La Taverne d'Arendelle

C'est vrai FG. Ton prénom n'est pas si horrible que ça comparé au mien.

Et toi tu t'appelle comment justement ? ^^

Tu veux vraiment savoir ? Bon d'accord... Mais je te préviens FG, mon prénom risque de te faire peur...

Spoiler:

Lydie, c'est un prénom grec ancien, et on ne se moque pas du grec ancien. D'ailleurs, c'est peut-être même encore plus ancien puisque c'est le nom d'un province d'Asie Mineure (actuelle Turquie)... c'est le nom d'une des plus anciennes saintes du christianisme puisque mentionnée dans les Actes des Apôtres... attendez, je sors le dico de grec, je suis sure qu'il y a plus à découvrir.

Je viens de voir... Savais-tu que ton pseudo ma chère Bryn, est aussi le nom d'une guerrière et walkyrie de la mythologie nordique ? Si tu ne me crois pas voici la page wikipédia.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Brunehilde_(mythologie)

Tu me prends pour une neuneu Micky? Tout a un sens chez moi <3 J'ai soigneusement choisi ce pseudo qui est la variante norroise (ancienne langue scandinave des viking) de Brunehilde, la walkyrie, en effet. Parce que j'aime Wagner, j'aime les saga scandinaves, j'aime l'Islande dont Brynhildr est supposée être reine dans certaines versions de la mythologie. Je rêve d'Islande! Mais c'est aussi le prénom d'une de nos reines mérovingiennes, Brunehilde ou Brunehaut, d'origine wisigothe. Une femme politique que j'adule et admire. Les historiens la nomment plus volontier Brunehaut afin de ne pas la confondre avec la Walkyrie mais elle s'appelle bien Brunehilde à la base.
Je précise que le dernier Tarentino, Django, met en scène une esclave noire adorable du nom de Broomhilda, ce qui est une référence à la walkyrie mais aussi à une BD vintage américaine peu connue où une sorcière s'appelle Broomhilda comme brunehilde (prénom ancien et scandinave) et broomstick, le balai... en tant que fille de femme de ménage et ayant travaillé moi-même comme femme de ménage de mes 17 à mes 27 ans, j'ai vu dans le ridicule très tarentinien de ce mélange entre balai et mythe nordique quelque chose qui collait bien à ma personnalité.

j'ai aussi un DK sur wow qui s'appelle brunehilde

Mais d'ailleurs, comment pourrais-tu t'appeler Michèle si tu es un homme?

Tout s'explique alors !
Alors je tiens à préciser que mon prénom ne se prononce pas Michèle mais Mikélè. Vois-tu dans la langue italienne (oui je suis 100% italien) le "ch" se prononce "k". Mais bon, cela ne change rien au fait que je ne suis pas un grand fan de mon prénom...

C'est marrant, moi qui connaît beaucoup de chose dans tous les types de mythologies, je savais pas que ton pseudo renvoyait à celle d'une déesse islandaise. Bien trouvé quand même comme pseudo

Tiens, t'es italien ? C'est marrant, j'avais un copain au lycée qui étais italien aussi .
Et je trouve que Mikélè, c'est plus jolie à prononcer que Michele   (je sais pas, quand je prononce Michele, j'ai l'impression de bêler, comme les moutons )

Tu as grand tord! Michele, donc, c'est l'archange Michaël, en hébreux,"qui est comme Dieu?" Phrase qu'il aurait prononcée en jetant le démon à bas du Royaume des Cieux.
j'ai toujours aimé les statues de l'archange Michael. Mon Eglise, en France était située sur une colline puisque mon village est perché. Et comme toute église en hauteur est dédiée à cet archange par tradition, elle se nomme donc église saint Michel. d'ailleurs, saint Michel est aussi le patron des parachutistes de l'armée française ^^

nonon Dovahbrine, ce n'est pas une déesse islandaise, c'est une des filles d'Odin chargée de ramener les morts dans la gloire du combat au Valhalla. Elle n'a pas le statut de déesse dans le panthéon scandinave, seulement une déité... un peu comme les nymphes chez les Romains. Pour le coup de la reine d'Islande, faudrait vérifier d'où j'ai entendu cela. Après, ne surtout pas se fier à Wagner qui a complètement remixé la saga de Siegfried à sa sauce... Mais bon, on lui pardonne <3

"Mikélè"...en alsacien (même si je ne suis pas sûre de l'orthographe exact), c'est un surnom affectif qu'on donne aux enfants
Ma grand-mère m'appelait comme ça quelques fois.

