Les lectures interdites [ (18+) Contenu mature & scènes explicites pour public averti ]

VOus êtes vraiment sur?...Bon...Tant pis...


La majorité.


-Kristoff ? Tu ne veux pas faire une dernière partie ?
-Non non Anna je t’assure ça suffit pour ce soir les devinettes, je pense qu’on a fait le tour, il ne reste même plus de papiers dans le panier !
-On peut commencer un autre jeu si tu veux ! Susurra la rousse à l’oreille du beau montagnard.
-Non, je pense que…Je suis fatigué je crois que je vais aller me coucher. Répondit-il mal à l’aise.
-Non ! Tu n’as pas le droit ! Ça c’est l’excuse d’Elsa ! Protesta Anna en essayant de le retenir par le bras.
-Mais dans ma bouche ça n’est pas une excuse, nous pourrons jouer demain soir quand tout sera terminé, et puis en plus il y aura ta sœur et ta cousine aussi ! Bonne nuit ma chérie, je t’aime.

Avec une infinie douceur le jeune homme, fraichement anobli duc de la plaine des trolls se libéra de l’étreinte de sa bien-aimée puis lentement il l’enlaça contre son torse. Anna put sentir la chaleur de son corps contre elle malgré les épaisseurs de vêtements. Elle aimait tant ainsi pouvoir se lover entre les bras musclés et protecteurs de Lord Kristoff Bjorgman, duc de la plaine des trolls, et plus bel homme d’Arendelle. Ce dernier titre n’avait rien d’officiel, non, celui-ci, il n’était employé que par Anna. Le rendre officiel aurait bien entendu été un abus de pouvoir même s’il reflétait l’entière vérité aux yeux de la petite rousse mais, bien qu’impulsive elle savait être suffisamment sage pour ne pas commencer son règne par des petites faveurs à ses proches et non à destination du plus grand nombre. La jeune femme se sentait si bien dans les bras de son amant. Elle respirait la douce odeur du peignoir de son cher et tendre. Il était si doux, même si Anna préférait les vêtements plus raiches, mais aussi plus naturels, plus animal que Kristoff avait l’habitude de porter. Au fond d’elle-même, Anna se disait qu’elle devait, à l’instar de sa sœur, elle aussi être un esprit de la nature ! Elle aurait tant voulu que ce moment reste figé à jamais, cette étreinte était la chose la plus exquise au monde, bien davantage encore que le chocolat, et le sentiment de bien être d’Anna d’Arendelle ne fit que croitre lorsque son aimé li embrassa tendrement et langoureusement le cou avant de remonter et que les lèvres des deux amants n’entrent en contact. Ça n’était pas la première fois. Non, la première fois, Anna s’en souvenait comme si c’était hier, c’était trois années auparavant, sur le port d’Arendelle. Elle avait vécu le meilleur moment de sa vie…Enfin jusqu’au second baiser, puis au troisième et ainsi de suite ! Cela faisait longtemps désormais que la nouvelle souveraine avait perdu les comptes mais chaque fois cela semblait toujours différent, toujours plus fort, toujours plus intense. Jamais Anna ne pouvait se passer de cette sensation mais cette fois, elle sentit en elle de curieux fourmillements dans son ventre et contre sa poitrine.
Le baiser s’éternisait et elle sentait les mamelons de ses seins se durcir quelque peu alors que les fourmillements dans le ventre se faisaient plus pressants. Anna n’avait jamais ressenti ça, du moins jamais aussi fort ! Lentement, ses royales mains qui entouraient la tête de son aimé se baissèrent le long du dos de son fiancé et finirent leur course au creux de ses reins, juste au-dessus du fessier musclé et rebondi du duc de la pleine des trolls. Anna voulait aller plus bas, elle sentait aussi contre elle commencer à se durcir l’attribut viril de Kristoff. La tentation était grande mais les deux amants avaient su rester sages. Anna n’était pas encore couronnée, ni même officiellement majeur. Cela serait chose faîte dès le lendemain. Elle allait fêter ses 21 ans et tous les dignitaires étrangers étaient conviés pour voir la reine des neiges, officiellement lui passer le flambeau du pouvoir.  Il fallait encore rester sage pourtant elle avait envie, et à en juger par se baiser qui s’éternisait Kristoff aussi mais, Anna sentit les mains puissantes de son beau glacier lâcher son dos et les lèvres des deux amoureux se quittèrent doucement.
Kristoff semblait quelque peu gêné, il fit à sa belle un demi sourire qui ressemblait plus à une grimace et fit un pas en arrière. Ils ne parlaient pas, chacun plongeait son regard dans les yeux de l’autre. Chacun pouvait sentir en l’autre une flamme plus intense et plus brulante que n’importe quel incendie crée par Bruni mais Kristoff recula et finalement leurs mains se lâchèrent. Le silence des amants était à leurs oreilles plus assourdissant que mille mots, juste par le regard, par les gestes ils se comprenaient, ils pouvaient se dire tant ils s’aimaient, tant ils se désiraient ! Mais la folie qui avait émoustillé leurs corps se devait de redescendre, ils préféraient respecter les convenances, attendre, cela ne serait que plus doux, après ! Un véritable amour royal.

