqué quand il avait pointé la lumière compte tenu du fait que le garçon avait caché son visage mais la vue d’une blessure pareille sur un si jeune visage ne laisse pas n'importe qui indifférents.

Après c’être rendu compte du silence qui commençait à être pesant, le directeur y a mis terme;

"Euh Gregor, veuillez mener notre jeune ami au dortoir avec les autres, trouvez lui une chambre disponible."

"Bien Monsieur, marmonna Gregor, allé suis moi p'tit" il le dit d'une manière non châlent.

L'enfant ne bougea pas d'un cil se refusant toujours de rester dans cet endroit inconnu, mail il fut très vite poussé par la femme qui l'accompagna toujours avec son panier à son bras.

Attendent qu'ils soient partit Amédée questionna son hôte;

"Tu as confiance en lui"

"Gregor a peu de qualité, mais parmi elles, la loyauté est présente et ça me suffit"

"Tant mieux et de tout façon cela importe peu car ce que je m'apprête à dire est de la plus haute importance et dois rester strictement entre nous même ce Gregor ne doit pas être au courant, ce n'ai pas un hasard si je t'ai choisi pour le gardé"

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Après avoir monté les escaliers, Gregor fit avancer le garçon et la femme dans un autre couloir large où sur chaque côtés se trouvait une quinzaine de porte, il les conduisit au fond et ouvrit une porte situé sur sa gauche où se trouvé un lit calé contre le mur, un petit bureau, une chaise, une armoire et une fenêtre avec vue sur le bourg. Gregor sans dire un mot partait, le garçon demanda;

"C'est ma chambre ?"

La femme, toujours encapuchonné, s'appétait à répondre quand il fut coupé.

"Non c'est ta nouvelle vie" Gregor ne c'était même pas tourné pour répondre.

La femme lui lança un regard noir pour cette réponse brutal.

"Je vais pas rester longtemps ici hein ?"

L'homme à une jambe se retourna ris à la question.

"AH, si on m’avait donné une pièce à chaque fois qu’j'entendait ça je m'serais acheté une jambe en or il y a une paye"

"Mais taisez-vous à la fin ce n'est qu'un enfant"

"On gagne du temps à dire la vérité, allez ! Qu'il dort et..., il regarda le garçon dans les yeux et lui sourit à pleine dent. Les dents qui lui restait était tout jaune et paraissait sur le point de tombées, fais attention aux rats ils adorent rogné les doigts de pieds" sur c'est dernier mots il disparut à travers le noir laissent l'enfant tremblé à l'idée des rongeurs.

"N’écoute pas cette homme" la femme poussa l’enfant dans la chambre.

L'enfant entra dans sa nouvelle demeure, toujours poussé par la femme, cette dernière ferma la porte derrière lui, elle posa le panier sur le lit.

"Allez, déshabille-toi, tu vas allez dormir." elle sortit du panier un pyjama.

"Dis, Mama, c'est à cause de ce qu'ai j'ai fait que je suis ici"

La femme ne répondit pas à sa question, se contentant d'habiller le garçon d'un pyjama pour la nuit.

"Dans ce panier tu as des nécessaire de toilettes, des vêtement de rechange, du papier et des crayons de couleur.

Elle partit sans même ajouter un regard à l’œil rougit de garçon, laissant le garçon l’appelé encore

"S’il te plait mama....ne me laisse pas....je recommencerait pas c’est promis…Mama……Mama".

A mesure que la femme s’éloignait la voix du garçon commença a baissé et ces mots de supplie commençaient à se changer en sanglot.

Le petit garçon s'enveloppa dans ces draps et se remit à pleuré encore plus fort priant de toute son âme pour quitter cet endroit inconnue.

"Pss."

Un murmure venait de se faire entendre le garçon cherchât l'origine du son et remarqua un petit trou à peine assez large pour faire passer une souris à la hauteur de son lit, il déposât son oreille pour entendre une voix d'un garçon pas plus âge que lui.

