Débats en tout genre
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Re: Débats en tout genre
Mer 17 Sep 2014, 20:32
Pour moi le dessert est quand je veux ^^
Avant ou près un repas, c'est une gaterie dont je ne peu pas résister
Avant ou près un repas, c'est une gaterie dont je ne peu pas résister
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 17 Sep 2014, 20:37
Tu es royalement HS. En quoi cela révèle-t-il ton humanité ?
Personnellement, j'avais dit que le dessert dévoilait:
- Un certain optimisme: le désir finir sur une note "positive"
- Le plaisir de faire durer les bonnes choses (le repas ici présent)
- L'envie de partager une convivialité
- Le fait d'en vouloir toujours plus, de n'être jamais satisfait de ce qu'on a déjà
Personnellement, j'avais dit que le dessert dévoilait:
- Un certain optimisme: le désir finir sur une note "positive"
- Le plaisir de faire durer les bonnes choses (le repas ici présent)
- L'envie de partager une convivialité
- Le fait d'en vouloir toujours plus, de n'être jamais satisfait de ce qu'on a déjà
- Miss OlafLégende du Royaume
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Localisation : Royaume d'Alsace et d'Arendelle
Re: Débats en tout genre
Jeu 18 Sep 2014, 00:37
PG, tu n'es pas encore initié à la philosophie, parce que des choses qui paraissent futiles, tu vas en goûter en terminal .
Le dessert, soit tu l'achète déjà tout fait, soit tu le fait toi-même, tu ne le prend que pour toi où tu le partage. Lors d'un dîner entre amis, on propose en dessert un plateau de plusieurs variétés de viennoiseries, l'un d'eux te tape à l’œil, vas tu le prendre tout de suite sans scrupule ? ou vas tu te concerter avec le groupe pour savoir qui aime ou déteste quoi ?
D'un point de vue culturel, il y a différente façon de prendre un dessert. Dans un pays reprendre un plat est bien vue, car ça montre que tu trouve ça bon. Dans l'autre si tu reprend un dessert, ça démontre que tu ne t'es pas rassasié et ça offusque l'hôte ( ex: dans un pays d'Asie du sud est, on présente un super plateau dessert, mais la coutume veux que tu refuse poliment ! ). Donc te plie tu aux coutumes ? ou fait comme tu veux dans le risque de paraître mal poli ?
Ma façon de penser très rapide et un peu bordélique XD.
Le dessert, soit tu l'achète déjà tout fait, soit tu le fait toi-même, tu ne le prend que pour toi où tu le partage. Lors d'un dîner entre amis, on propose en dessert un plateau de plusieurs variétés de viennoiseries, l'un d'eux te tape à l’œil, vas tu le prendre tout de suite sans scrupule ? ou vas tu te concerter avec le groupe pour savoir qui aime ou déteste quoi ?
D'un point de vue culturel, il y a différente façon de prendre un dessert. Dans un pays reprendre un plat est bien vue, car ça montre que tu trouve ça bon. Dans l'autre si tu reprend un dessert, ça démontre que tu ne t'es pas rassasié et ça offusque l'hôte ( ex: dans un pays d'Asie du sud est, on présente un super plateau dessert, mais la coutume veux que tu refuse poliment ! ). Donc te plie tu aux coutumes ? ou fait comme tu veux dans le risque de paraître mal poli ?
Ma façon de penser très rapide et un peu bordélique XD.
- Kalegula
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Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Sam 20 Sep 2014, 00:18
C'est amusant, au début je pensais avoir lu desert, aussi je m'étais mis en tête le film Lawrence d'Arabie comme pilier pour une thèse, mais finalement le sujet est plus retord qu'il n'y paraît... Même si la réflexion est tout aussi intéressante !
Un problème important que je trouve avec cette question est au niveau sémiologique : en effet, il cite "notre humanité", mais est-ce qu'il parlait de l'humanité dans sa globalité, et donc on n'avait pas besoin de l'article possessif, ou bien sous-entendait-il notre humanité d'un point de vue individuel ? Car la réflexion peut se construire de deux façons différentes selon le point de vue...
Prenons d'abord l'idée du dessert dans l'humanité. Cela revoit à des concepts plus généraux et moins intimes et personnels. On peut d'abord se poser la question de quand datent historiquement les desserts. Même si je m'avance assez sur des œufs en affirmant cela, je pense que ça daterait de la civilisation égyptienne (je ne sais pas grand chose des civilisation extra-européennes, les Egyptiens mis à part). On loue souvent les anciens Egyptiens comme une des plus grandes civilisations de l'humanité. Nous serions dans un premier temps tentés d'associer ainsi l'idée de dessert à celle d'avancée dans la civilisation (ce concept étant à prendre avec beaucoup de précautions cela dit...), ainsi le caractère "dessert" serait un des nombreux critère pour qualifier une civilisation, un groupe, d'avancé d'un point de vue social. Le dessert révèle ainsi une humanité "évoluée", l'idée de douceurs en fin de repas est signe d'une civilisation prospère...
Mais encore, le dessert est associé à ce qui est considéré comme un pêché capital dans la religion judéo-chrétienne : la gourmandise ! Abuser des plaisirs matériels de la vie, ce serait s'éloigner des bienfaits de douceurs plus spirituelles ! Cependant, se fixer des règles, c'est aussi s'infliger des exceptions : si on ne doit pas trop se laisser influencer par la nourriture, nous pouvons nous accorder un plaisir seigneurial en fin de repas, mais pas à d'autres moments d'une vie saine. L'idée de dessert revoit ainsi à un concept d'humanité qui s'auto-régule, qui plutôt que de laisser libre cours à ses impulsions, se limite en quantité non pas dans une idée de bénéfice pour la santé physique, mais plutôt pour un bien-être spirituel...
On pourrait ajouter que le moment du dessert est là aussi assez révélateur : en effet, pourquoi lui réserver la place à la fin du repas ? On pourrait trouver une raison pragmatique : nous savons que la sensation sucrée inhibe en quelque sorte les autres saveurs (surtout celles qui sont moins sucrées). Réserver la dernière place au sucré prend donc une tournure plus logique, et surtout gustative : la nourriture n'est plus aliment, elle devient met. Le dessert semble ainsi montrer que l'humanité est allée au delà de la nature essentielle des choses : après tout, ce n'est que de la nourriture. Comment expliquer autrement la valeur que nous attachons aux desserts ?
D'un point de vue plus symbolique, on pourrait se remémorer l'adage : "après l'effort le réconfort", et effectivement, on peut supposer que placer le plaisir d'une douceur en fin de repas est assez évocateur d'une humanité qui accorde de l'importance au mérite et à l'effort (bon, en fait j'ai juste pas envie d'approfondir cet argument ).
Si on voulait creuser la question, dans le règne animal, n'y aurait-il pas d'autres exemples ? Des animaux qui s'accorderaient sciemment une petite gâterie... de type alimentaire, je vois certains d'entre vous venir avec l'exemple des bonobos Pour ma part, je n'ai jamais entendu parler d'animaux pratiquant ce genre de plaisirs, on peut peut-être alors partir du fait que le dessert est le propre de l'homme...
Je vous laisse vous occuper de trouver des arguments pour la partie "révélateur de l'humanité individuelle", ou alors je m'en chargerai plus tard XD
Un problème important que je trouve avec cette question est au niveau sémiologique : en effet, il cite "notre humanité", mais est-ce qu'il parlait de l'humanité dans sa globalité, et donc on n'avait pas besoin de l'article possessif, ou bien sous-entendait-il notre humanité d'un point de vue individuel ? Car la réflexion peut se construire de deux façons différentes selon le point de vue...
Prenons d'abord l'idée du dessert dans l'humanité. Cela revoit à des concepts plus généraux et moins intimes et personnels. On peut d'abord se poser la question de quand datent historiquement les desserts. Même si je m'avance assez sur des œufs en affirmant cela, je pense que ça daterait de la civilisation égyptienne (je ne sais pas grand chose des civilisation extra-européennes, les Egyptiens mis à part). On loue souvent les anciens Egyptiens comme une des plus grandes civilisations de l'humanité. Nous serions dans un premier temps tentés d'associer ainsi l'idée de dessert à celle d'avancée dans la civilisation (ce concept étant à prendre avec beaucoup de précautions cela dit...), ainsi le caractère "dessert" serait un des nombreux critère pour qualifier une civilisation, un groupe, d'avancé d'un point de vue social. Le dessert révèle ainsi une humanité "évoluée", l'idée de douceurs en fin de repas est signe d'une civilisation prospère...
Mais encore, le dessert est associé à ce qui est considéré comme un pêché capital dans la religion judéo-chrétienne : la gourmandise ! Abuser des plaisirs matériels de la vie, ce serait s'éloigner des bienfaits de douceurs plus spirituelles ! Cependant, se fixer des règles, c'est aussi s'infliger des exceptions : si on ne doit pas trop se laisser influencer par la nourriture, nous pouvons nous accorder un plaisir seigneurial en fin de repas, mais pas à d'autres moments d'une vie saine. L'idée de dessert revoit ainsi à un concept d'humanité qui s'auto-régule, qui plutôt que de laisser libre cours à ses impulsions, se limite en quantité non pas dans une idée de bénéfice pour la santé physique, mais plutôt pour un bien-être spirituel...
On pourrait ajouter que le moment du dessert est là aussi assez révélateur : en effet, pourquoi lui réserver la place à la fin du repas ? On pourrait trouver une raison pragmatique : nous savons que la sensation sucrée inhibe en quelque sorte les autres saveurs (surtout celles qui sont moins sucrées). Réserver la dernière place au sucré prend donc une tournure plus logique, et surtout gustative : la nourriture n'est plus aliment, elle devient met. Le dessert semble ainsi montrer que l'humanité est allée au delà de la nature essentielle des choses : après tout, ce n'est que de la nourriture. Comment expliquer autrement la valeur que nous attachons aux desserts ?
D'un point de vue plus symbolique, on pourrait se remémorer l'adage : "après l'effort le réconfort", et effectivement, on peut supposer que placer le plaisir d'une douceur en fin de repas est assez évocateur d'une humanité qui accorde de l'importance au mérite et à l'effort (bon, en fait j'ai juste pas envie d'approfondir cet argument ).
Si on voulait creuser la question, dans le règne animal, n'y aurait-il pas d'autres exemples ? Des animaux qui s'accorderaient sciemment une petite gâterie... de type alimentaire, je vois certains d'entre vous venir avec l'exemple des bonobos Pour ma part, je n'ai jamais entendu parler d'animaux pratiquant ce genre de plaisirs, on peut peut-être alors partir du fait que le dessert est le propre de l'homme...