Kristoff laissa son aimée seule dans la grande bibliothèque. Anna tentait de recouvrer ses esprits et sentit une grande déception monter en elle. Elle ne voulait pas le voir partir. Elle avait voulu crier à Kristoff de rester avec elle, que cette fois ils partagent ensemble la couche royale mais Anna avait su se contenir, pour Elsa notamment ! Anna se doutait que le respect des traditions était important aux yeux de son ainée. Elle avait décidé de la nommer souveraine, la jeune femme se devait de faire honneur et rendre fière la gardienne de la forêt.
Et pourtant ! Pourtant l’attitude de Kristoff était bizarre ! Pourquoi refuser de continuer à jouer. La rouquine observa la pendule sur la cheminée, dix heures à peine, eux qui avaient l’habitude de veiller jusqu’à plus de minuit, cela semblait incompréhensible et Kristoff était troublé. La jeune souveraine ravala sa frustration. Son fiancé avait peut-être raison après tout. Le lendemain allait être un très grand jour pour elle, le plus important de sa jeune vie. Elle allait fêter son 21ème anniversaire et être officiellement couronnée reine d’Arendelle et par la même occasion faire de Kristoff le premier prince consort de l’Histoire du royaume. Oui, Anna allait avoir besoin de toute son énergie pour ce grand jour, si bien qu’elle décida de suivre l’exemple de son aimé et, après avoir rapidement terminé de ranger son jeu de société favori elle quitta la pièce pour aller rejoindre la majestueuse chambre royale.
Il ne fallu pas longtemps à la plus jeune des sœurs d’Arendelle pour se glisser délicatement dans les draps de soie du grand lit royal qui, quelques semaines auparavant était encore celui de la reine des neiges. Depuis son retour en Arendelle, Anna n’y avait encore jamais passé la moindre nuit dans ce qui était désormais sa chambre, préférant la plupart du temps sa chambre de princesse. Elle y avait ses repères mais déjà, elle avait dû la céder à sa cousine de Corona en prévision du couronnement. Elle connaissait les lieux pourtant. Quand sa sœur vivait encore au château, elle avait pour habitude au presque un jour sur deux de partager la couche royale avec la délicieuse blonde. Mais, désormais seule dans ce grand lit, Anna se sentait perdue, faible presque indigne d’y dormir. Elle se tournait et se retournait dans les draps, la rouquine cherchait à penser à des événements agréables et, rapidement, l’image de Kristoff lui vînt à l’esprit. Aussitôt la jeune sœur d’Arendelle sentit son corps se détendre, elle souhaitait revivre cet instant hors du temps qu’ils avaient partagés quelques minutes auparavant dans la bibliothèque.
Anna ferma les yeux et serra fort les draps de soie dans son poing. Anna imaginait qu’à nouveau elle se retrouvait lovée au creux des pectoraux de Kristoff sauf que ce dernier cette fois avait ôté sa chemise. Anna se mordilla la lèvre, sa main droite serra un peu plus fort les draps et sans qu’elle s’en rende compte sa main gauche commença à descendre sous sa tenue de nuit et ses doigts commencèrent à toucher doucement ses petits seins qui commencèrent à pointer. La jeune femme continuait de visualiser son homme et dans son songe elle sentait que ses puissantes mains commençaient à dénouer les lacets de ses vêtements, à chaque lacet, elle sentait le vêtement de plus en plus ample et finalement la robe tomba la laissant uniquement en sous vêtement toujours contre la poitrine nue du glacier. Dans son lit, Anna grimaçait, elle avait cessé de froisser les draps de sa main droite et elle aussi était descendue sous sa chemise de nuit.
Anna imaginait Kristoff se montrer plus entreprenant, il dénouait désormais le corset de la reine, son dernier rempart avant qu’ils ne se retrouvent tout deux peau contre peau. Dans son lit, la rouquine fit baisser sa main de sa poitrine durcie vers son jardin secret. Le simple fait d’effleurer ses portes secrètes lui fit avoir un léger gémissement alors qu’elle sentit les fourmillements dans son être redevenir intense.
Elle était toujours plus détendue, elle sentait qu’il fallait aller plus loin dans son songe. Les mains puissantes de son beau glacier se plaquèrent contre sa poitrine et, de son côté, Anna osa de ses mains explorer la partie du corps de Kristoff qui lui était encore inconnue. En quelques instants, elle sentit le membre du glacier et elle referma sa main sur sa verge qu’elle sentit se durcir dans le creux de sa main. Dans sa chambre, la souveraine poussait quelques petits gémissements alors que de sa main, elle s’aventurait toujours plus profondément dans son antre de princesse. Il fallait qu’elle aille plus loin avec son amant. La jeune femme commençait à découvrir des sensations qui lui étaient jusqu’alors inconnue mais, l’image mentale qu’elle se faisait de son amant commençait à se troubler. Anna essayait de se concentrer mais rien n’y fit et l’image de Kristoff devenait de plus en plus trouble. A la place elle entendait une voix qui l’appelait…Cette voix elle la connaissait…ELSA !