"Y a pas de rats ici. Il dit ça tout le temps pour faire peur, alors t’a pas a pleuré."

"Je pleure pas pour ça, je pleure parce qu’ils me laissent seuls."

"Toi aussi t’as plus de papa et de maman ?"

"Si j'ai un papa et j'ai même une maman."

"Tu parles de ceux qui t'ont laissé ici? Ici c'est un orphelinat, c'est ici où vont ce qui n'ont pas de papa et maman."

"Non, je vais pas rester ici, ma maman et mon papa vont bientôt venir me chercher." le garçon répondit avec conviction mais semblais prononcer cette réponse plus pour lui-même que pour son voisin de chambre.

"Moi c'est Yassos et toi c'est comment" questionnât la personne derrière le trou de la cloison.

"Yassos" il murmurât son nom avant de répondre ."Moi c'est Alvin."

"On mange ensemble demain au petit-déjeuner si tu veux."

"Si tu veux."

Alvin se leva de son lit il séchât ces larmes en s'approchant de la fenêtre, il observa pendant un moment la pleine lune, ses larmes recommençaient à couler quand il aperçut un carrosse s'éloigner au loin dans la nuit le laissant seul a son chagrin dans cet endroit qu'il ne connaissait pas.

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Yassos commençait à s'assoupir quand, le garçon a la peau bronzé et aux cheveux crépus entendit un murmure venant de la chambre du nouveau, cela ressemblais a une chanson chanté à voix basse par une voix triste:

Guillot, prends ton tambourin,
Et toi ton flutiau, Robin.

Guillot, prends ton tambourin,
Et toi ton flutiau, Robin.

Au son de nos instruments,
Turerelu, Patapatapan !

Au son de nos instruments,
Chanterons Noël gaîment.

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Pendant que les lanterne de Londemare devenaient un simple point de lumière, la femme releva sa capuche libérant sa chevelure sombre, mais en retenant toujours ces larmes.

"Je n'ai même pas eu le courage de le regarder dans les yeux pour lui dire au revoir" sa voit contenait le regret et la honte.

"Nous avons fait ce qu'il fallait, il ne lui arrivera rien là-bas" rassura le prêtre.

"J’aimerai tellement avoir votre optimiste, mais je crains de ne pouvoir jamais me pardonner pour ça."

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Mar 28 Aoû 2018, 14:27
Rendez-vous lundi 3 septembre pour la suite.

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Lun 03 Sep 2018, 21:08
La reine des neiges : Les flammes et la glace Cez10

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Lun 03 Sep 2018, 21:11
Chapitre 2 : Plus jamais seul

17 ans plus tard.

Quand son pied se posa sur les pavés de la grande cour du château, une fine couche de glace aussi solide que lisse, se fit
apparaître annonçant le début d'une grande fête ayant pour but la célébration de la fin "du grand hiver" et le retour de la
reine. Le peuple a commencé à patiner, à danser, certain essayait tant bien que mal de faire les deux sur la glace,
certains réalisaient même des figures, à la fête c'était mêlé des musiciens qui renforçaient l'air festive. Parmi tous ces
personnes on pouvait voir des gens issus de tous les milieux ; des enfants s'amusent à patiner après un petit bonhomme
de neige, un majordome qui voltigeait avec une gouvernante, un montagnard et son renne essayant de rester debout, et
une reine qui patinait, comme si elle avait fait ça tout sa vie, avec une jeune princesse qui se tenait à elle comme ne plus
jamais être séparées.

Durant cet instant de fête et de bonheur où chaque personne profitait de l’instant présent personne n'aperçut que sur le
sommet de la plus haute tour du château ; deux paires d'yeux, qui n'avait cessé de regarder ce bal des plus originales, les
observaient.

"Tu vois ce que je vois Malbouffe." avait sifflé l’être se situant à gauche.