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"Plus noir que la nuit, plus chaud que l'enfer, et plus amer que l'existence... Voilà ce que doit être un café !"
"J'aime avoir le dernier mot, bien que je n'apprécie pas toujours être le dernier à parler"
Anonyme
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- Kalegula
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Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Mer 01 Oct 2014, 00:15
Bon, l'ennemi principal de l'homme m'ayant de nouveau pris pour cible (l'ennui), j'ai envie de passer outre le double post et de proposer une idée de réflexion...
Mais bon, comme j'ai d'un autre côté envie de recueillir des réactions, je vais proposer un thème très large et vous laisser traiter la question de votre choix ! Ne suis-je pas magnanime ?
Que diriez-vous de traiter sur l'humour ? Je pense qu'en cette période de crise économique, sociale, démographique, et alimentaire (du moins pour moi : je n'ai plus de jus d'ananas et j'ai la flemme d'aller en racheter), il est bon de se demander pourquoi sommes-nous à priori les seules espèces animales à pouvoir rire...
Bien sûr, vous pouvez proposer une réflexion sur la sempiternelle et ô combien bateau question : "Peut-on rire de tout ou avec tout le monde ?", mais vous avez aussi de nombreuses autres pistes de réflexions...
En vrac : donner votre conception du "3ème degré" (qui diffère beaucoup selon les auteurs), pourquoi l'humour chez l'homme ?, peut-on parler d'un formatage de cerveau pour certaines formes d'humour ?, proposer une analyse de contenus que vous considérez comme humoristiques (série TV par exemple !)...
J'ai déjà une idée d'une réflexion personnelle, mais je préfère voir ce que vous pouvez développer de votre côté
Mais bon, comme j'ai d'un autre côté envie de recueillir des réactions, je vais proposer un thème très large et vous laisser traiter la question de votre choix ! Ne suis-je pas magnanime ?
Que diriez-vous de traiter sur l'humour ? Je pense qu'en cette période de crise économique, sociale, démographique, et alimentaire (du moins pour moi : je n'ai plus de jus d'ananas et j'ai la flemme d'aller en racheter), il est bon de se demander pourquoi sommes-nous à priori les seules espèces animales à pouvoir rire...
Bien sûr, vous pouvez proposer une réflexion sur la sempiternelle et ô combien bateau question : "Peut-on rire de tout ou avec tout le monde ?", mais vous avez aussi de nombreuses autres pistes de réflexions...
En vrac : donner votre conception du "3ème degré" (qui diffère beaucoup selon les auteurs), pourquoi l'humour chez l'homme ?, peut-on parler d'un formatage de cerveau pour certaines formes d'humour ?, proposer une analyse de contenus que vous considérez comme humoristiques (série TV par exemple !)...
J'ai déjà une idée d'une réflexion personnelle, mais je préfère voir ce que vous pouvez développer de votre côté
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- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 01 Oct 2014, 09:19
j'aurai une première question en amorce au débat...ce dernier t'as-t-il été inspiré par des conversations dernièrement?
Et j'ai une autre question qui s'inclut dans ce débat...Mon emploi du temps (pour mon cours de 10h a encore changé...à 8h ce matin)...bref est-ce une forme d'humour?
Pour l'intellectualiser...Tout peut il être de l'humour
Et j'ai une autre question qui s'inclut dans ce débat...Mon emploi du temps (pour mon cours de 10h a encore changé...à 8h ce matin)...bref est-ce une forme d'humour?
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- Kalegula
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Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Mer 01 Oct 2014, 10:49
Non, loin de là Frantzoze, enfin, oui et non. Je me suis fait une réflexion après une remarque de Flounder sur un film que je regardais, mais j'ai voulu aussi voir les sujets que cela pouvait inspirer aux autres... Rien à voir avec les conversations que tu dois avoir en tête
Oui, tout-est il de l'humour est un sujet intéressant, mais avant toute chose peut-être devrions-nous nous attacher à définir ce qu'est l'humour 8-)
Bah, c'est un sujet libre, que ceux qui se sentent inspirés se lancent, mon emploi du temps de me permet pas d'écrire une réflexion tout de suite X)
PS : nous en aurions pour toute l'année si on devait discourir sur les problèmes techniques des emplois du temps des études supérieures, surtout en faculté X) Mais je compatis, moi aussi il m'est arrivé d'avoir des cours qui apparaissaient là où il ne devaient pas se trouver
Oui, tout-est il de l'humour est un sujet intéressant, mais avant toute chose peut-être devrions-nous nous attacher à définir ce qu'est l'humour 8-)
Bah, c'est un sujet libre, que ceux qui se sentent inspirés se lancent, mon emploi du temps de me permet pas d'écrire une réflexion tout de suite X)
PS : nous en aurions pour toute l'année si on devait discourir sur les problèmes techniques des emplois du temps des études supérieures, surtout en faculté X) Mais je compatis, moi aussi il m'est arrivé d'avoir des cours qui apparaissaient là où il ne devaient pas se trouver
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Re: Débats en tout genre
Mer 01 Oct 2014, 12:42
pour moi c'est mon quotidien en ce moment...c'est là qu'on comprend à quel point on est chouchouté au collège et au lycée
Bon sinon sur l'humour...si j'ai du temps et du courage, un petit podcast en guise de réponse (ou Raiponce!)...[oui parenthèse, à toi le ras du bonnet qui lirait ce message et ne pigerait pas pourquoi j'ai mis Raiponce...c'est ce qu'on appelle un jeu de mots, même sonorité mais avec un terme différent ayant une autre signification provoquant une ambiguité ce qui crée un décalage comique...tu n'as pas compris?...Laisse tomber c'est de l'humour tu peux pas comprendre si tu es ras du bonnet, car oui l'humour pour pouvoir la comprendre et davantage encore la pratiquer necessite tout de même un peu d'intelligence)
Bref je disais un podcast...d'ailleurs puisque je parle d'intelligence ça me fait penser qu'il serait bon de développer ce que l'on entend par intelligence mais ça serait du temps probablement de perdu car je souhaiterai le développer pour le ras du bonnet qui...en supposant qu'il existe ce qui déja en soi est une question car je présuppose que oui sinon ça serait couillon de me casser le c** à écrire ces lignes pour une personne qui n'existe pas
...d'ailleurs dans le fond même si elle existe je dis qu'elle ne comprends pas ce que j'écris donc j'écris dans le vide et ceux qui avaient pigés...bah pigent plus car ce message part en cacahuète!
D'ailleurs en parlant de cacahuètes ça me rappelle que c'est l'heure de manger et qu'il faut manger sainement pour vivre sainement, et ainsi développer son intelligence car c'était mon point de divergeance à propos de l'humour
Tu ne piges plus ce message?...C'est normal c'est l'absurde...et justement l'absurde est une forme d'humour?
Tu ne comprends pas...bah c'est un manque d'humour donc d'ouverture d'esprit voir d'intelligence
...ce que j'entends par intelligence...Ouais mais bon on peut rester longtemps comme ça surtout qu'à la base je parlais de podcast!
...et du coup, bah j'ai plus le temps de terminer mon propos à propos (tiens une répeztition...d'ailleurs se repeter peut provoquer un effet comique aussi)...ou alors c'est un bégaiement et dans ce cas c'est une pathologie?! Peut on rire d'une pathologie?
La on en vient à la fameuse question peut on rire de tout?
Mais le sujet n'est pas là et on s'attarde déja que j'expliquais que je l'étais moi même à cause de la longueur de ce message qui m'empêche de conclure sur les podcasts
...ce qui est un tord car dans l'humour la conclusion est importante elle s'appelle la chut AÏE!!!
Je dis Aie à cause de la chute, car quand on tombe bah ça fait mal...mais ça n'a rien à voir avec la chute dans l'humour...là encore c'est un jeu de mot
Tu ne comprends pas toi le ras du bonnet ce qu'est un jeu de mot?
Bah relis depuis le début
C'est bon tu as relu?...mais il y a un problème, s'il n'a toujours pas compris, il va à nouveau relire depuis le début
Dans ce cas ce message n'est qu'un cercle dont il ne sortira pas...hum, je vais reflechir à comment l'en sortir
Bon sinon sur l'humour...si j'ai du temps et du courage, un petit podcast en guise de réponse (ou Raiponce!)...[oui parenthèse, à toi le ras du bonnet qui lirait ce message et ne pigerait pas pourquoi j'ai mis Raiponce...c'est ce qu'on appelle un jeu de mots, même sonorité mais avec un terme différent ayant une autre signification provoquant une ambiguité ce qui crée un décalage comique...tu n'as pas compris?...Laisse tomber c'est de l'humour tu peux pas comprendre si tu es ras du bonnet, car oui l'humour pour pouvoir la comprendre et davantage encore la pratiquer necessite tout de même un peu d'intelligence)
Bref je disais un podcast...d'ailleurs puisque je parle d'intelligence ça me fait penser qu'il serait bon de développer ce que l'on entend par intelligence mais ça serait du temps probablement de perdu car je souhaiterai le développer pour le ras du bonnet qui...en supposant qu'il existe ce qui déja en soi est une question car je présuppose que oui sinon ça serait couillon de me casser le c** à écrire ces lignes pour une personne qui n'existe pas
...d'ailleurs dans le fond même si elle existe je dis qu'elle ne comprends pas ce que j'écris donc j'écris dans le vide et ceux qui avaient pigés...bah pigent plus car ce message part en cacahuète!
D'ailleurs en parlant de cacahuètes ça me rappelle que c'est l'heure de manger et qu'il faut manger sainement pour vivre sainement, et ainsi développer son intelligence car c'était mon point de divergeance à propos de l'humour
Tu ne piges plus ce message?...C'est normal c'est l'absurde...et justement l'absurde est une forme d'humour?
Tu ne comprends pas...bah c'est un manque d'humour donc d'ouverture d'esprit voir d'intelligence
...ce que j'entends par intelligence...Ouais mais bon on peut rester longtemps comme ça surtout qu'à la base je parlais de podcast!
...et du coup, bah j'ai plus le temps de terminer mon propos à propos (tiens une répeztition...d'ailleurs se repeter peut provoquer un effet comique aussi)...ou alors c'est un bégaiement et dans ce cas c'est une pathologie?! Peut on rire d'une pathologie?