Anna venait de retirer ses mains et avait de nouveau ouvert les yeux, désormais il n’y avait plus qu’un être dans son esprit. Celle qu’elle aimait le plus au monde mais pourtant, en ce moment même, Elsa était la dernière personne à qui Anna voulait penser. Machinalement la jeune femme se redressa dans le grand lit et balaya la pièce du regard. Le cabinet de travail, les motifs, même les symboles des flocons sur la parure de lit. Tout dans cette pièce rappelait la reine des neiges. Anna n’était pas dans sa chambre mais dans celle d’Elsa et elle se sentit honteuse de ce qu’elle venait de commencer à explorer…Dans la pièce d’Elsa, dans son lit…La cadette se sentit mal à l’aise et elle se releva rapidement. Elle se dépêcha de se chausser et sortit doucement dans les couloirs déserts. Elle s’arrêta un instant au-devant du portrait de sa sœur avec Kristoff, Olaf, Sven et elle, puis, son regard se posa sur la petite pendule au bout du couloir…Minuit était passée. Elle avait officiellement 21 ans. Aujourd’hui, elle allait devenir la reine d’Arendelle. Sans trop savoir pourquoi, ses pas la guidèrent vers la grande salle du trône et fut surprise de voir par l’embrasure de la porte qu’une chandelle devait être restée ouverte.
Anna ouvrit la porte et elle se figea. Devant son futur trône elle vit Kristoff qui tenait un livre dans les mains. Il était engoncé dans costume de cérémonie qui semblait marmonner quelques paroles, visiblement gêné par son col trop serré.