La créature ressemblait à une de c'est gargouille qui niche sur les églises omis le fait qu'il était bien vivant, il était
maigre et mesurait plus de 40 pouces de haut, sa peau était d'un rouge écarlate exceptés ces deux cornes qui était d'un
rouge sombre qui s’assombrissaient jusqu'à devenir noir au bout, et avait des yeux jaunes aux iris fin et noir. Son visage ressemblais à une chauve-souris avec le nez aplatit, les crocs qui dépassaient de sa bouche et deux grandes oreilles pointues sans oublier sa paire d'aile repliée et ses mains qui se finissaient par des griffes acérées.

"Ah ouais, j'ai vue ça Rageur, le renne qu'est ce qu’il a dû avoir mal, le pauvre, un renne ce n’est pas fait pour patiner."

L'être de droit ressemblait lui aussi à une gargouille mais il était plus gros avec des bourrelets, un ventre qui ressortait et était plus grand de 10 pouces que congénère . Le dénommé Malbouffe rigola à la vue du renne avant de se prendre une claque à l'arrière du crâne par son amie de gauche.

"T'es vraiment idiot toi, regarde, il pointa une jeune fille aux cheveux blond platine et à la robe bleu ciel de sa griffe,
cette fille à put changer le sol en patinoire."

"Ah tu crois ?"

"Mais évidemment que oui, je viens de la voir, et je te paris que c'est elle aussi qui à provoquer ce maudit hiver."
Il finit sa phrase par un grognement symbole de son amour pour cette saison.

"C'est dommage que ce soit finit, j'adore l'hiver, les nuits plus longues, les batailles de boule de neige, les chocolats
chauds au coin du feu, oh et noël bien-sûr."

La pensé de ces instants de bonheur se reflétait sur le visage de Malbouffe.    

"Oui, répondit sarcastiquement Rageur, qu'est-ce qu’il y de plus beau au monde que la grêle, le froid, la morve gelée,
les vents mordants, oh et bien-entendue mon sport préférer : patin sur glace avec retombé sur le coccyx."

"J'ai l'impression que tu n'aimes pas l'hiver."

« On ne te cache rien toi, écoute on va surveille cette fille des glaces pour…, il balayât la cour du regard à la recherche
de la fille à la robe bleu
, zut je l'ai perdue de vue il y a tellement de monde, aide moi Malbouffe. Une fille a robe bleu
ciel."

"Regarde elle est là."

Malbouffe montrât la jeune fille à la robe bleue qui patinait avec une fille aux cheveux roux.

"Où ça ?"

"Là."

Les deux créatures se penchèrent et leurs deux poids combinés fit casser leur perchoir en terre cuite.

"Oh la tuile." Marmonna Rageur avant de chuter en glissade, avec son compagnon, le long du toit de la tour sur leurs
supports turquoise comme sur une luge.

"Oh Rageur, tu sais quoi, j'avais oublié la luge." Malbouffe rigola en levant les bras.

"Tais-toi pauvre idiot"  

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"Oh tout va bien Anna, tu ne n’es pas fait mal au moins ?"

Elsa s'approchât de sa jeune sœur tombée de ces patins.

"Non…non, merci Elsa. Ça va enfin à pars pour mon... haï…enfin tu vois ?" Anna caressa de la main le bas de son dos.

Elsa ne cachât pas son rire à sa sœur, elle lui avait caché beaucoup trop de chose c'est 11 dernières années à commencer
par son rire. Anna la regarda heureuse de voir un sourire sur les lèvres de celle qu'on appelle la reine des neiges.

"Elsa dit ?" interrompît Anna.

"Oui ?"

"Plus rien ne nous séparera jamais hein ?"

Elsa enlaça sa sœur et lui répondit :

"Je te le promets Anna plus rien ne nous séparera jamais, plus rien ni personne."