Dovahbrine38 a écrit:Tiens, t'es italien ? C'est marrant, j'avais un copain au lycée qui étais italien aussi .
Et je trouve que Mikélè, c'est plus jolie à prononcer que Michele   (je sais pas, quand je prononce Michele, j'ai l'impression de bêler, comme les moutons )

Oui je suis italien mon cher ! Et sinon, c'est gentil ce qu tu dis...

Brynhildr a écrit:Tu as grand tord! Michele, donc, c'est l'archange Michaël, en hébreux,"qui est comme Dieu?" Phrase qu'il aurait prononcée en jetant le démon à bas du Royaume des Cieux.
j'ai toujours aimé les statues de l'archange Michael. Mon Eglise, en France était située sur une colline puisque mon village est perché. Et comme toute église en hauteur est dédiée à cet archange par tradition, elle se nomme donc église saint Michel. d'ailleurs, saint Michel est aussi le patron des parachutistes de l'armée française ^^

Alors oui, je savais que ce prénom était un dérivé du prénom hébraïque Mika'el. Mais bon...

Dreamy a écrit:"Mikélè"...en alsacien (même si je ne suis pas sûre de l'orthographe exact), c'est un surnom affectif qu'on donne aux enfants
Ma grand-mère m'appelait comme ça quelques fois.

Comme quoi on en apprend tous les jours.

Mais je persiste sur le fait que ce n'est pas nom plus le plus beau prénom qui soit. Je préfère Micky par exemple!
Un surnom qu'on me donnait lorsque j'étais encore à l'école ! D'ailleurs, c'est pour cette raison que je l'ai repris dans mon pseudo.

Dreamy a écrit:"Mikélè"...en alsacien (même si je ne suis pas sûre de l'orthographe exact), c'est un surnom affectif qu'on donne aux enfants
Ma grand-mère m'appelait comme ça quelques fois.

C'est vraiment mignon! Tu vois, Mikélè, ça claque...

d'ailleurs, quand tu dis Italien à 100%, tu veux dire Italien d'Italie ou Suisse italophone?

Non mais sans déc...ner! "Micky"... pardon, je vais être cash, mais c'est... comment tourner la chose... ridiculement anglo-amiéicanisant... Cette façon de rajouter un -y à la fin d'un prénom est très USA. Du coup, forcément, cela évoque indirectement toute la (sous-)culture américaine dont nous sommes envahis... Micky, micky... Pourquoi pas Mickey?

Du haut de Michele, ce sont presque 5000 ans d'histoire qui te contemplent

Après, on ne discute pas les goûts et les couleurs et si tu aimes Micky, c'est ton choix. Mais essaie de revoir ton prénom comme si tu ne l'avais jamais entendu et que c'était la première fois que tu le découvrais en lisant des textes multimillénaires...

Je sais que cela fait un tantinet américain Bryn. Mais bon ! Moi j'aime bien Micky !
Pour te répondre sinon, je suis né en Suisse mais je suis de nationalité italienne.
Pour terminer, je vais peut-être suivre ton conseil Bryn... Et qui sait... Peut-être que je finirai par davantage l'apprécier.

Peut-être. Je l'espère pour toi. Ce n'est pas un prénom de pacotille; il faut essayer de s'affranchir du trop entendu et entendre d'une oreille neuve. C'est un nom si ancient! Tu sais que le suffixe -el pour Dieu est d'origine mésopotamienne... je ne sais pas mais quand même... ça pète.

Navrée d’interrompre la conversation mais une réflexion m'a traversé l'esprit alors que je relisais quelques passages de mon édition scolaire des Liaisons Dangereuses.
Je trouve dommage qu'au lycée, on cherche à quasiment imposer aux élèves une certaine vision de l'oeuvre. Pour avoir une bonne note au corpus de texte et au commentaire de texte, il faut que l'élève réponde ce que le correcteur attend de lui. Personnellement, je n'aimais pas trop l'idée de me faire juger sur ma manière d'interpréter mes lectures...c'est comme s'il n'y avait qu'une façon unique de voir les choses. Pour moi lire, c'était (et c'est toujours) avant tout un plaisir donc je dois avouer que cette manière de faire me gênait quelque peu.
Après, je suis d'accord qu'il faut donner des pistes de réflexion mais de là à donner des fiches lectures toutes faîtes...dommage!