-Kristoff ? Mais qu’est ce que tu fais là ? Demanda Anna.

Le montagnard fut surpris. Il sursauta et laissa échapper son livre des mains. Le choc contre le sol résonna dans la grande pièce avant que le silence soit rompu par un long rire de la petite rousse.

-Je…Je…répétais… Balbutia le livreur de glace.
-Tu répétais ?
-La cérémonie je…Je ne connais pas encore bien les discours et…Je ne veux pas commettre d’impair…Avoua-t-il penaud.
-Et pour cela tu avais besoin du costume complet ? Questionna Anna amusée en arrivant à sa hauteur.
-Il faut bien que je m’habitue à supporter…cette chose !
-Je te l’ai déjà dit, je te préfère au naturel de toute façon.

Anna en lui ébouriffa les cheveux de manière espiègle, puis, elle monta les deux petites marches du trône et y prit place, tachant de se tenir droite. Elle se pencha rapidement, et sous le trône elle attrapa une réplique du sceptre d’Arendelle.

-Qu’est-ce que c’est ? Demanda Kristoff intrigué
-Que veux-tu moi aussi j’ai répété ! Mais ils n’ont jamais voulu que je prenne le vrai…Alors je me suis adapté. Ça sera notre petit secret ! Allons, en place monsieur le duc de la plaine des Trolls, futur prince Consort de la plus merveilleuse reine de l’Histoire. S’amusa Anna
-Ah carrément ?
-Autant viser haut tout de suite ! S’amusa la rouquine !
-Mais tu fais quoi ?
-Eh bien je t’aide à répéter. Allons, la procession, à genoux monsieur !

Anna fixa intensément Kristoff, elle essayait d’avoir le regard le plus royal possible. Chez Elsa, c’était un don, elle respirait la Majesté et la dignité, et sa petite sœur espérait un jour pouvoir lui ressembler. Anna eût un demi sourire lorsqu’elle vit Kristoff s’exécuter. Mais il n’était pas question de rire. Certes ils se trouvaient là au milieu de la nuit mais d’ici quelques heures, la salle allait être bondée et ils devraient tout deux se montrer irréprochables.
De manière très royale, Anna observa le duc de la plaine des trolls ployer le genou et baisser les yeux devant sa belle. Elle l’écouta attentivement prononcer son serment d’allégeance et de fidélité à sa reine. Elle entendait les mots et sentit à nouveau les fourmillements la parcourir dans tout le corps alors qu’elle lui tendit sa main, ornée de la bague au diamant orange que son promis baisa tendrement en signe de respect.
A son tour, Anna prononça, d’une voix légèrement tremblante les mots qui, lors de la cérémonie officielle allaient faire de Kristoff un prince consort. Elle sentit sa main puissante se resserrer doucement sur la sienne lorsqu’elle prononça le nouveau titre puis, alors qu’elle l’invita à se relever elle sentit tout à coupe les bras puissants de son aimé l’enlacer et la soulever de terre pour l’embrasser fougueusement. Leur langue se rencontrèrent et s’emmêlèrent dans leur bouche tandis qu’ils prolongeaient ce baiser, puis, alors que les lèvres s’éloignèrent, Kristoff recula d’un pas gêné.

-Pardon votre Altesse…Tout ceci n’est pas très protocolaire !
-Oh mais on s’en fiche tais-toi donc ! Lança aussitôt Anna

Sans lui laisser le temps de répondre, la jeune femme l’agrippa par la veste et lui fit retirer immédiatement. Elle avait agi si rapidement que Kristoff manqua de basculer contre elle. Elle recula d’un pas et se retrouva à nouveau assise sur son trône. Kristoff, emporté par son élan, posa une main sur la cuisse de sa fiancée pour ne pas tomber à son tour. Il voulu l’enlever mais Anna plaqua ses mains contre la sienne.