Anna serra sa sœur plus fort comme pour ne plus jamais la lâcher jusqu'à ce que des tuiles provenant d'une des tours
tombèrent sur la patinoire. Au bruit, certaines personnes c'étaient approchées pour voir la raison de cette chute y
compris la reine et sa sœur.

"C'est étrange, dit Kai le majordome de la famille royal, les couvreurs sont portant venue le mois dernier, les
tuiles ne peuvent quand même pas être déjà usé ?

" Peut-être cas cause du changement de température entre le froid et la chaleur, les tuiles se sont fragilisées. On voit ce genre de phénomène fréquemment en montagne" Dit Kristof, attiré par le groupe qui c'était formé.

A ces mots le cœur d'Elsa commença à se serrer, elle ne pouvait d’empêché de repenser à cette journée d’hiver dont elle
avait été la cause et tous se qui s’ensuit ; le royaume prisonnier des glaces et le cœur gelé d'Anna. Comme si elle avait
compris Anna pris la main d'Elsa pour la rassurer.

"Ne t'en fais pas Elsa, dis la voix tendre d'Anna, tu n'as plus à plus à avoir peur désormais, tu n’es plus seul regarde
nous, tu ne l’as jamais été et tu ne le seras jamais, et rien ne changera ça".

"Merci Anna, mais et si..."

"Elsa tant que les gens à qui tu tiens et qui tiennent à toi seront là pour toi il ne t'arrivera rien".

Les deux sœurs s'enlacèrent de nouveau alors que le groupe qui c'était formé retournèrent à la fête.

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"Eh bien c'était moi une, si on n'avait pas eu nos ailes, on se serait fait griller" souffla Rageur.

Les deux créatures c'était posé sur un bord de gouttière éloigné du lieu du regroupement des curieux et continuaient
d'observer la scène de leur yeux jaunes.

"Eh dis, Rageur, une fille qui créée de la glace, ce n’est pas normale ça hein ? Réalisa Malbouffe.

"Eh bien t'a un de c'est talent de déduction ça impressionne".

"Ah ouais tu trouves ?" Malbouffe répondit avec une touche d’espoir dans sa voix, heureux de voir que Rageur

remarqua une qualité chez lui.

Rageur pris un visage effaré a la réponse de son collègue avant de se reprendre.

"La seule qui est pas normal ici c'est toi, cette gamine contrôle l'hiver et tous ce qui le touche, le plus bizarres c’est
que je suis sûr de l’avoir déjà vue mais où ? Rageur caressa son menton et chercha dans sa mémoire les traces d’une
jeune fille aux cheveux blonds platine. On devrait observer tout ça pour en apprendre plus, on va attendre qu'il y est moins de
monde pour mieux s’approcher."

Malheureusement pour les deux créatures la fête continuait à battre son plein jusqu'à plus tard la nuit et semblais ne pas
prendre fin.

"Bon ! Y en a marre on va entrer dans le château et écouter les conversations parce que resté ici ça rapporte rien.

Vient !" Malbouffe ne discutât pas les ordres, ils déployaient leurs ailes de chauves-souris et se dirigeaient vers une
fenêtre ouverte. "On ne dois pas se faire repérer, d'accord ?"

"Okay, j'ai compris" acquiesça Malbouffe.

Les deux compères se hissèrent sur le bord vérifiant de chaque côté que le couloir où débouchait la fenêtre était bien
désert. Le couloir était grand et richement décoré par des armures, des tapisseries et des peintures.

"Bon on se sépare, moi à droite toi à gauche, on écoute les conversations et on se rejoint ici au lever du soleil et surtout
on se fait discret compris ?" S'ensuit un silence " Malbouffe est-ce que tu as com...." Rageur regarda sur le côté pour
constater que Malbouffe avait disparue.

"NON MAIS C'EST PAS VRAI, IL TIENT PAS EN PLACE CET IMPECILLE." Rageur hurla, malgré l'objectif
premier : ne pas se faire repérer. "Bon calmons nous un instant il n'a pas pu aller bien loin et il n'y a qu'un seul endroit
où cette estomac-sur-patte a pût aller dans un château comme celui-là et surtout par un moment pareil."