Je ne sais pas ce que tu en penses Brynhildr, étant professeur de Lettres

Te plains pas Micky, on arrive à trouver des super origines pour ton prénom !

J'ai un prénom tellement commun et répandu que j'en ai toujours un en plus dans ma classe (et encore, une fois on était trois, un vrai casse tête pour nos profs), et la seul référence qu'on me sort c'est...Antoine Daniel.

Oui y'a mieux 

Sachant qu'Antoine-Daniel était aussi un prêtre jésuite canadien qui a, je crois, participé à l'évangélisation des Indiens de ces régions (Hurons et Iroquois), est mort en 'martyr' sur ces terres et a été canonisé en 1930. Eh oui, Saint Antoine-Daniel existe bel et bien.^^
Voilà, voilà...

Tu sais très bien de quel Antoine-Daniel je parle, petit hobbit joufflu

Ah, pourtant moi j'ai jamais croisé un seul Antoine en vrai si on peut dire... ça doit varier selon les régions x)

Tout à fait Lhys, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai dit 'aussi'.
Et c'est pareil pour moi: tu es le premier Antoine que je connaisse.^^

Eh bien moi, je suis amoureuse d'Antoine! Antoine, c'est Marcus Antonius, le Grand Marc Antoine! Et c'était aussi un blond pas dégueu derrière moi en latin en seconde

Quand je pense Antoine, je vois Cléopâtre alanguie suite à la morsure du serpent qui l'appelle... je ne trouve pas la vidéo mais bien que je n'ai jamais trouvé sexy l'acteur qui jouait Antoine, le prénom en revanche m'est resté comme très auguste (mouahahahah! 1pt à celui qui comprend la blague!) et harmonieux.

Dreamy.... eh bien, désolée, je ne suis pas d'accord. Je vais t'expliquer. Je pense que les cours au ras des pâquerettes du secondaire te donnent une mauvaise image de l'analyse littéraire.

Par où commencer?

Un texte est établi; il emploie les mots qu'il emploie. Comme dit Rimbaud, que je n'apprécie guère mais qui avait au moins raison pour cela, un texte veut dire ce qu'il veut dire littéralement et dans tous les sens.
Les mots véhiculent leur sens, indépendamment de ce que l'auteur a pu vouloir dire (même s'il faut chercher à comprendre ce que l'auteur a voulu dire, rien n'empêche de montrer en quoi le texte peut transcender la volonté de son auteur. Ex: dans la chanson "hasta siempre commandante" sur Che Guevara, il y a un passage qui dit "Y con Fidel te decimos hasta siempre, commandante"/"et avec Fidel nous te disons adieu commandant". L'auteur de la chanson ne pensait certainement pas à cela et pourtant, on peut y voir bien de l'humour noir quand on sait que Fidel est probablement pour quelque chose dans la mort du Che. Fin de l'exemple, je n'ai rien trouvé de mieux là, tout de suite, mais parfois, certaines personnes prononcent des paroles qui vont bien plus loin que ce qu'elles peuvent penser).

Nous basant sur ce constat, et en resituant un texte dans son époque (c'est à dire qu'il ne faut pas plaquer nos définitions actuelles sur des mots employés aux époques antérieures, alors qu'a contrario, il faut analyser le sens des époques antérieures du texte que l'on étudie car ces valeurs étymologiques des mots sont souvent connues des auteurs, lettrés eux-mêmes, et qui en jouent très souvent), nous nous devons d'analyser toutes les possibilités.

Ce qu'il y a d'artificiel dans le comentaire et la dissert, c'est le plan imposé et la problématique... comme si un texte pouvait se résumer à une unique question et que les données examinées rentraient forcément en trois parties avec trois sous-parties et trois sous-sous-parties (souvenirs de prépa).
Ces figures imposées que sont la dissert et le commentaire ne visent qu'à évaluer votre souplesse logique et rhétorique. Si vous arrivez à faire entrer vos trouvailles dans cette organisation ternaire et problématisée, vous êtes un virtuose de l'hypocrisie scolaire et vous serez applaudi par vos correcteurs! cela montre à quel point vous êtes forts: coller à une forme imposée tout en livrant une analyse correcte du texte... un défi!