-Non…Reste la ! Souffla-t-elle alors qu’elle sentait les fourmis la gagner toujours plus.

Elle invita le montagnard à glisser sa main sous sa chemise de nuit et lui caresser lentement le haut de la cuisse. La rouquine se mordilla la lèvre de plaisir, les mains de son amant étaient si douces ! Dans le même temps, elle se pencha vers Kristoff désormais à nouveau à genoux devant elle et elle commença à déboutonner sa chemise.

-Anna ? ... Tu es sûre que ?...
-Je t’ai dit de te taire Kristoff…Vas-y ! ... C’est mon anniversaire !

Elle avait répondu par instinct. Anna ne se contrôlait plus. Cette nuit, elle avait commencé à découvrir des sensations qui lui étaient inconnues. Elle s’était juré d’attendre pour les convenances mais désormais minuit était passé. Selon les propres lois d’Arendelle, elle était désormais officiellement majeure ! Il était temps pour elle de basculer dans un autre monde. La jeune femme ne réfléchissait plus, c’était maintenant son instinct le plus primaire qui la guidait, ce côté animal qui sommeille en chaque être humain, ce désir quelque peu bestial. Anna voulait le croquer à pleine dents. Elle termina de déboutonner l’habit de Kristoff avant de le lui faire retirer. Elle manqua presque de lui déchirer une manche mais enfin, elle put sentir la chaleur de son torse. Ce torse dont elle avait rêvé un peu plus tôt dans la soirée.
C’était le moment, son moment, la jeune femme allait devenir la reine officiellement, elle venait de devenir majeure, il était temps qu’elle devienne femme. Elle pressa la main de son beau glacier qui lui frottait toujours sa cuisse et l’invite à remonter jusqu’à ses sous-vêtements. L’unique barrière entre les mains de son homme et son fruit défendu. Elle continua de guider sa main, la faisant se frotter contre le vêtement qui cachait l’origine du monde. Le frottement du tissu fit monter en Anna un désir et un plaisir jusqu’alors inconnu. Elle serra sa main contre la tête de Kristoff et se cabra légèrement, elle leva la tête en arrière et pouvait ainsi presque distinguer le sommet de son trône sur lequel elle était assise.

-Vas-y Kristoff ! Enlève-là ! Souffla-t-elle.

L’homme des montagnes s’exécuta et alors qu’Anna sentait le petit vêtement glisser le long de ses cuisses puis descendre jusqu’au bas de ses chevilles que sa robe de chambre retroussé de dissimulaient plus elle serra un peu plus fort sa main contre la nuque du beau blond.
Kristoff, encouragé par les petits gémissements de sa future épouse osa aventurer sa main sur les lèvres cachées de la jeune femme. Ses lèvres, que personne n’avait encore jamais exploré. Le léger frottement de ses doigts sur cette zone ne fit qu’augmenter son désir chez Anna. Elle sentait sa poitrine pointer et se durcir. Elle retira sa main de la nuque de Kristoff et en profita pour la poser contre son sein dont elle sentait le mamelon se durcir. Kristoff, qui n’était plus tenu en profita pour passer sa tête sous la robe de chambre de sa promise et petit à petit, il se fraya un passage le long de ses cuisses. Soudain, sa bouche rencontra les portes du paradis secret d’Anna d’Arendelle. Elle le sentit l’embrasser doucement ses parties alors qu’elle se cabrait toujours plus et pressait un peu plus fort ses petits doigts contre sa poitrine désormais dure comme la pierre des Trolls. Et soudain la langue de Kristoff vînt s’introduire en elle. Les coups répétés de sa langue en elle la fit gémir de plaisir alors que ses mains délaissèrent alors ses seins pour se poser contre la nuque de son amant. Le silence assourdissant de la grande salle du trône était désormais brisé par les petits gémissements de la nouvelle maîtresse des lieux et d’un petit clapotement, résultats des assauts de langue de Kristoff à la féminité de sa promise.
Après plusieurs très longues secondes, Kristoff se retira, Anna lui tînt alors la tête et l’embrassa à nouveau fougueusement, puis ses mains glissèrent le long du corps musclé de Kristoff jusqu’au niveau de sa ceinture. Sans interrompre le baiser, et tandis qu’elle sentait ses seins se durcir toujours plus, elle dénoua doucement la ceinture de son homme, elle aussi arriva aux sous-vêtements qui abritait son attribut viril. Sans se poser de question et en gémissant de plaisir alors que Kristoff lui palpait doucement les seins, elle fit, comme dans son songe. Elle agrippa au creux de sa main l’attribut viril qui continuait de se durcir toujours davantage tant le plaisir montait chez son partenaire. Doucement, elle commença quelques petits vas et viens le long de sa verge ce qui fit gémir à son tour le montagnard. Elle sentait le membre de Kristoff trembler dans sa main, doucement, elle stoppa son mouvement, lui caressa les testicules et baissa encore un peu plus ses sous-vêtements et son pantalon. Puis, Anna ramena ses mains sur celles de Kristoff et les fit poser contre ses cuisses.