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Dans les cuisines du château les serviteurs s'activaient pour préparer la nourriture et les repas à la grande fête, l’un
faisait tourner un cochon sur une broche avec de la volaille pendant que d'autres préparaient des sauces, d'autres
réalisaient des pâtisseries. Dans toute cette agitation et cette bousculade, les cuisiniers ne s'apercevaient pas qu'une
créature légèrement enveloppée passait sous les tables et les chariots de pâtisseries poussés par les jeunes mitrons.

"Moi ce que j'aime dans les fêtes c’est que les gens ne regardent pas à la dépense, Malbouffe renifla l'air autour de lui
alors qu'il était situé sous un plan de travail
, alors où est-elle ?"

Il aperçut une porte située tous au fond des cuisines et se précipita vers elle tous en tentant de resté dissimulé soit par
les chariots, soit par les robes des servantes, il utilisa ses ailes pour se lever à la hauteur du poignet et déverrouilla le
loquet pour entrer dans la grande pièce, en restant le plus discret possible, il ferma la porte derrière lui, pour s'assurer
que personne ne serait trop curieux de voir une porte ouverte. Quand Malbouffe se retourna pour admirer la pièce,
seulement éclairé par une lucarne et des lampes à l’huiles, il prit une grande inspiration pour être submergé par des
odeurs de jambon fumé, de saucisson, de saucisse, de fromage, de fruit et de pain.

"La réserve, il inspirât une nouvelle fois, je suis au septième ciel" Il prit son envole parcourant les rayons d'aliment qui s'offrait à lui, il s'arrêta devant 4 pièces de jambons aussi grosses que lui, accroché au plafond, il se lécha la main pour se remettre des
cheveux imaginaires et pris un air de Don Juan:

"Madame, oh pardon Mademoiselle, accepté vous cette danse avec moi, il détachât la plus grosse pièce avec sa griffe et
l'a prise dans ces bras, et c'est mis à faire une valse
, vous savez moi les femmes je les préfère avec des formes, des
formes dodues, vous avez-t-on déjà dis que vous étiez belle a croqué, vous et vos formes bien dodue"

Ils continuèrent à danser jusqu'à ce qu’une claque s’abattît sur le haut du crâne du danseur. Il se retourna pour voir
Rageur avec un visage qui expliquait l’origine de son nom.

"Eh Rageur, pourquoi tu as fait ça ?"

"Sûrement parque je t'ai demandé d'être discret et qu'au lieu d'être discret je trouve dans la pièce la plus fréquenté du
château au train de faire du tango avec du lard."

"Faux, c'est du jambon et en plus c’était une valse ; tu vois tu n’es pas aussi intelligent que tu le prêtant." Il lâchât un
sourire à la vue de l’erreur de son ami.

"Je jure sur la tête de notre créateur que je vais te @+/=# {[|}"

Rageur sauta à la gorge de Malbouffe jusqu'à ce qu'il entendit des bruits de pas ce fit entendre et poussa Rageur à mettre ça crise de côté pour se cacher dans un tonneau à moitié remplis de pomme, en tirant sa victime avec lui qui lui-même tirait sa partenaire de danse.

"Chut, quelqu'un vient" Rageur se hissa en haut du tonneau ne laissent dépasser
que sa tête.

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"Ah par tous les saints, je n'ai été aussi heureux de toute ma vie pour nos souveraine, cette fête oh…et...et vous avez vu
le visage de la princesse Elsa, elle semblait si heureuse si épanouit...si…si heureuse vous l'avez vue n'est-ce pas Kai ?"

"Ma chère Gerda, pas une seul fois de toute la soirée vous me l'avez fait ignorez et permettez-moi de vous rappeler qu'il
s'agit de la Reine Elsa d'Arendelle."