La on en vient à la fameuse question peut on rire de tout?
Mais le sujet n'est pas là et on s'attarde déja que j'expliquais que je l'étais moi même à cause de la longueur de ce message qui m'empêche de conclure sur les podcasts
...ce qui est un tord car dans l'humour la conclusion est importante elle s'appelle la chut AÏE!!!
Je dis Aie à cause de la chute, car quand on tombe bah ça fait mal...mais ça n'a rien à voir avec la chute dans l'humour...là encore c'est un jeu de mot
Tu ne comprends pas toi le ras du bonnet ce qu'est un jeu de mot?
Bah relis depuis le début
C'est bon tu as relu?...mais il y a un problème, s'il n'a toujours pas compris, il va à nouveau relire depuis le début
Dans ce cas ce message n'est qu'un cercle dont il ne sortira pas...hum, je vais reflechir à comment l'en sortir
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 01 Oct 2014, 14:21
L'humour...et bien il y a l'humour de Frantzoze et celui des autres
Non plus sérieusement; l'humour fait partie intégrante de la personnalité de chacun mais comme dit le vieil adage populaire: on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui.
L'humour peut ainsi être conditionné par notre culture et notre éducation. Essayez donc de faire rire un fervent catholique avec une caricature du pape... . L'humour se prête à des jeux de mots parfois intraduisible d'une langue à l'autre. Prenons par exemple l'existence du remake Italien de Bienvenue chez les Chtis.
Le succès de ce film tient surtout je pense du fait qu'à travers le thème d'autrui extravagant se dresse un portrait du "en fait on se ressemble" et que la diversité c'est "fun" . Le spectateur non-Chti s'identifie au personnage du sud débarquant dans cette région aux habitants à l'accent et aux coutumes étranges.
Un thème bateau et cliché mais qui fait manifestement encore ses preuves...car pas besoin de faire quelque chose de ckompliqué; il faut un thème qui parle aux gens pour faire rire
En témoigne le succès fulgurant de séries comme "Un gars une fille" qui retracent la vie de tous les jours d'un couple, entre engueulades et moments de tendresses. Les gens aiment rire d'eux en somme ^^
Il y a autant d'humour que de personnes sur cette terre...il y en a qui sont partagés par plusieurs personnes et d'autres...moins on va dire ^^
L'humour est indispensable aux relations humaines. Une personne avant un tant soit peu d'humour sera appréciée car souriante et bonne vivante; même si on adhère pas forcément à l'humour d'autrui.
Non plus sérieusement; l'humour fait partie intégrante de la personnalité de chacun mais comme dit le vieil adage populaire: on peut rire de tout mais pas avec n'importe qui.
L'humour peut ainsi être conditionné par notre culture et notre éducation. Essayez donc de faire rire un fervent catholique avec une caricature du pape... . L'humour se prête à des jeux de mots parfois intraduisible d'une langue à l'autre. Prenons par exemple l'existence du remake Italien de Bienvenue chez les Chtis.
Le succès de ce film tient surtout je pense du fait qu'à travers le thème d'autrui extravagant se dresse un portrait du "en fait on se ressemble" et que la diversité c'est "fun" . Le spectateur non-Chti s'identifie au personnage du sud débarquant dans cette région aux habitants à l'accent et aux coutumes étranges.
Un thème bateau et cliché mais qui fait manifestement encore ses preuves...car pas besoin de faire quelque chose de ckompliqué; il faut un thème qui parle aux gens pour faire rire
En témoigne le succès fulgurant de séries comme "Un gars une fille" qui retracent la vie de tous les jours d'un couple, entre engueulades et moments de tendresses. Les gens aiment rire d'eux en somme ^^
Il y a autant d'humour que de personnes sur cette terre...il y en a qui sont partagés par plusieurs personnes et d'autres...moins on va dire ^^
L'humour est indispensable aux relations humaines. Une personne avant un tant soit peu d'humour sera appréciée car souriante et bonne vivante; même si on adhère pas forcément à l'humour d'autrui.
- Kalegula
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Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Sam 04 Oct 2014, 21:33
Bon, je suppose que les autorités compétentes seront d'accord avec moi sur le fait qu'utiliser ce sujet comme gourdin pour taper directement ou indirectement sur d'autres individus sera réprimandé
Si vous y tenez nous pourrons débattre de l'intelligence plus tard, une petite mise aux poings (ahem) s'imposerait entre nous tous. M'enfin bref !
Je vais cependant faire un petit commentaire suite à la réponse de Frantzoze...
Tout d'abord, j'ai l'impression que tu considères les gens ne comprenant pas l'humour comme étant moins intelligents... Cela me rappelle un livre (et un film) étudié il y a quelques années : La controverse de Valladolid.
Je vous replace dans le contexte, pour ceux et celles qui ne connaitraient pas l'histoire : nous sommes en Espagne peu après la découverte des Amériques. Les Espagnols cherchent à déterminer si les Amérindiens ont une âme, à l'instar des "Blancs", ou pas, comme les esclaves africains. De ce débat est censé découler la façon de traiter les indigènes d'Amérique, l'enjeu est donc très important !
Un "test" que les têtes de l'époque font passer à quelques Amérindiens amené en Espagne est simple : il faut vérifier s'ils sont capables de rire, le rire étant le propre de l'homme ! Ils amènent donc des bouffons de cour qui produisent leur petit numéro, sans aucune réaction des natifs... sauf quand plus tard, tout à fait par accident une des grosses têtes de l'époque se prend les pieds dans le tapis !
Que devons nous en conclure ? Que ceux qui ne réagissent pas à l'humour comme on l'entend ne sont pas des individus dignes d'intérêt, ou primitifs ? Que l'avancée intellectuelle et la maturité en général sont conditionnés par nos réactions à l'humour des autres, alors que le rire est quelque chose d'avant tout personnel, comme un prénom ?
Je ne pense pas qu'on puisse faire des amalgames aussi gros. S'il est vrai cependant qu'un esprit élevé est plus réceptif à certaines formes d'humour, je pense que d'un autre côté il se ferme à d'autres... Même si, il est vrai, que des individus ayant un QI en dessous de la moyenne sont souvent hermétiques à un humour plus fin, si on peut s'exprimer ainsi, car nous sommes très mal placés pour juger de notre propre sens de l'humour. Cependant, il ne faut pas faire une équation du style : un individu ne comprend pas mon humour = il est stupide. Si ça marche souvent dans l'autre sens, ce n'est pas une réaction équivalente comme on dirait en chimie (entre parenthèses la bonne équation serait donc : "individu non réceptif à l'humour ← individu stupide")
Combien de fois avons-nous lu dans des commentaires de vidéo sur un humour un peu spécial (comme celui de Raymond Devos) : "C'est pas drôle", "J'ai même pas rit", etc... ? Alors que ces mêmes personnes trouvent d'autre styles d'humour tout à fait hilarant ? Je pense que de même il ne faut pas faire l'erreur de poser une hiérarchie à l'humour. Juger des personnes selon qu'elles aiment plus un genre d'humour plus qu'un autre n'est pas forcément révélateur de personnalité. Il n'y a pas de forme d'humour meilleure qu'une autre, chacune possède des choses à louer et d'autres à blâmer.
Bon, pour prendre un cas comme exemple, je vais prendre mon expérience personnelle : j'ai un rire très difficile, pour tout dire je ne dois vraiment rire qu'une ou deux fois par semaine, ce qui cependant ne m'empêche pas d'apprécier plusieurs manifestations d'humour, même si je dois avouer que je suis assez hermétique à certaines d'entre elles
Cependant, doit-on me considérer comme moins évolué sous prétexte que je suis pas capable de rire avec mes semblables de ce qui plaît à mes semblables ?
Mais bref, c'était principalement pour discuter d'un point qui me semblait obscur dans la réflexion de Frantzoze.
Un deuxième point, plus petit je l'espère, concernait l'humour absurde. Alors pour revenir à un point que j'ai précédemment évoqué, je pense qu'on est le moins bien placer pour définir ce qui est un type d'humour, ne serait-ce que parce que nous avons tous une expérience et un vécu différent. Mais l'humour absurde est, à mon sens, aussi difficile à définir que le troisième degré d'humour. Sa définition varie selon les individus à qui j'ai pu poser la question.
Pour proposer ma définition personnelle de l'humour absurde, je dirais que c'est une tournure de pensée qui va à l'encontre de notre façon de réfléchir habituelle. L'humour absurde fonctionne parce qu'il allume une lumière dans notre esprit : "Eh, mais ce n'est pas normal ce que j'entends là !". De là l'idée que l'humour absurde est compliqué à définir et à ressentir, car nous avons tous une façon de penser à priori différente.
Si je peux prendre un exemple de ce que je considère personnellement comme un chef d'oeuvre d'absurde, ce serait Alice au Pays des Merveilles (le conte ou le film de Disney, les deux sont géniaux de toute façon). C'est un détachement par rapport à notre raisonnement habituel. L'absurde serait donc un mode de pensée à l'opposé complet de la logique ? Je pense que oui et non : l'humour absurde peut aussi venir d'une logique poussé à l'extrême (à mon sens !).
Pour clarifier un peu, et surtout parce que je suis un grand amateur d'humour absurde, je vais donner un cas concret. Voici un exemple de logique poussée dans ses dernier retranchements. Je souligne les passages les plus importants selon moi. L'auteur de ce texte n'est autre que Jacques Rouxel (ceux qui connaissent sauront de suite de quoi je vais traiter ) !
Suite à ce petit intermède, nous pouvons amorcer une conclusion en citant de nouveau l'humour absurde comme étant une pensée allant à l'encontre de nos standards. Un raisonnement différent, soit dénué de sens logique, soit au contraire empli de la pensée cartésienne. J'aurais de nombreux autres exemples personnels à partager, mais comme supposé dans ma première réflexion, nous avons tous un sens de l'humour personnalisé et subjectif, aussi je peux très bien être actuellement en train de prêcher dans le désert que de toucher au vif le lectorat.
Ainsi, nous serions amenés à penser que l'humour est un sujet trop vaste pour être pris à la légère, et pour citer un auteur dont j'ai oublié le nom : "L'humour est une chose trop sérieuse pour être laissée à des petits rigolos" (ou quelque chose comme ça, malheureusement ma mémoire se souvient d'avantage de citations drôles, mais il me semble que c'était Voltaire ou une autre Lumière qui avait affirmé ceci, de façon mieux tournée sans doute).