-Vas-y Kristoff ! Viens ! Ta reine te le demande !
-A vos ordres votre Altesse ! Répondit-il dans un souffle de désir.

D’un geste fort mais très doux, le colosse releva la robe de chambre de la souveraine et la souleva quelque peu du trône. Le dos d’Anna se plaqua contre le dossier en bois richement orné du blason d’Arendelle. La tête de la souveraine se plaqua contre le dossier, entre les noms gravés des anciens souverains, elle fermait les yeux et soufflait doucement en direction du prénom de son père qu’elle ne pouvait lire. Elle gémissait toujours davantage quand elle finit par sentir le premier assaut. Kristoff lui aussi s’était redressé et venait de forcer les portes de son jardin secret et pénétrer en un lieu magique, rempli de plaisirs qui n’avait jusqu’alors jamais été découvert. Anna ressenti une douleur face à ce premier coup de lance, mais elle continuait de gémir de plaisir face aux doux baisers de son amant, de ses caresses sur ses mamelons aussi durs que des diamants et, avec douceur, elle sentit à nouveau la verge longue et dur de son glacier s’enfoncer profondément en elle. La douleur avait disparue, elle ne sentait désormais qu’une étrange chaleur, une douceur et un plaisir qu’elle n’avait jusqu’alors jamais ressenti. Ses petits cris se firent de plus en plus forts, sa respiration, ainsi que celle de Kristoff devînt elle aussi bruyante et haletante. Heureusement pour les deux amants. La salle du trône était insonorisée. Une idée du roi Agnarr quand il était monté sur le trône, Anna n’avait jamais su pourquoi et en cet instant elle s’en fichait. La seule chose qui occupait son esprit, c’était son beau glacier qui continuait ses assauts à sa fleur immaculée. Elle sentait en elle qu’elle sécrétait un liquide ce qui ne fit qu’augmenter toujours davantage son plaisir. Désormais, ses petits gémissements étaient des cris de bonheur. Elle criait dans la salle vide le prénom de son homme qui la comblait tant.

A une quinzaine de mètres du trône où était plaquée Anna, la porte de la grande salle s’était très légèrement ouverte. Sans faire aucun bruit, Kay ne perdait pas une miette du spectacle, il semblait beaucoup apprécier ce qu’il voyait.

-Eh eh ! Douce enfant…Exactement comme ses parents quand il y a vingt-cinq ans son père a dû monter sur le trône…Elle ne perd pas de temps et… Oh mais elle apprend vite en plus !

Le serviteur avait prononcé ses mots pour lui-même à voix basse et ne pouvait s’empêcher de commenter chaque nouveau cri d’extase de la souveraine. Soudain, Kay crut entendre un bruit dans les couloirs. Doucement il referma la porte et s’éloigna prudemment.