Kai regarda la nouvellement nommé Gerda, une femme de chambre qui servait la famille d'Arendelle quasiment d'aussi
loin qu'il s'en souvienne et même plus loin encore. Ils entrèrent tous les deux dans la réserve afin de réapprovisionner
les cuisines pour la fête.

"Ah oui, je pense que je ne m'y ferais jamais à ça, je m'en souviens encore de la petite princesse aux cheveux blond qui
se tenais toujours auprès de sa mère ou d'Anna qui elle tentait toujours de si soustraire."

Un flot de souvenir envahit l'esprit des deux serviteurs ce qui leurs provoquèrent un rire qu'ils tentaient de retenir mais
ne purent le faire.

"Je suis si heureuse pour la prince...oups pardon la reine qu'elle soit enfin arrivé à maîtriser ses pouvoirs et qu’elle soit
réunie avec sa sœur, maintenant que j'y pense le but de cette fête était le fêté du couronnement de la reine et au lieu de
cela nous fêtons le couronnement en plus fin de cette…maudite journée d'hiver."

"J'en suis aussi heureux, mais quand je repense à ce maudit prince des îles-du-sud, il souffla pendant qu'il prit un
rouleau de papier de sa veste
, tout est de ma faute."

"Que dit-vous là, ce n'est pas de votre faute s’il nous a tous berné."

"Vous vous trompé, c'est moi qui est suggéré au membre du conseil régent d'invité la famille royale des îles du sud afin
qu’une de nos souveraines puissent trouver un époux et au lieu de cela j’ai invité un loup dans la bergerie."

Kai fit une expression de personne coupable couvert de regret, même si les princesses on put être sauvée Kai s’en
voulait pour les dangers qu’elles ont encourues, son devoir est de servir les membres de la famille royal et il avait le
sentiment de les avoir trahies.

"Il nous a tous dupé moi y compris, moi-même quand je l'ai vue je n'aurai pu penser meilleur époux pour la princesse
Anna, elle soupirât, ils nous ont bien fait du tort lui et ce maudit Duc de Weselton. Quand je pense à ce qu'il nous on
fait alors que nous les avons invités chez nous."

"Que dîtes-vous le duc de Weselton, il se mit à sourire, je ne m'en souviens pas, mais en revanche je me souviens d'un
homme appelé Vicieux-thon. »

Les deux se mirent à rirent de plus belle et s'arrêtaient quand un groupe de jeune commis entra.

"A vous voilà messieurs, Kai déroula le rouleau papier qui contenait les comptes des réserves, veuillez prendre : 50 livres de
pommes de terre, 20 livres de saucisses, 20 livres de fromage et 4 pièces de jambons ."

Les commis prenaient les aliments inscrit sur la liste jusqu’à ce que l’un deux remarqua une certaine absence

"Pardonnez-moi monsieur, mais il n'y a que 3 jambons ici."

"Impossible, j'ai personnellement fait les comptes, la veille du couronnement de la reine. Il y en avait dix et nous en
avons utilisé que 6 pièces." Kai tentait de chercher une explication mais étant presser par les fourneaux il optait pour
remettre la préoccupation de cette disparition à demain.
" Bon prenez les trois, tant-pis pour la quatrième."

Pendant ce temps Rageur essayait de contenir sa rage en voyant la dîtes disparut dans la bouche de son colocataire de
tonneaux.

Les cuisiniers quittèrent la réserve avec leurs ingrédients laissent Gerda et Kai seul.

"Dîtes-moi Kai, pensez-vous qu’il en n’ai d'autre comme la reine, vous savez avec des pouvoirs ?" Elle le demanda avec
une certaine crainte dans la voix.

Impossible que Elsa tenterait de les utiliser pour faire le mal puisque qu’elle était quelqu'un de bien mais rien que
d'imaginer un homme avec la fourberie de Hans, la cupidité du Duc avec des pouvoirs comme Elsa suffisait à imaginer
le pire des scénarios.