Si vous y tenez nous pourrons débattre de l'intelligence plus tard, une petite mise aux poings (ahem) s'imposerait entre nous tous. M'enfin bref !
Je vais cependant faire un petit commentaire suite à la réponse de Frantzoze...
Tout d'abord, j'ai l'impression que tu considères les gens ne comprenant pas l'humour comme étant moins intelligents... Cela me rappelle un livre (et un film) étudié il y a quelques années : La controverse de Valladolid.
Je vous replace dans le contexte, pour ceux et celles qui ne connaitraient pas l'histoire : nous sommes en Espagne peu après la découverte des Amériques. Les Espagnols cherchent à déterminer si les Amérindiens ont une âme, à l'instar des "Blancs", ou pas, comme les esclaves africains. De ce débat est censé découler la façon de traiter les indigènes d'Amérique, l'enjeu est donc très important !
Un "test" que les têtes de l'époque font passer à quelques Amérindiens amené en Espagne est simple : il faut vérifier s'ils sont capables de rire, le rire étant le propre de l'homme ! Ils amènent donc des bouffons de cour qui produisent leur petit numéro, sans aucune réaction des natifs... sauf quand plus tard, tout à fait par accident une des grosses têtes de l'époque se prend les pieds dans le tapis !
Que devons nous en conclure ? Que ceux qui ne réagissent pas à l'humour comme on l'entend ne sont pas des individus dignes d'intérêt, ou primitifs ? Que l'avancée intellectuelle et la maturité en général sont conditionnés par nos réactions à l'humour des autres, alors que le rire est quelque chose d'avant tout personnel, comme un prénom ?
Je ne pense pas qu'on puisse faire des amalgames aussi gros. S'il est vrai cependant qu'un esprit élevé est plus réceptif à certaines formes d'humour, je pense que d'un autre côté il se ferme à d'autres... Même si, il est vrai, que des individus ayant un QI en dessous de la moyenne sont souvent hermétiques à un humour plus fin, si on peut s'exprimer ainsi, car nous sommes très mal placés pour juger de notre propre sens de l'humour. Cependant, il ne faut pas faire une équation du style : un individu ne comprend pas mon humour = il est stupide. Si ça marche souvent dans l'autre sens, ce n'est pas une réaction équivalente comme on dirait en chimie (entre parenthèses la bonne équation serait donc : "individu non réceptif à l'humour ← individu stupide")
Combien de fois avons-nous lu dans des commentaires de vidéo sur un humour un peu spécial (comme celui de Raymond Devos) : "C'est pas drôle", "J'ai même pas rit", etc... ? Alors que ces mêmes personnes trouvent d'autre styles d'humour tout à fait hilarant ? Je pense que de même il ne faut pas faire l'erreur de poser une hiérarchie à l'humour. Juger des personnes selon qu'elles aiment plus un genre d'humour plus qu'un autre n'est pas forcément révélateur de personnalité. Il n'y a pas de forme d'humour meilleure qu'une autre, chacune possède des choses à louer et d'autres à blâmer.
Bon, pour prendre un cas comme exemple, je vais prendre mon expérience personnelle : j'ai un rire très difficile, pour tout dire je ne dois vraiment rire qu'une ou deux fois par semaine, ce qui cependant ne m'empêche pas d'apprécier plusieurs manifestations d'humour, même si je dois avouer que je suis assez hermétique à certaines d'entre elles
Cependant, doit-on me considérer comme moins évolué sous prétexte que je suis pas capable de rire avec mes semblables de ce qui plaît à mes semblables ?
Mais bref, c'était principalement pour discuter d'un point qui me semblait obscur dans la réflexion de Frantzoze.
Un deuxième point, plus petit je l'espère, concernait l'humour absurde. Alors pour revenir à un point que j'ai précédemment évoqué, je pense qu'on est le moins bien placer pour définir ce qui est un type d'humour, ne serait-ce que parce que nous avons tous une expérience et un vécu différent. Mais l'humour absurde est, à mon sens, aussi difficile à définir que le troisième degré d'humour. Sa définition varie selon les individus à qui j'ai pu poser la question.
Pour proposer ma définition personnelle de l'humour absurde, je dirais que c'est une tournure de pensée qui va à l'encontre de notre façon de réfléchir habituelle. L'humour absurde fonctionne parce qu'il allume une lumière dans notre esprit : "Eh, mais ce n'est pas normal ce que j'entends là !". De là l'idée que l'humour absurde est compliqué à définir et à ressentir, car nous avons tous une façon de penser à priori différente.
Si je peux prendre un exemple de ce que je considère personnellement comme un chef d'oeuvre d'absurde, ce serait Alice au Pays des Merveilles (le conte ou le film de Disney, les deux sont géniaux de toute façon). C'est un détachement par rapport à notre raisonnement habituel. L'absurde serait donc un mode de pensée à l'opposé complet de la logique ? Je pense que oui et non : l'humour absurde peut aussi venir d'une logique poussé à l'extrême (à mon sens !).
Pour clarifier un peu, et surtout parce que je suis un grand amateur d'humour absurde, je vais donner un cas concret. Voici un exemple de logique poussée dans ses dernier retranchements. Je souligne les passages les plus importants selon moi. L'auteur de ce texte n'est autre que Jacques Rouxel (ceux qui connaissent sauront de suite de quoi je vais traiter ) !
- Spoiler:
- Cours de logique Shadok, au programme : les passoires.
Toute passoire est un instrument défini par trois choses : l'intérieur, l'extérieur, et les trous. L'intérieur est généralement placé au dessus de l'extérieur, et se compose le plus souvent de nouilles et d'eau. Les trous ne sont pas importants : en effet une expérience simple montre qu'on ne change pas notablement les qualités de l'instrument en réduisant de moitié le nombre de trous. Etc, etc... Et à la limite jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de trous du tout. D'où théorème : la notion de passoire est indépendante de la notion de trous, et réciproquement.
On appelle GA, ou passoire du premier ordre, les passoires qui ne laissent passer ni les nouilles, ni l'eau. On appelle BU, ou passoire du deuxième ordre, les passoires qui laissent passer et les nouilles et l'eau. On appelle ZO, ou passoire complexe, les passoires qui laissent passer les nouilles ou l'eau, quelquefois oui, et quelquefois pas.
Pour qu'une passoire complexe laisse passer l'eau et pas les nouilles, il faut et il suffit que le diamètre des trous soit notablement inférieur au diamètre des nouilles. Et inversement : pour qu'une passoire laisse passer les nouilles et pas l'eau, il faut et il suffit que le diamètre des trous soit notablement inférieur au diamètre de l'eau.
Pour revenir aux passoires du premier ordre, il y en a de deux sortes : les passoires qui ne laissent passer ni les nouilles ni l'eau dans un sens et dans l'autre, et les passoires qui ne laissent passer ni les nouilles ni l'eau dans un seul sens seulement. Et ces passoires là, on les appelle des casseroles.
Il y a trois sortes de casseroles : les casseroles avec la queue à gauche, les casseroles avec la queue à droite, et les casseroles avec pas de queue du tout. Et ces casseroles là, on les appelle des autobus. Il y a trois sortes d'autobus : les autobus qui marchent à gauche, les autobus qui marchent à droite, et les autobus qui ne marchent ni dans un sens, ni dans l'autre. Et ces autobus là, on les appelle les casseroles. Il y a trois sortes de casseroles : les casseroles avec la queue à gauche, les casseroles avec la queue à droite, et les casseroles avec pas de queue du tout. Et ces casseroles là, on les appelle...
Suite à ce petit intermède, nous pouvons amorcer une conclusion en citant de nouveau l'humour absurde comme étant une pensée allant à l'encontre de nos standards. Un raisonnement différent, soit dénué de sens logique, soit au contraire empli de la pensée cartésienne. J'aurais de nombreux autres exemples personnels à partager, mais comme supposé dans ma première réflexion, nous avons tous un sens de l'humour personnalisé et subjectif, aussi je peux très bien être actuellement en train de prêcher dans le désert que de toucher au vif le lectorat.
Ainsi, nous serions amenés à penser que l'humour est un sujet trop vaste pour être pris à la légère, et pour citer un auteur dont j'ai oublié le nom : "L'humour est une chose trop sérieuse pour être laissée à des petits rigolos" (ou quelque chose comme ça, malheureusement ma mémoire se souvient d'avantage de citations drôles, mais il me semble que c'était Voltaire ou une autre Lumière qui avait affirmé ceci, de façon mieux tournée sans doute).
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- Bjorgman
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Localisation : Mystère. En tous cas, il fait froid
Re: Débats en tout genre
Dim 05 Oct 2014, 12:08
Tout comme Kalegula, je ne pense pas que l'intelligence ai un rapport plus ou moins direct avec l'humour, même si certes, il faut posséder certaines connaissances dans un domaine pour pouvoir comprendre certaines blagues (comme cette blague qu'on faisait en S "Exponentielle et Logarithme vont au resto, qui paye? Expo car Logarithme ne paie rien (Népérien)")
Mais là, on est plus dans le domaine de la culture. Le lien entre l'intelligence et la culture est un autre débat...
Je pense plutôt que ça a un lien avec notre ouverture d'esprit et notre opinion sur nous même.
Certaines personnes adorent blaguer, mais n'aiment pas les blagues dont ils sont le sujet (où sont ils n'ont pas "choisi" d'être le sujet). Notre humour a sans doute un lien par rapport à notre capacité à rire de nous même, de nos défauts et maladresses ainsi que notre vision de la société.
Après les gens ne sont pas sensibles aux même humours. Par exemple, si on prend les humoristes, beaucoup ont des styles radicalement différents.
J'adore l'humour noir de Jeremy Ferrari, mais je connais des gens que ça met extrêmement mal à l'aise. Alors que d'un autre côté, j'ai plus de mal avec l'humour de Jean Marie Bigard, qui portant plait à beaucoup.
Mais là, on est plus dans le domaine de la culture. Le lien entre l'intelligence et la culture est un autre débat...
Je pense plutôt que ça a un lien avec notre ouverture d'esprit et notre opinion sur nous même.
Certaines personnes adorent blaguer, mais n'aiment pas les blagues dont ils sont le sujet (où sont ils n'ont pas "choisi" d'être le sujet). Notre humour a sans doute un lien par rapport à notre capacité à rire de nous même, de nos défauts et maladresses ainsi que notre vision de la société.
Après les gens ne sont pas sensibles aux même humours. Par exemple, si on prend les humoristes, beaucoup ont des styles radicalement différents.