J'étais devenue une véritable petite bête de foire de ce genre d'exercice mais, heureusement, rassurez-vous, une fois en master, vous devenez chercheur, ce qui fait que c'est le plan qui s'adapte à vos découvertes et non vos découvertes que vous devez pousser pour qu'elles rentrent dans les trois parties comme le pied de Javotte dans la pantoufle de verre! Malgré cela, je peux vous dire qu'une bonne partie des greluches de mon master ont été incapables de reprendre leur liberté et ont toutes fait des trois parties... et se sont faites bien engu...ler par les profs ^^ Bien fait pour ces zombies.

Personnellement, depuis que je suis passée à ce stade, revenir à la dissertation me paraît un peu... artificiel. mais bon, c'est une sorte de jeu après tout. Si vous êtes doués et que vous aimez la forme de la dissert et du commentaire, tant mieux! Vous êtes de bons gymnastes. Si vous ne les aimez pas, rassurez-vous, c'est normal! Cela n'existe pas en dehors de la France ^^ les étudiants étrangers en visite chez nous en pleurent de désespoir quand ils doivent en faire.

D'ailleurs, le plan en trois parties n'est qu'en lettres. En droit, il est en deux parties.

On commence même à autoriser les disserts en deux parties au bac... ça par contre, c'est une hérésie. Le rôle de la troisième partie est primordial; il s'agit d'aller plus loin, cela pousse l'élève à chercher encore plus profondément. Petit conseil de méthodo: Il faut articuler les trois parties avec des connections logiques et le mieux est de commencer par l'argument le plus facile à trouver ou le moins important pour finir sur le plus difficile à trouver ou le plus important. C'est traditionnel et cela fait bon effet.

le texte littéraire, donc, est comme un tableau! On décortique froidement la technique (figures de styles, images), les couleurs (champs lexicaux, thématiques récurrentes, connotations), et en quoi ces techniques servent le message, le sens du texte. Le sens qu'a voulu donner l'auteur et éventuellement le sens qu'il y a mis à son insu. Il ne faut jamais séparer la forme du fond. La forme sert le fond et la forme n'a pas de sens sans le fond dont elle est le symptôme.

Il faut aussi resituer un texte dans son contexte historique et biographique. Cet aspect est plus ou moins important selon le texte. très important pour une lettre politique de George Sand, beaucoup moins pour un Spleen de Baudelaire.

J'espère que vous ne vous ennuyez pas trop à me lire...

Je vais essayer de faire plus amusant.

Il y a prof de lettres et prof de lettres.... Il y a moi ^^ , la perfection en somme, mesurée dans mes interprétations, et les fumeurs de schnouffe...

Les fumeurs de Scnhouffe sont une espèce en voie de développement depuis la psychanalyse de Freud. Ils aiment voir dans les textes des trucs de cul partouuuutttt!!!!
des exemples:

- la prof d'une de mes copines en prépa BL (littéraire+maths stats): une fiancée se suicide avant son mariage en se précipitant dans la mer du haut d'une falaise.
Interprétation de la prof: la fille veut retourner dans le ventre de sa mère (//la mer/la mère... ouah! quelle profondeur ) et l'eau salée symbolise le liquide amniotique. Le plus gratiné arrive: bien que les éclaboussures du contact avec l'eau ne soient pas évoquées, la prof imagine le grand splash et y voit l'éjaculation avortée du mari qui va s'asseoir sur sa nuit de noces....
Bon appétit bien sûr!

Elle se drogue, c'est sûr -_-

- Mon auguste prof de français d'hypokhâgne, dont je tairai ici le nom pour ne pas salir la mémoire, avait aussi une licence de psycho... un véritable obsédé par dessus le marché.

Un jour, il nous montre une gravure de la renaissance d'un carquois avec ses flèches. Il nous demande d'interpréter... personne ne trouve sur les 37 élèves. c'était bien entendu un symbole sexuel bicéphale avec d'un côté le phallus (le carquois avait un bout arrondi, en effet, mais de là à y voir ... bon... faut pas pousser mémé) et le trou garni des plumes des flèches.... symbolisaient un sexe féminin... mais bien sûr! bravo!!!!