"Feu le roi Agnarr y a bien pensé, alors il a recherché des personnes avec ces pouvoirs, mais cela n'a pas été facile
puisque il fallait rester le plus discret possible et il a donc envoyé peu d’homme s'en charger mais je crois que notre souveraine est la seule personne connue qui à ce a genre de pouvoirs." Il répondit avec une voix mélancolique.

"C'est toujours une douleur de parler d'eux." Murmura Gerda.

Les anciens souverains du royaume étaient très aimés particulièrement par ceux qui les avaient servies et bien connues.

"Toujours," il poursuivit avec une voix plus chaude "mais ne laissons pas les blessures du passé nous obscurcir l'avenir nous avons encore beaucoup de chose à faire pour cette fête."

Kai et Gerda quittèrent la réserve, en relatant le moment où le prince des îles du sud s’était pris un direct du poing de la princesse Anna.

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Quand ceux qui était entrée avait enfin quittée la pièce, les deux intrus, qui n'avait pas loupé un mot de la conversation, relevèrent leurs tête pardessus leur cachette, Rageur affichait une expression qu'il montrait rarement, une expression stoïque.

"Tu as entendu ça, Elsa est la reine désormais et elle a des pouvoirs comme « lui ». C’est sûrement elle qui a gelé son pays par accident puisque qu’ils ont dit qu’elle n’arrive que maintenant à les contrôler. Je me disais aussi que je l’avais déjà vue cette fille aux cheveux blond. C’est quel à grandis entre temps la gamine ».   

"Tu veux dire qu'il s'agit de la "Elsa" celle qu'on connaît." Bafouillât Malbouffe la bouche pleine.

"T’en connais beaucoup des personnes qui s’appelle Elsa et qui sont de la noblesse." 

Malbouffe commença à énumérait sur ces doigts mais restait bloqué à un, quand Rageur l'interrompit :

"Cherche pas il y en a pas plus. Vient, il faut qu’on « le » prévienne, ça devrait l'intéressé."

"La dernière fois qu’on y était allé « il » a dit qu'il ne voulait plus nous voir." Malbouffe finit sa phrase en brisant l'os de ce qui restait du jambon de 10 livres avec ces dents.

"Je le sais, mais ça le concerne et puis peut être que ça pourrait lui remonter le moral qu’il est quelqu’un comme lui et
surtout si c’est Elsa, peut-être qu’il redeviendra comme avant. Vient Malbouffe, il regarda son complice avec un sourire sadique ,c’est l'heure des visites."

Malbouffe renvoyât le même sourire à son partenaire ailé. Ils ne prirent pas la peine de partir par là où ils sont venus, ils déplièrent leurs ailes et foncèrent tête baissée vers la lucarne qu'ils brisèrent sans difficulté et se dirigèrent, plus haut dans le ciel vers la mer pour rapporter l'existence de la reine des neiges à la seule personne devant qui ils rendent des comptes.

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Alors que Swen essayait d’attraper les flocons de neige, du nuage d'Olaf, en tirant la langue, ce dernier regarda deux ombres écarlates passer devant lui avant qu’ils ne prennent de la hauteur, Olaf les désignât en pointent du doigt.

"Regarde Swen, les oiseaux ils ont une jolie couleur, en revanche ils ont un bec vraiment pas beau".
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Lun 03 Sep 2018, 21:27
Salut, salut et bien j'en passé des nuits à écrire, ça fait plus de 8 mois que j'ais cette histoire dans ma tête est ça fait du bien de la partager.
L'histoire est déjà finit sur brouillon j'ai plus qu'à la mettre au propre donc rassuré-vous il y aura un fin.

Donc dite-moi ce que vous en pensé dans les commentaires et dîtes franchement ce que vous en pensé.








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Mar 30 Oct 2018, 20:55
Coucou ! J'adore tes fanfictions

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