J'adore l'humour noir de Jeremy Ferrari, mais je connais des gens que ça met extrêmement mal à l'aise. Alors que d'un autre côté, j'ai plus de mal avec l'humour de Jean Marie Bigard, qui portant plait à beaucoup.
- Kalegula
- Messages : 935
Date d'inscription : 28/05/2014
Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Dim 19 Oct 2014, 12:36
Bien, étant donné que certains d'entre nous ont besoin de travailler leur compétences argumentatives (dans un cadre d'études supérieures, cela va de soit), je propose une discussion sur ce qui est vulgairement appelé l'intelligence. Qu'en pensez-vous ?
Frantzoze, cette fois ci c'est bien toi qui est à l'origine de cette idée, donc je t'en prie, ne nous prive pas de tes avis !
Comme précédemment, je posterai une réflexion plus détaillée ultérieurement, étant donné qu'il me faut environ deux heures pour rédiger un post à peu près lisible et ordonné, et que j'ai l'intention de manger avant 15h cet après midi
Frantzoze, cette fois ci c'est bien toi qui est à l'origine de cette idée, donc je t'en prie, ne nous prive pas de tes avis !
Comme précédemment, je posterai une réflexion plus détaillée ultérieurement, étant donné qu'il me faut environ deux heures pour rédiger un post à peu près lisible et ordonné, et que j'ai l'intention de manger avant 15h cet après midi
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Re: Débats en tout genre
Dim 19 Oct 2014, 12:57
Vulgairement ?
Je ne saisis pas ton propos là :/ En quoi le terme "intelligence" est-il vulgaire ?
Je ne saisis pas ton propos là :/ En quoi le terme "intelligence" est-il vulgaire ?
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Dim 19 Oct 2014, 13:16
Non mais ne prends pas mais arguments fantaisiste et surtout usités dans le cadre d'un argumentaire basé sur l'humour absurde pour me confier la paternité de ton choix de débat!
- Kalegula
- Messages : 935
Date d'inscription : 28/05/2014
Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Dim 19 Oct 2014, 15:01
PG, le terme vulgaire a de nos jours perdu son véritable sens (un peu comme le mot "pervers", merci les mangas et leur traduction française qui n'a pas pu trouver de meilleur terme ^^), en fait vulgaire désigne quelque chose de répandu, et surtout accessible et utilisé par les profanes et les non connaisseurs.
Quand on parle de certains plantes, on peut leur donner l'adjectif vulgaire, car c'est le genre le plus répandu (e.g. Thymus vulgaris, le thym vulgaire, que l'on croise très fréquemment).
De même on parle de vulgarisation scientifique quand un spécialiste s'exprime de façon à être compris par des individus n'ayant pas les connaissances ou le niveau d'études pour pouvoir suivre s'il utilisait les termes appropriés (e.g. toute la collection des livres "Pour les Nuls", même si l'exemple en lui même est vulgaire X) ).
Si vulgaire a le sens que lui donne la plupart des gens, c'est en un sens correct, car l'idée que le M.tout-le-monde utilise un langage peu châtié est assez répandue ^^
Ce n'est pas une mauvaise utilisation, c'est juste que le terme vulgaire perd son véritable sens à force d'être utilisé dans un seul cas.
Quant à Frantzoze, j'avais cru dans ton post concernant l'humour que tu voulais discuter sur l'intelligence, si ce n'est pas le cas, au temps pour moi Mais je souhaiterais maintenir quand même le débat !
Quand on parle de certains plantes, on peut leur donner l'adjectif vulgaire, car c'est le genre le plus répandu (e.g. Thymus vulgaris, le thym vulgaire, que l'on croise très fréquemment).
De même on parle de vulgarisation scientifique quand un spécialiste s'exprime de façon à être compris par des individus n'ayant pas les connaissances ou le niveau d'études pour pouvoir suivre s'il utilisait les termes appropriés (e.g. toute la collection des livres "Pour les Nuls", même si l'exemple en lui même est vulgaire X) ).
Si vulgaire a le sens que lui donne la plupart des gens, c'est en un sens correct, car l'idée que le M.tout-le-monde utilise un langage peu châtié est assez répandue ^^
Ce n'est pas une mauvaise utilisation, c'est juste que le terme vulgaire perd son véritable sens à force d'être utilisé dans un seul cas.
Quant à Frantzoze, j'avais cru dans ton post concernant l'humour que tu voulais discuter sur l'intelligence, si ce n'est pas le cas, au temps pour moi Mais je souhaiterais maintenir quand même le débat !
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Re: Débats en tout genre
Dim 19 Oct 2014, 15:10
Ah d'accord, c'est juste que pour moi ce mot est très péjoratif.
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mar 04 Nov 2014, 15:06
Comme vous le savez c'est la pleine periode des récompenses littéraires avec le Goncourt qui sera décerné demain.
On a longtemps parlé d'une crise du livre, à cause d'internet, des différents ecrans...et du désamour des jeunes pour la lecture.
Pourtant un français sur quatre a déja écrit un roman (publié ou non). De ce paradoxe je m'interroge
Est-il encore important de lire des romans (peu importe le style), et vu le paradoxe d'auteurs dits "commerciaux" qui vendent des dizaines de milliers voir centaines de milliers de livres alors que les plus jeunes soupirent de desespoir quand on leur demande de lire un livre, l'enseignement de la littérature à l'école est elle encore adaptée à nos sociétés? (comprendre, on étudit les auteurs "classiques" mais n'est il pas désormais préférable d'ouvrir pleinement sur la littérature contemporaine...en somme, étudier Musso au collège par exemple?), car s'ils sont décriés pour leur style, il n'en demeurent pas moins qu'ils font lire et donnent envie de lire, d'où ma dernière question, dans un roman l'important n'est il pas aussi de transmettre le plaisir de lire?
Je sens déja qu'Ansa va bondir en lisant ce texte introductif suivi de ces problématiques
On a longtemps parlé d'une crise du livre, à cause d'internet, des différents ecrans...et du désamour des jeunes pour la lecture.
Pourtant un français sur quatre a déja écrit un roman (publié ou non). De ce paradoxe je m'interroge
Est-il encore important de lire des romans (peu importe le style), et vu le paradoxe d'auteurs dits "commerciaux" qui vendent des dizaines de milliers voir centaines de milliers de livres alors que les plus jeunes soupirent de desespoir quand on leur demande de lire un livre, l'enseignement de la littérature à l'école est elle encore adaptée à nos sociétés? (comprendre, on étudit les auteurs "classiques" mais n'est il pas désormais préférable d'ouvrir pleinement sur la littérature contemporaine...en somme, étudier Musso au collège par exemple?), car s'ils sont décriés pour leur style, il n'en demeurent pas moins qu'ils font lire et donnent envie de lire, d'où ma dernière question, dans un roman l'important n'est il pas aussi de transmettre le plaisir de lire?
Je sens déja qu'Ansa va bondir en lisant ce texte introductif suivi de ces problématiques
- Kalegula
- Messages : 935
Date d'inscription : 28/05/2014
Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Mar 04 Nov 2014, 22:36
Question très pertinente Frantzoze, cependant le temps me manquant pour l'instant, je vais me contenter de conseiller à ceux qui se posent la même question que toi de lire "Comme un roman", de Daniel Pennac, qui aborde le problème du désintérêt de la lecture classique parmi les dernières générations...
Même s'il ne traite pas toutes tes questions, il amorce déjà une sérieuse réflexion sur pas mal de points intéressants !
Même s'il ne traite pas toutes tes questions, il amorce déjà une sérieuse réflexion sur pas mal de points intéressants !
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- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 05 Nov 2014, 07:21
Je tiens à témoigner.
Bien qu'étant en prépa économique, j'ai constaté avec stupeur la façon dont la grosse majorité de ma classe souffle et se plaint dès que les profs annoncent une lecture. La première chose qu'ils demandent; c'est le nombre de pages
Ils s'y mettent toujours à la dernière minute, viennent chialer sur le groupe FB pour reporter le contrôle et se contentent de lire des résumés sur internet.
Ah bah oui mes cocos, on peut pas acquérir de la culture générale sans faire un minimum d'effort de lecture.
Je me retiens vraiment de leur demander "Mais pourquoi vous êtes venus en prépa alors ?".
8 étaient absents pour le dernier DS avant les vacances.
J'ai discuté avec ma prof de lettres et elle m'a confié avoir constater que les élèves devenaient de plus en plus "chochottes".
Elle enseigne aussi au lycée et tire le même constat.
Je serai aussi d'accord pour traiter de lectures contemporaines...histoire de ne pas complètement faire décrocher les élèves hermétiques à la littérature classique.
Bien qu'étant en prépa économique, j'ai constaté avec stupeur la façon dont la grosse majorité de ma classe souffle et se plaint dès que les profs annoncent une lecture. La première chose qu'ils demandent; c'est le nombre de pages
Ils s'y mettent toujours à la dernière minute, viennent chialer sur le groupe FB pour reporter le contrôle et se contentent de lire des résumés sur internet.
Ah bah oui mes cocos, on peut pas acquérir de la culture générale sans faire un minimum d'effort de lecture.
Je me retiens vraiment de leur demander "Mais pourquoi vous êtes venus en prépa alors ?".
8 étaient absents pour le dernier DS avant les vacances.
J'ai discuté avec ma prof de lettres et elle m'a confié avoir constater que les élèves devenaient de plus en plus "chochottes".
Elle enseigne aussi au lycée et tire le même constat.
Je serai aussi d'accord pour traiter de lectures contemporaines...histoire de ne pas complètement faire décrocher les élèves hermétiques à la littérature classique.
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 05 Nov 2014, 11:34
Tu poses ici un constat effectivement d'un clair désamour de la jeunesse pour la lecture...qui voit la lecture scolaire
Et effectivement, beaucoup soupirent à l'idée d'aller acheter même s'il ne coute qu'un euro Germinal de Zola ou Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier (au passage ce bouquin est d'un ennui...)
Ils ne voient des lors qu'un immense pavé qu'on les force à lire...l'histoire ne les interessent guère si ça n'est pas du tout.
Bref c'est davantage une corvée.
Les programmes scolaires devraient à mon sens davantage reflechir à cette problématique en s'attachant à donner le gout de la lecture aux élèves et surtout s'adapter à l'évolution de la société. Désormais, nous sommes une société d'archi consommateurs-zappeurs où tout va plus vite.
