La Reine des Neiges II [Walt Disney Animation Studios - 2019]

Spoilers !:

Frantzoze a écrit:Ah l'intelligencia bobo rive gauche archi parisienne qui lit telerama et qui ô mon Dieu a fait des études et sait manier le verbe. Wait?...Mais moi aussi j'ai fait des études, A mon tour de jouer!


De sa belle plume, probablement achetée chez Cartier, l'auteur sait se delecter d'une critique acerbe et négative qui selon les propres termes d'un Anton égo se trouve "plaisante à lire et à écrire". Mais, contrairement à ce critique, sans doute au rabais puisqu'il n'est qu'un personnage d'animation émanant de studios diaboliques pourvoyeurs de culture populaire, il est de mon ton de montrer sa supériorité intellectuelle en déversant moult clichés condescendants et méprisants. D'une prose dont la forme est extrêmement pompeuse et rutilante, son fond, s'en trouve malheureusement digne d'un album de Jul...Vide (oh pardonnez-moi ce trait de plume, à croire que cela ne soit contagieux).
Alors, noblesse d'âme de la part de ce critique qui, fort de sa supériorité intellectuelle digne à minima de Platon, autant tenter d'élever la populasse de sa médiocrité en intellectualisant des personnages ou des éléments à des sujets actuels, à la mode dans les sociétés bien pensantes. La sexualité ambigüe, le féminisme, voilà des mots magiques qui illuminent toujours ce genre de prose. Mais où est la réalité? Une femme qui reste célibataire est donc forcément une féministe et/ou attirée par son groupe sexuel? Et que dire de la théorie du genre? Oui un garçon ne peut pas s'identifier aux préoccupations de personnages féminins, curieux raccourci de la part d'une caste pourtant friante de cette thématique.
Mais heureusement, il ne s'agit là que d'une critique sur, un pauvre dessin animé pour enfant, crée par un studio abrutissant. Aussi la critique condescendante ne fait de mal nulle part. Mais patience, demain, il faudra en faire une sur les difficultés économique de cette population de basse condition, sans doute celle qui souhaite traîner sa marmaille voir cet ersatz qu'on ose qualifier de film. Mais attention, certaines récemment s'y sont cassé les dents, à expliquer qu'il ne faut pas divorcer quand on est au SMIC...Mince cela vexe le bas peuple, heureusement, à l'aide de mots compliqués, nous pouvons continuer à déverser notre fiel sur cet article, après tout, si peu arriveront à comprendre ne fusse que le quart des mots utilisés...D'ailleurs la populace sait-elle lire?
Vaste débat qu'il faudra soulever entre critiques de bonne société autour d'un thé bio.

Frozen Guy a écrit:Heureusement que Le Monde n'a plus de crédibilité aux yeux des français depuis très longtemps

Plus sérieusement ouais, c'est affolant. Ils ont mis des plombes pour lancer la promo du film et en ne misant quasiment que sur des partenariats et des publicités pour les jouets, pire qu'un Star Wars. Et là, seuls les enfants sont visés quand ce ne sont pas juste les petites filles.
C'est tellement insultant pour la moitié du public, composée d'adultes, qui encourage ces productions depuis des années. À croire que dans leurs têtes, si on va au cinéma et qu'on a plus de 10 ans, c'est juste parce qu'on est des grands gamins un peu benêts.

Je crois aussi que ceux qui gèrent la promo des films Disney en France sont déconnectés de la réalité des choses.

We have talked about this. Because between the music from the one and the second one that we all know and love, and there's a couple songs that have been cut that no one's ever heard—from the first one and second one. We've been talking about maybe doing, like, a Hollywood Bowl, maybe televising it perhaps next year with all of our—with Josh [Gad], Jonathan [Groff] and Idina [Menzel].

That to me is the night the girls do go down and play and Anna gets struck - but it’s earlier. It doesn’t have to be that night but in my head, it’s that night.