Dans la salle du trône, au même moment, Kristoff et Anna gémirent en même temps de plaisir. Elle sentait le membre de son homme trembler en elle et un petit liquide chaud la pénétrer. Ils avaient tous deux atteint l’extase et, Anna, fut surprise quand Kristoff se retira rapidement.

-Quoi ? Qu’y a-t-il ? Ça ne t’a pas plu ? Demanda Anna haletante et légèrement craintive que son homme n’ait pas pu avoir autant de plaisir qu’elle.
-Si…ça se voit je pense…J’ai…J’ai cru entendre du bruit. Fit-il en fixant la porte.

Les deux amants attendirent quelques instants et fixèrent la porte qui ne bougea pas. Un léger sentiment de honte mais aussi une excitation monta à nouveau en eux. La crainte d’être vus, de se faire prendre fit remonter en eux un désir qu’ils pensaient avoir atteints quelques secondes auparavant. A nouveau le regard de Kristoff se détourna pour se plonger à nouveau dans les yeux menthe à l’eau de sa dulcinée. Tous deux s’étreignirent à nouveau et s’embrassèrent. Les caresses ainsi que les petits gémissements recommençaient et ils ne purent remarquer qu’à nouveau, la porte bougea de quelques centimètres…Kay venait de reprendre son poste d’observation.


-Mais ? Kay que faîtes-vous ?! Fit une voix au loin derrière lui.
-Oh Votre Altesse ? Vous ? Vous êtes déjà arrivé ? Répondit Kay à la hâte en fermant la porte et constatant stupéfait qu’Elsa lui faisait face.
-Oui j’ai chevauché le Nokk cette nuit pour faire la surprise à ma sœur ! Je veux lui décorer la salle du trône pour son couronnement !
-Ah…Mais non ! Non vous ne pouvez pas accéder !
-Pas accéder ? A la salle du trône ? Kay vous savez que techniquement c’est encore moi la reine ?
-Oui mais là, ça n’est pas possible…Votre sœur y est ! Donc pour une surprise ça…
-Oh qu’importe, je vais aller la saluer au contraire !
-Non mais vous ne pouvez pas c’est…pas possible je vous assure ! Bégaya le majordome qui suait à grosses gouttes !
-Bon c’est quoi le problème ? Kay vous avez deux secondes pour m’expliquer !
-Euh…Bien pour la faire courte dans cette salle en ce moment, y a un tigre ! Une bête féroce ! Croyez-moi votre altesse, le petit prince est en marche !
-Quoi ? Un tigre ? Ma sœur est en danger ?! Poussez-vous je m’en occupe !
-No… Commença Kay alors qu’Elsa ouvrit la porte avant de la refermer aussitôt la respiration haletante.
-Oh mes aïeux !
-Je vous avais prévenu votre altesse…un tigre !
-Comme vous dîtes bon…Je…Je vais…Je vais aller…coucher…enfin me coucher ! Bonne nuit… Fit Elsa encore sous le choc.

Le majordome regarda la reine des neiges quelque peu tituber avant de s’éloigner vers les chambres du château. Sans doute essayait-elle d’effacer de son esprit ce qu’elle venait de voir. Doucement alors qu’elle s’éloignait, le fidèle serviteur entrouvrit doucement la porte pour y glisser un œil alors que les deux amants continuaient de ne faire plus qu’un sur le trône royal, rompant le silence de la grande salle par leurs respiration haletante et leurs petits gémissements de plaisir alors qu’ils recommençaient à s’aimer et visiblement parés à continuer pour une grande partie de la nuit. Puis Kay il entendit au loin :

-Et Kay…Vous aussi allez-vous coucher ! Interdiction de rester derrière cette porte ! Lança Elsa sans se retourner, se retenant pour ne pas éclater de rire…