Tu cherches une info...tu pianotes sur ton I Phone / Galaxy / Tablette/ (autres marques) et Dieu Wikipedia / Google te donne ta réponse.
Tu veux te déplacer...la voiture est ton ami, tu peux traverser le pays en quelques heures grace au TGV, faire le tour du monde en 24 heures et communiquer instantanément partout avec tout le monde.
Tu fais tes courses...bah là Carrefour est ton ami, de rayon en rayon tu remplis ton caddie à toute vitesse et passe à la caisse (automatique) pour payer en CB et vite tout dans le coffre de la voiture on fonce à la maison.
Ensuite, t'allumes ton ordi...tu hurles quand ta page internet met plus de 10 secondes à s'afficher. A la TV, le programme te gonfle, tu ne lui laisse pas de seconde chance...tu zappes plus vite que ton ombre.
Dans ces conditions...comment imaginer se poser pendant plusieurs heures avec LE MEME livre quand tu t'es habitué à te goinfrer d'informations que tu survoles...car maintenant, tu envoies ton texto tout en consultant internet sur ton ordi avec ton emission de TV en fond sonore...bref trois activités en même temps.
Un livre par contre...bah tu ne peux être qu'avec lui...rester une minute sur la même page...QUELLE TORTURE dans ce monde où tout va très (trop) vite.
Donc pour avoir une chance...la litterature s'est adaptée, réduisant ses descriptions, interragissant avec le lecteur, l'action, la trame tout va plus vite (idem à la TV/ Cinéma...comparez le rythme d'un film des années 50 où vous piquez du nez devant vu les longueurs et un bon blockbuster bien d'aujourd'hui avec une explosion toutes les 30 secondes...où Jack Bauer qui tout les jours sauve le monde en 24heures! )
Et dans notre imaginaire collecti, lire un livre nous ait penser à l'école...déja l'école n'est pas un endroit joyeux pour tout le monde. Mais le livre de l'école...bah c'est la littérature classique...avec une écriture, un rythme tellement plus lent que la société actuelle et ses SMS/ Tweets
Comment réussir à se plonger dans un roman qui commence par 20 pages de descriptions?...impossible
A moins d'avoir pu/su s'habituer à lire, à couper avec cette société où à l'instar du lapin blanc on court après le temps.
Pourtant dans notre apprentissage on a appris à marcher avant de courir...la littérature peut avoir cette chance...en apprenant aux gens à ralentir...donc arriver à terme à la litterature classique, et non l'inverse comme le propose aujourd'hui l'école. Car dès l'instant où vous savez prendre le temps de lire...et surtout d'avoir le gout de lire. Vous ne trouverez plus que prendre un livre est une torture, même si son rythme est lent. Et vous découvrez alors ses charmes. Un autre monde. Un imaginaire certes, mais surtout un monde réel, où l'on a le droit de prendre son temps. Où le temps n'est pas de l'argent, mais bien la vie...car finalement quand on passe sa vie à courir après le temps...a-t-on le temps de vivre sa vie?
pris par l'enthousiasme de la rédaction...je constate que ce message est long, et dans ce monde que je décris où tout va trop vite et où l'on zappe...sera-t-il lu jusqu'au bout?
Et effectivement, beaucoup soupirent à l'idée d'aller acheter même s'il ne coute qu'un euro Germinal de Zola ou Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier (au passage ce bouquin est d'un ennui...)
Ils ne voient des lors qu'un immense pavé qu'on les force à lire...l'histoire ne les interessent guère si ça n'est pas du tout.
Bref c'est davantage une corvée.
Les programmes scolaires devraient à mon sens davantage reflechir à cette problématique en s'attachant à donner le gout de la lecture aux élèves et surtout s'adapter à l'évolution de la société. Désormais, nous sommes une société d'archi consommateurs-zappeurs où tout va plus vite.
Tu cherches une info...tu pianotes sur ton I Phone / Galaxy / Tablette/ (autres marques) et Dieu Wikipedia / Google te donne ta réponse.
Tu veux te déplacer...la voiture est ton ami, tu peux traverser le pays en quelques heures grace au TGV, faire le tour du monde en 24 heures et communiquer instantanément partout avec tout le monde.
Tu fais tes courses...bah là Carrefour est ton ami, de rayon en rayon tu remplis ton caddie à toute vitesse et passe à la caisse (automatique) pour payer en CB et vite tout dans le coffre de la voiture on fonce à la maison.
Ensuite, t'allumes ton ordi...tu hurles quand ta page internet met plus de 10 secondes à s'afficher. A la TV, le programme te gonfle, tu ne lui laisse pas de seconde chance...tu zappes plus vite que ton ombre.
Dans ces conditions...comment imaginer se poser pendant plusieurs heures avec LE MEME livre quand tu t'es habitué à te goinfrer d'informations que tu survoles...car maintenant, tu envoies ton texto tout en consultant internet sur ton ordi avec ton emission de TV en fond sonore...bref trois activités en même temps.
Un livre par contre...bah tu ne peux être qu'avec lui...rester une minute sur la même page...QUELLE TORTURE dans ce monde où tout va très (trop) vite.
Donc pour avoir une chance...la litterature s'est adaptée, réduisant ses descriptions, interragissant avec le lecteur, l'action, la trame tout va plus vite (idem à la TV/ Cinéma...comparez le rythme d'un film des années 50 où vous piquez du nez devant vu les longueurs et un bon blockbuster bien d'aujourd'hui avec une explosion toutes les 30 secondes...où Jack Bauer qui tout les jours sauve le monde en 24heures! )
Et dans notre imaginaire collecti, lire un livre nous ait penser à l'école...déja l'école n'est pas un endroit joyeux pour tout le monde. Mais le livre de l'école...bah c'est la littérature classique...avec une écriture, un rythme tellement plus lent que la société actuelle et ses SMS/ Tweets
Comment réussir à se plonger dans un roman qui commence par 20 pages de descriptions?...impossible
A moins d'avoir pu/su s'habituer à lire, à couper avec cette société où à l'instar du lapin blanc on court après le temps.
Pourtant dans notre apprentissage on a appris à marcher avant de courir...la littérature peut avoir cette chance...en apprenant aux gens à ralentir...donc arriver à terme à la litterature classique, et non l'inverse comme le propose aujourd'hui l'école. Car dès l'instant où vous savez prendre le temps de lire...et surtout d'avoir le gout de lire. Vous ne trouverez plus que prendre un livre est une torture, même si son rythme est lent. Et vous découvrez alors ses charmes. Un autre monde. Un imaginaire certes, mais surtout un monde réel, où l'on a le droit de prendre son temps. Où le temps n'est pas de l'argent, mais bien la vie...car finalement quand on passe sa vie à courir après le temps...a-t-on le temps de vivre sa vie?
pris par l'enthousiasme de la rédaction...je constate que ce message est long, et dans ce monde que je décris où tout va trop vite et où l'on zappe...sera-t-il lu jusqu'au bout?
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Mer 05 Nov 2014, 12:44
Tu poses ici un constat effectivement d'un clair désamour de la jeunesse pour la lecture...qui voit la lecture scolaire
Et effectivement, beaucoup soupirent à l'idée d'aller acheter même s'il ne coute qu'un euro Germinal de Zola ou Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier (au passage ce bouquin est d'un ennui...)
Ils ne voient des lors qu'un immense pavé qu'on les force à lire...l'histoire ne les interessent guère si ça n'est pas du tout.
Bref c'est davantage une corvée.
Attention les livres coûtent minimums deux euros à part si tu vas à Mémoranda . Pour les exemples je comprend que tu cites Zola car Germinal est tout de même connu, mais le grand meaulnes franchement il est de moins en moins connu... La lecture est une corvée... Mouais ça dépend pour qui, pour quoi ^^mais c'est sûr qu'il est plus plaisant de lire un livre de son plein gré ^^ Mais entre apprendre pleins de formules de maths, de science-physique, d'SVT ou lire un livre quelle est la plus grande corvée ?
Les programmes scolaires devraient à mon sens davantage reflechir à cette problématique en s'attachant à donner le gout de la lecture aux élèves et surtout s'adapter à l'évolution de la société. Désormais, nous sommes une société d'archi consommateurs-zappeurs où tout va plus vite.
Les programmes scolaires ont qu'à leur proposer les lettres persanes de montesquieu ou les contes des 1001 nuits dans ce cas,.. Bah quoi ? c'est bien l'adaptation de l'évolution de la société ^^ Ou alors ils ont qu'à inventé un moyen pour que les élèves soient inspirés dans les livres pour vivre l'histoire et non la lire... Whouaaaa ça serait classe n'empêche !! (non non Ansa ne nage pas en plein délire !! )
Tu cherches une info...tu pianotes sur ton I Phone / Galaxy / Tablette/ (autres marques) et Dieu Wikipedia / Google te donne ta réponse.
C'est pas faux ! et des fois de bons résumés vaillent mieux qu'une lecture de bouquin s'ils sont bien exploités et faits par des profs de français.
Tu veux te déplacer...la voiture est ton ami, tu peux traverser le pays en quelques heures grace au TGV, faire le tour du monde en 24 heures et communiquer instantanément partout avec tout le monde.
Tu fais tes courses...bah là Carrefour est ton ami, de rayon en rayon tu remplis ton caddie à toute vitesse et passe à la caisse (automatique) pour payer en CB et vite tout dans le coffre de la voiture on fonce à la maison.
Ensuite, t'allumes ton ordi...tu hurles quand ta page internet met plus de 10 secondes à s'afficher. A la TV, le programme te gonfle, tu ne lui laisse pas de seconde chance...tu zappes plus vite que ton ombre.
Marseille/Paris 3h14 avec OUIGO (quoi ? non je fais pas de la promo c'est pas vrai !)... Ah oui Jules Vernes est bien loin avec son petit tour du monde en 80 jours ! Ou alors si t'as la flemme de faire tes courses tu peux tout commander via internet et tu vas tout récupérer à telle heure ... Tiens on se la joue Lucky Luke...
Dans ces conditions...comment imaginer se poser pendant plusieurs heures avec LE MEME livre quand tu t'es habitué à te goinfrer d'informations que tu survoles...car maintenant, tu envoies ton texto tout en consultant internet sur ton ordi avec ton emission de TV en fond sonore...bref trois activités en même temps.
Un livre par contre...bah tu ne peux être qu'avec lui...rester une minute sur la même page...QUELLE TORTURE dans ce monde où tout va très (trop) vite.
