Moana/Vaiana, la légende du bout du monde (novembre 2016)
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Re: Moana/Vaiana, la légende du bout du monde (novembre 2016)
Ven 09 Déc 2016, 10:25
J'ignore si cela a un intérêt, mais je poste ici ma critique sur le film que j'avais déjà mis ici https://disneyfrozen.forumactif.org/t172p675-les-derniers-films-que-vous-avez-vus#47993
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Alors que dire ? Et bien qu'il est...
TROP SUPER-HYPER-MEGA-GIGA-HYPRA-POISSON-BALEINE-WTF géniale
Non, sérieusement après m'être défamiliariser d'aller voir les films Disney au cinéma, ça m'a vraiment fait du très grand bien de m'y remettre
Et croyez moi, après être sorti de la salle, j'avais trop envie de ressortir mon bermuda et mon tuba pour plonger dans les eaux du Pacifique et y goûter la douceur de cette océan que j'adore appelé "la perle-azur de la Terre". Mais bon... saison oblige alors... voilà
Exit les histoire de princesses en mal d'amour et autres mièvrerie - non, ne me frappez pas - du genre, on nous embarque dans une véritable odyssée digne de... ben de l'Odyssée. Des îles paradisiaques aux îles volcaniques en passant par les profondeurs de l'océan, on ne s'ennuie pas une seconde en terme d'admiration
Des personnages tout aussi drôles - le coq - et attachant - Vaiana, mon amour - , la recette fonctionne une fois de plus à merveille. Et quand on sait que derrière ce nouveau Disney se cache John Musker et Ron Clement - qui réalisèrent La Petite Sirène, Aladdin et La Princesse et la Grenouille (notez d'ailleurs que c'est la première fois qu'ils travaillent sur un dessin animé 3D) - inutile de le cacher, ces deux messieurs ont encore de quoi nous émouvoir et de nous amuser même après trente ans de travail au sein de Disney.
Deux petits regrets par contre :
- comme Yokill, les chansons : si elles ne sont pas du tout dénués de charme et d'intérêt elles ne rajoutent pas vraiment de caractère à ceux qui les interprètent, car ils ont déjà tout ce qu'il fait leur charme (pour la plupart) depuis le début.
Cela dit, passé cette impression, on ne se privera pas de les fredonner car, malgré tout elle ont leur rythme bien à elles et certaines donnent vraiment envie de danser
- le contexte de départ : après que Disney nous ai habitué aux histoire de princesses en quête d'amour, il s'agit maintenant de la protection (ici, parentale) du monde extérieur. Le contexte en lui-même ne date pas d'hier : pour moi, La Petite Sirène serait le premier Disney à imposer cette thématique, qui sera quelque peu amplifié avec Le Bossu de Notre-Dame (d'une manière différente), suivi quinze an plus tard de Raiponce et, dernier en date, La Reine des Neiges. Entendons-nous bien qu'il n'est pas dénué d'intérêt, bien au contraire, mais s'il n'est pas encore devenu banal (pour ne pas dire cliché), il pourrait l'être si les prochaines productions Disney suivent la même voie scénaristique.
Vous l'aurez compris, un nouveau chef d'oeuvre Disney bien méritant de son titre qui ne demande qu'à être vu. Et comme l'a dit Yokill
Ah, deux derniers trucs avant de rendre le clavier :
- j'ai eu droit au visionnage d'un court-métrage intitulé Raison, déraison. Je ne vais pas vous spoiler, mais le contexte est celui d'un cerveau humain essayant de gérer tant ben que mal le système du corps humain "mis à mal" par le cœur. La suite, à vous de la découvrir.
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Alors que dire ? Et bien qu'il est...
TROP SUPER-HYPER-MEGA-GIGA-HYPRA-POISSON-BALEINE-WTF géniale
Non, sérieusement après m'être défamiliariser d'aller voir les films Disney au cinéma, ça m'a vraiment fait du très grand bien de m'y remettre
Et croyez moi, après être sorti de la salle, j'avais trop envie de ressortir mon bermuda et mon tuba pour plonger dans les eaux du Pacifique et y goûter la douceur de cette océan que j'adore appelé "la perle-azur de la Terre". Mais bon... saison oblige alors... voilà
Exit les histoire de princesses en mal d'amour et autres mièvrerie - non, ne me frappez pas - du genre, on nous embarque dans une véritable odyssée digne de... ben de l'Odyssée. Des îles paradisiaques aux îles volcaniques en passant par les profondeurs de l'océan, on ne s'ennuie pas une seconde en terme d'admiration
Des personnages tout aussi drôles - le coq - et attachant - Vaiana, mon amour - , la recette fonctionne une fois de plus à merveille. Et quand on sait que derrière ce nouveau Disney se cache John Musker et Ron Clement - qui réalisèrent La Petite Sirène, Aladdin et La Princesse et la Grenouille (notez d'ailleurs que c'est la première fois qu'ils travaillent sur un dessin animé 3D) - inutile de le cacher, ces deux messieurs ont encore de quoi nous émouvoir et de nous amuser même après trente ans de travail au sein de Disney.
Deux petits regrets par contre :
- comme Yokill, les chansons : si elles ne sont pas du tout dénués de charme et d'intérêt elles ne rajoutent pas vraiment de caractère à ceux qui les interprètent, car ils ont déjà tout ce qu'il fait leur charme (pour la plupart) depuis le début.
Cela dit, passé cette impression, on ne se privera pas de les fredonner car, malgré tout elle ont leur rythme bien à elles et certaines donnent vraiment envie de danser
- le contexte de départ : après que Disney nous ai habitué aux histoire de princesses en quête d'amour, il s'agit maintenant de la protection (ici, parentale) du monde extérieur. Le contexte en lui-même ne date pas d'hier : pour moi, La Petite Sirène serait le premier Disney à imposer cette thématique, qui sera quelque peu amplifié avec Le Bossu de Notre-Dame (d'une manière différente), suivi quinze an plus tard de Raiponce et, dernier en date, La Reine des Neiges. Entendons-nous bien qu'il n'est pas dénué d'intérêt, bien au contraire, mais s'il n'est pas encore devenu banal (pour ne pas dire cliché), il pourrait l'être si les prochaines productions Disney suivent la même voie scénaristique.
Vous l'aurez compris, un nouveau chef d'oeuvre Disney bien méritant de son titre qui ne demande qu'à être vu. Et comme l'a dit Yokill
ALLEZ VOIR CE FILM p*****
Ah, deux derniers trucs avant de rendre le clavier :
- j'ai eu droit au visionnage d'un court-métrage intitulé Raison, déraison. Je ne vais pas vous spoiler, mais le contexte est celui d'un cerveau humain essayant de gérer tant ben que mal le système du corps humain "mis à mal" par le cœur. La suite, à vous de la découvrir.
- - Et enfin:
- si vous prêtez attention à un moment du film, vous verrez un personnage de La Reine des Neiges. Mais ne comptez pas sur moi pour vous dire qui, et encore moins à quelle moment (cela dit, je crois que vous aves tous devinez de qui il s'agit si vous avez suivi le lien de frodon69 ^^)
- Bjorgman
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Localisation : Mystère. En tous cas, il fait froid
Re: Moana/Vaiana, la légende du bout du monde (novembre 2016)
Dim 01 Jan 2017, 18:26
Envie de revoir des passages chantés du film?
et How Far I'll Go, en alternant 24 langues différentes, dont tahitien pour la première fois
et How Far I'll Go, en alternant 24 langues différentes, dont tahitien pour la première fois
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