- Mon prof, encore: Description des pensionnaires de la Pension Vauquer dans Le Père Goriot de Balzac. On arrive sur Vautrin... on détaille son statut, ses capacités... et là, le prof de nous demander: "il sait réparer les serrures... réparer une serrure... cela ne vous évoque rien?" Nous, désespérés, cherchons, cherchons, mais en vain... "enfin! quand on sait réparer une serrure, c'est qu'on sait aussi les crocheter!" nous nous regardons, sans voir le propos... "Enfin!!! crocheter une serrure!!!! (et il accompagne cette affirmation d'un geste éloquent: un doigt qui fouille dans un trou...."

- Enfin, interprétation sur un rêve de madame Bovary, qui se voit sur une gondole à Venise avec son amant. La gondole remue au clapotis de l'eau.... conclusion du prof: il y a plaisir personnel. Ben sûr, quand on rêve qu'on est sur un bateau et que ça tangue, c'es forcément de la mast...bation féminine.... bien sûr...

Bon voilà, je suis contre ce genre d'élucubrations.

Pour ce qui est des fiches de lecture toutes prêtes.... quel genre de prof fait ça? Tu étais dans un établissement privé? C'est interdit! c'est tout sauf pédagogique. En plus, les profs du secondaire, tu sais.... surtout les vieux... ils n'ont qu'un Bac+3 et ne sont pas toujours les plus fins du quartier si tu vois ce que je veux dire... quand je vois certaines profs de français autour de moi, je pleure de douleur pour leurs pauvres élèves.

Ah bah comme quoi, je suis un blond aussi 

Oui le Marc Antoine aussi on me le sortait souvent en latin...et puis c'est vrai que d'un coté il a finit avec Cléopâtre...littéralement.


Et Auguste, ce n'était pas un empereur romain qui a donné son nom au "siècle d'Auguste" grâce à la prospérité de l'Empire romain sous son règne, faisant d'ailleurs ainsi référence au "siècle de Périclès" chez les grecs avec cette même idée de prospérité et d’importance de l'art ?

Mais j'adooooooooooooore ton prénom Micky !!!
Encore " Michèl" , ça pouvait faire petit paysans breton Je n'ai absolument rien contre les bretons , hein ^^ mais " Mikélé " ça fait italien muy caliente ...

Oui tout à fait Bryn , Lydie est un ancien continent de l'Asie mineure qui a longtemps été gouverné par ..... Crésus ! Un homme connu par sa fortune immense d'où l'expression " Riche comme Crésus " ! ^^

Et oui , tremblez simples mortels et craignez l'être ultime : un continent tout entier richissime !!!!
ça rime en pluuuuuuuuus xD

Pour ma part je n'ai connu qu'un Antoine , en primaire , et j'adore ce prénom ^^

Brynhildr:

Je pense que les cours au ras des pâquerettes du secondaire te donnent une mauvaise image de l'analyse littéraire. 

Justement, c'est cela que je dénonce. Le système d'apprentissage du français dans le secondaire. On a l'impression que les élèves sont de bêtes singes savants qui doivent restituer ce qu'ils savent dans les règles définies par je ne sais quelle autorité. Et je pense que c'est pour ça que la plupart des jeunes se désintéressent des cours de français...vu comme ça, le français apparaît comme une matière rasoir et très peu intéressante.
Oui, je savais que la dissertation et autres travaux en temps limité était une particularité française.

Dreamy, tu n'as pas répondu à ma question: étais-tu dans l'enseignement privé? après, de par ta région, il y a des spécificités... mais bon.

Je suis de 85, j'étais donc la première à essuyer la réforme qui régit encore votre programme et vos épreuves. Je n'ai pas du tout eu cette expérience en français, même avec plusieurs profs différents. Ce dont tu parles, je ne l'ai vu que lorsque j'étais remplaçante dans le privé... alors je me demande sincèrement si tu n'étais pas dans le privé ou dans un lycée régional de prestige.

Antoine, tu y es presque! C'est un mauvais jeu de mots: Antoine est mort à cause de César octave, futur auguste alors quand je dis qu'Antoine est un prénom auguste, c'est un jeu de mot pourri ^^

Il faut ABSOLUMENT QUE TU VOIES LE DOCUMENTAIRE LE DESTIN DE ROME DE FABRICE HOURLIER. Tu verras qu'Antoine a failli être un nouvel Alexandre le Grand! c'était un grand homme avec une vision politique exceptionnelle. Je l'aime bien davantage qu'Octave, même si ce dernier me séduit par sa froideur.