Tu n'es pas obligé de lire le même livre tu peux lire plusieurs livres à la fois (moi perso c'est ce que je fais, ça va plus vite pour finir tous tes livres ... Bon après je sais qu'y en a qui ne savent pas faire comme ça ! mais quand t'as 8 livres à lire vaut mieux savoir faire ) C'est vrai que l'homme est devenu multi-fonction. Par contre tu peux très bien lire un livre avec un fond de musique classique pour te porter un peu plus dans le texte donc ça donne deux activités à la fois ... Le monde va vite... Certes mais le temps lui est encore mou... Il est encore trop lent pour moi mais ce n'est qu'un point de vue subjectif ^^
Donc pour avoir une chance...la litterature s'est adaptée, réduisant ses descriptions, interragissant avec le lecteur, l'action, la trame tout va plus vite (idem à la TV/ Cinéma...comparez le rythme d'un film des années 50 où vous piquez du nez devant vu les longueurs et un bon blockbuster bien d'aujourd'hui avec une explosion toutes les 30 secondes...où Jack Bauer qui tout les jours sauve le monde en 24heures! )
On sait bien qu'à petits feux la littérature s'éteindra car les gens s'y intéressent moins et c'est bien triste films des années 50 ça me fait penser à Sissi c'est vrai qu'ils durent longtemps mais le spectateur a bien le temps de comprendre l'action alors que maintenant on dirait qu'ils font un concours du plus d'enchaînements d'actions dans les films en tout genre... c'est dommage (à part si c'est un film d'action) car vite et bien ça va pas ensemble.
Et dans notre imaginaire collecti, lire un livre nous ait penser à l'école...déja l'école n'est pas un endroit joyeux pour tout le monde. Mais le livre de l'école...bah c'est la littérature classique...avec une écriture, un rythme tellement plus lent que la société actuelle et ses SMS/ Tweets
Comment réussir à se plonger dans un roman qui commence par 20 pages de descriptions?...impossible
A moins d'avoir pu/su s'habituer à lire, à couper avec cette société où à l'instar du lapin blanc on court après le temps.
C'est vrai que la littérature classique est souvent assimilée à l'école, pourtant il existe des gens fous qui ont appris à aimer les auteurs donnés à l'école et qui décident de lire de leurs propres initiatives des livres classiques ... Un livre avec 20 pages de descriptions... Hum Balzac, Zola, Maupassant, Chateaubriand, Hugo... Certes ça peut être barbant mais c'est là le pillier de certains mouvements littéraires (naturalisme, romantisme, réalisme). Donc c'est très bénéfique pour le lecteur pour qu'il puisse se visualiser EXACTEMENT la scène .
Pourtant dans notre apprentissage on a appris à marcher avant de courir...la littérature peut avoir cette chance...en apprenant aux gens à ralentir...donc arriver à terme à la litterature classique, et non l'inverse comme le propose aujourd'hui l'école. Car dès l'instant où vous savez prendre le temps de lire...et surtout d'avoir le gout de lire. Vous ne trouverez plus que prendre un livre est une torture, même si son rythme est lent. Et vous découvrez alors ses charmes. Un autre monde. Un imaginaire certes, mais surtout un monde réel, où l'on a le droit de prendre son temps. Où le temps n'est pas de l'argent, mais bien la vie...car finalement quand on passe sa vie à courir après le temps...a-t-on le temps de vivre sa vie?
vous avez 4 heures !! je dirais juste ceci ; le temps est bien chiant, il n'est que nostalgie (oui on cherche à retourner dans notre passé) et espoir (on attend beaucoup de l'avenir) mais il n'est jamais le présent...
Et pour ce que tu as dit avant la question : Je suis tout à fait d'accord !!!
pris par l'enthousiasme de la rédaction...je constate que ce message est long, et dans ce monde que je décris où tout va trop vite et où l'on zappe...sera-t-il lu jusqu'au bout?
Tu as ta réponse
Et effectivement, beaucoup soupirent à l'idée d'aller acheter même s'il ne coute qu'un euro Germinal de Zola ou Le Grand Meaulnes d'Alain Fournier (au passage ce bouquin est d'un ennui...)
Ils ne voient des lors qu'un immense pavé qu'on les force à lire...l'histoire ne les interessent guère si ça n'est pas du tout.
Bref c'est davantage une corvée.
Attention les livres coûtent minimums deux euros à part si tu vas à Mémoranda . Pour les exemples je comprend que tu cites Zola car Germinal est tout de même connu, mais le grand meaulnes franchement il est de moins en moins connu... La lecture est une corvée... Mouais ça dépend pour qui, pour quoi ^^mais c'est sûr qu'il est plus plaisant de lire un livre de son plein gré ^^ Mais entre apprendre pleins de formules de maths, de science-physique, d'SVT ou lire un livre quelle est la plus grande corvée ?
Les programmes scolaires devraient à mon sens davantage reflechir à cette problématique en s'attachant à donner le gout de la lecture aux élèves et surtout s'adapter à l'évolution de la société. Désormais, nous sommes une société d'archi consommateurs-zappeurs où tout va plus vite.
Les programmes scolaires ont qu'à leur proposer les lettres persanes de montesquieu ou les contes des 1001 nuits dans ce cas,.. Bah quoi ? c'est bien l'adaptation de l'évolution de la société ^^ Ou alors ils ont qu'à inventé un moyen pour que les élèves soient inspirés dans les livres pour vivre l'histoire et non la lire... Whouaaaa ça serait classe n'empêche !! (non non Ansa ne nage pas en plein délire !! )
Tu cherches une info...tu pianotes sur ton I Phone / Galaxy / Tablette/ (autres marques) et Dieu Wikipedia / Google te donne ta réponse.
C'est pas faux ! et des fois de bons résumés vaillent mieux qu'une lecture de bouquin s'ils sont bien exploités et faits par des profs de français.
Tu veux te déplacer...la voiture est ton ami, tu peux traverser le pays en quelques heures grace au TGV, faire le tour du monde en 24 heures et communiquer instantanément partout avec tout le monde.
Tu fais tes courses...bah là Carrefour est ton ami, de rayon en rayon tu remplis ton caddie à toute vitesse et passe à la caisse (automatique) pour payer en CB et vite tout dans le coffre de la voiture on fonce à la maison.
Ensuite, t'allumes ton ordi...tu hurles quand ta page internet met plus de 10 secondes à s'afficher. A la TV, le programme te gonfle, tu ne lui laisse pas de seconde chance...tu zappes plus vite que ton ombre.
Marseille/Paris 3h14 avec OUIGO (quoi ? non je fais pas de la promo c'est pas vrai !)... Ah oui Jules Vernes est bien loin avec son petit tour du monde en 80 jours ! Ou alors si t'as la flemme de faire tes courses tu peux tout commander via internet et tu vas tout récupérer à telle heure ... Tiens on se la joue Lucky Luke...
Dans ces conditions...comment imaginer se poser pendant plusieurs heures avec LE MEME livre quand tu t'es habitué à te goinfrer d'informations que tu survoles...car maintenant, tu envoies ton texto tout en consultant internet sur ton ordi avec ton emission de TV en fond sonore...bref trois activités en même temps.
Un livre par contre...bah tu ne peux être qu'avec lui...rester une minute sur la même page...QUELLE TORTURE dans ce monde où tout va très (trop) vite.
Tu n'es pas obligé de lire le même livre tu peux lire plusieurs livres à la fois (moi perso c'est ce que je fais, ça va plus vite pour finir tous tes livres ... Bon après je sais qu'y en a qui ne savent pas faire comme ça ! mais quand t'as 8 livres à lire vaut mieux savoir faire ) C'est vrai que l'homme est devenu multi-fonction. Par contre tu peux très bien lire un livre avec un fond de musique classique pour te porter un peu plus dans le texte donc ça donne deux activités à la fois ... Le monde va vite... Certes mais le temps lui est encore mou... Il est encore trop lent pour moi mais ce n'est qu'un point de vue subjectif ^^
Donc pour avoir une chance...la litterature s'est adaptée, réduisant ses descriptions, interragissant avec le lecteur, l'action, la trame tout va plus vite (idem à la TV/ Cinéma...comparez le rythme d'un film des années 50 où vous piquez du nez devant vu les longueurs et un bon blockbuster bien d'aujourd'hui avec une explosion toutes les 30 secondes...où Jack Bauer qui tout les jours sauve le monde en 24heures! )
On sait bien qu'à petits feux la littérature s'éteindra car les gens s'y intéressent moins et c'est bien triste films des années 50 ça me fait penser à Sissi c'est vrai qu'ils durent longtemps mais le spectateur a bien le temps de comprendre l'action alors que maintenant on dirait qu'ils font un concours du plus d'enchaînements d'actions dans les films en tout genre... c'est dommage (à part si c'est un film d'action) car vite et bien ça va pas ensemble.
Et dans notre imaginaire collecti, lire un livre nous ait penser à l'école...déja l'école n'est pas un endroit joyeux pour tout le monde. Mais le livre de l'école...bah c'est la littérature classique...avec une écriture, un rythme tellement plus lent que la société actuelle et ses SMS/ Tweets
Comment réussir à se plonger dans un roman qui commence par 20 pages de descriptions?...impossible
A moins d'avoir pu/su s'habituer à lire, à couper avec cette société où à l'instar du lapin blanc on court après le temps.
C'est vrai que la littérature classique est souvent assimilée à l'école, pourtant il existe des gens fous qui ont appris à aimer les auteurs donnés à l'école et qui décident de lire de leurs propres initiatives des livres classiques ... Un livre avec 20 pages de descriptions... Hum Balzac, Zola, Maupassant, Chateaubriand, Hugo... Certes ça peut être barbant mais c'est là le pillier de certains mouvements littéraires (naturalisme, romantisme, réalisme). Donc c'est très bénéfique pour le lecteur pour qu'il puisse se visualiser EXACTEMENT la scène .
Pourtant dans notre apprentissage on a appris à marcher avant de courir...la littérature peut avoir cette chance...en apprenant aux gens à ralentir...donc arriver à terme à la litterature classique, et non l'inverse comme le propose aujourd'hui l'école. Car dès l'instant où vous savez prendre le temps de lire...et surtout d'avoir le gout de lire. Vous ne trouverez plus que prendre un livre est une torture, même si son rythme est lent. Et vous découvrez alors ses charmes. Un autre monde. Un imaginaire certes, mais surtout un monde réel, où l'on a le droit de prendre son temps. Où le temps n'est pas de l'argent, mais bien la vie...car finalement quand on passe sa vie à courir après le temps...a-t-on le temps de vivre sa vie?
vous avez 4 heures !! je dirais juste ceci ; le temps est bien chiant, il n'est que nostalgie (oui on cherche à retourner dans notre passé) et espoir (on attend beaucoup de l'avenir) mais il n'est jamais le présent...
Et pour ce que tu as dit avant la question : Je suis tout à fait d'accord !!!
pris par l'enthousiasme de la rédaction...je constate que ce message est long, et dans ce monde que je décris où tout va trop vite et où l'on zappe...sera-t-il lu jusqu'au bout?
Tu as ta réponse
- - Frozen Girl -Légende du Royaume
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Age : 22
Localisation : Sous la pluie à regarder le ciel
Re: Débats en tout genre
Lun 10 Nov 2014, 23:55
Bonjour !
( Je dois surement casser une conversation super intéressante....
Mais me revoilà ! ....Bon pour ceux qui ne me connaissent pas : Je revient après avoir été une grande fan.....et pour les autres : Sa fait du bien de vous revoir !
( Je dois surement casser une conversation super intéressante....
Mais me revoilà ! ....Bon pour ceux qui ne me connaissent pas : Je revient après avoir été une grande fan.....et pour les autres : Sa fait du bien de vous revoir !
- InvitéInvité
Re: Débats en tout genre
Jeu 25 Déc 2014, 19:09
Coucou bon noel tout ça tout ça.
Je remonte ce topic suite au CdG de Saki.
Alors tout le monde le sait la guerre s'arrête à Noel, et c'est le jour où l'on s'aime tous, tout est beau tout est bien tout le monde est gentil (mais le lendemain on recommence à s'étriper).
Mais Saki nous a illustré que tout n'était pas forcément beau et on peut se trouver face à des gamins fort désagréables au moment de l'ouverture du père noel.
Alors voilà, un grand débat sur le boulot du papa noel.
On le sait le vieux monsieur a beau avoir des listes, dès fois il se plante bien comme il faut! (la cravate qui fait de la musique, le pull moche avec des couleurs qu'on déteste...le DVD qu'on voulait pas avoir parce qu'on déteste le film ect)
Alors pour ce cas quand vous recevez un cadeaude merde pardonc..."original", comment doit on réagir? Faut il finir par le dire à la personne que le cadeau bah c'est de la merde euh..."quelque chose à laquelle on ne tient pas particulièrement"
Bon et j'en arrive au cas plus enquiquinant des gosses qui aujourd'hui n'ont plus aucune conscience de la valeur d'un cadeau et trouvent que tout est un dû, étant capable de critiquer ouvertement les présents de Noel, voir même enguirlander ceux qui les offrent car c'est "nul" et/ou "pas assez"... Bref les cadeaux de Noel sont ils un dû? Comment expliquer ce phénomène? Comment le contrer car je pense que nous sommes d'accord pour dire que cela n'est pas acceptable.
Bon et puisqu'on torpille Noel...le fameux repas...Invite-t-on les gens par plaisir ou par obligation familiale...On a tous le cas le l'oncle, du cousin, de la belle soeur, du cousin de la tante d'Odette la fille du cousin Charles... que l'on invite à Noel car c'est le rendez vous familial. Mais au final ce sont des gensque l'on ne peut pas pifrer (décidément le politiquement correct aujourd'hui^^)... avec qui nous n'avons pas de relations ni d'atomes crochus. Et au final on se rend compte qu'on les invite seulement à Noel et l'on se voit sinon aux mariages et/ou aux enterrements (en espérant que le prochain soit le leur )
Et enfin, histoire de clore sur une note plus légère, racontez nous une anecdote pourrie sur un noel...un cadeau naze, une engueulade à table, une dinde cramée dans le four et donc finalement on commande en catastrophe un kebab...
Ah j'oubliais, encore une fois, bon Noel!
Je remonte ce topic suite au CdG de Saki.
Alors tout le monde le sait la guerre s'arrête à Noel, et c'est le jour où l'on s'aime tous, tout est beau tout est bien tout le monde est gentil (mais le lendemain on recommence à s'étriper).
Mais Saki nous a illustré que tout n'était pas forcément beau et on peut se trouver face à des gamins fort désagréables au moment de l'ouverture du père noel.
Alors voilà, un grand débat sur le boulot du papa noel.
On le sait le vieux monsieur a beau avoir des listes, dès fois il se plante bien comme il faut! (la cravate qui fait de la musique, le pull moche avec des couleurs qu'on déteste...le DVD qu'on voulait pas avoir parce qu'on déteste le film ect)
Alors pour ce cas quand vous recevez un cadeau
Bon et j'en arrive au cas plus enquiquinant des gosses qui aujourd'hui n'ont plus aucune conscience de la valeur d'un cadeau et trouvent que tout est un dû, étant capable de critiquer ouvertement les présents de Noel, voir même enguirlander ceux qui les offrent car c'est "nul" et/ou "pas assez"... Bref les cadeaux de Noel sont ils un dû? Comment expliquer ce phénomène? Comment le contrer car je pense que nous sommes d'accord pour dire que cela n'est pas acceptable.
Bon et puisqu'on torpille Noel...le fameux repas...Invite-t-on les gens par plaisir ou par obligation familiale...On a tous le cas le l'oncle, du cousin, de la belle soeur, du cousin de la tante d'Odette la fille du cousin Charles... que l'on invite à Noel car c'est le rendez vous familial. Mais au final ce sont des gens
Et enfin, histoire de clore sur une note plus légère, racontez nous une anecdote pourrie sur un noel...un cadeau naze, une engueulade à table, une dinde cramée dans le four et donc finalement on commande en catastrophe un kebab...
Ah j'oubliais, encore une fois, bon Noel!
- Kalegula
- Messages : 935
Date d'inscription : 28/05/2014
Localisation : La question n'est pas seulement où, mais pourquoi ?
Re: Débats en tout genre
Dim 28 Déc 2014, 14:13
Bon, j'aurais aimé placer ce rapide argument dans le sujet CdG, mais je pense que c'est ici qu'il a plus sa place. Non Frantzoze, ce n'est pas par rapport à ta constatation, mais ça n'empêchera personne d'y répondre plus tard
En effet, je constate que depuis le début de ce topic, tout les sujets sont allés dans un seul sens : tout le monde est d'accord avec tout le monde ! Celle qui a créé ce topic l'a baptisé topic des débats, or ce que nous voyons n'est autre que du consensus, de l'argumentaire pour consolider l'opinion générale, déjà rangée à ses côtés. Assez de ces discussions entre entendus, tout ces petits arguments n'aident personne car il n'y a personne à convaincre ou à qui montrer qu'il y a d'autres points de vue !
Je réclame du débat, de la polémique, de l'affrontement rhétorique ! Je revendique la division, l'argumentation, la discussion ! Je veux de la sueur, du sang et des larmes !
Lancez une pierre dans l'eau pour créer des remous : discutez de tout ces innombrables sujets dits sensibles ! La GPA ou la PMA pour femmes ménopausées, l'euthanasie, les implications de la loi dite Taubira, la peine de mort, l'utilisation de l'humain dans la recherche, l'éthique, le droit d'ingérence, la pertinence de la démocratie contemporaine face à un absolutisme, la théologie (ou l'athéologie ), l'eugénisme et le clonage, la dichotomie du chaos et de l'ordre, la morale... Tant de discussions perdues dans le but inavoué d'éviter de se fâcher ou peut-être d'être contrarié dans ses convictions !
Choisissez vos armes et partez défendre vos idées dans le plus grand respect de l'adversaire, la rhétorique n'est qu'un sport comme les autres ! Ma conviction primaire est que nous sommes ici entre individus censés et suffisamment matures pour que nous discutions sans crainte de griefs ou de vexer qui que ce soit.
Bien que cette interventions risque d'être quelque peu superfétatoire, j'espère que, nonobstant le risque de jeter la première pierre, l'un de vous aura le privilège de choisir un sujet un peu plus tranché, et qui permettra enfin un vrai débat.
Voilà, c'était Kalegula, vous pouvez vous rendormir
En effet, je constate que depuis le début de ce topic, tout les sujets sont allés dans un seul sens : tout le monde est d'accord avec tout le monde ! Celle qui a créé ce topic l'a baptisé topic des débats, or ce que nous voyons n'est autre que du consensus, de l'argumentaire pour consolider l'opinion générale, déjà rangée à ses côtés. Assez de ces discussions entre entendus, tout ces petits arguments n'aident personne car il n'y a personne à convaincre ou à qui montrer qu'il y a d'autres points de vue !
Je réclame du débat, de la polémique, de l'affrontement rhétorique ! Je revendique la division, l'argumentation, la discussion ! Je veux de la sueur, du sang et des larmes !
Lancez une pierre dans l'eau pour créer des remous : discutez de tout ces innombrables sujets dits sensibles ! La GPA ou la PMA pour femmes ménopausées, l'euthanasie, les implications de la loi dite Taubira, la peine de mort, l'utilisation de l'humain dans la recherche, l'éthique, le droit d'ingérence, la pertinence de la démocratie contemporaine face à un absolutisme, la théologie (ou l'athéologie ), l'eugénisme et le clonage, la dichotomie du chaos et de l'ordre, la morale... Tant de discussions perdues dans le but inavoué d'éviter de se fâcher ou peut-être d'être contrarié dans ses convictions !
Choisissez vos armes et partez défendre vos idées dans le plus grand respect de l'adversaire, la rhétorique n'est qu'un sport comme les autres ! Ma conviction primaire est que nous sommes ici entre individus censés et suffisamment matures pour que nous discutions sans crainte de griefs ou de vexer qui que ce soit.
Bien que cette interventions risque d'être quelque peu superfétatoire, j'espère que, nonobstant le risque de jeter la première pierre, l'un de vous aura le privilège de choisir un sujet un peu plus tranché, et qui permettra enfin un vrai débat.
Voilà, c'était Kalegula, vous pouvez vous rendormir
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"Plus noir que la nuit, plus chaud que l'enfer, et plus amer que l'existence... Voilà ce que doit être un café !"
"J'aime avoir le dernier mot, bien que je n'apprécie pas toujours être le dernier à parler"
Anonyme
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- Miss OlafLégende du Royaume
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Date d'inscription : 14/12/2013
Age : 31
Localisation : Royaume d'Alsace et d'Arendelle
Re: Débats en tout genre
Dim 28 Déc 2014, 15:34
C'est quoi ce complot ? Tu veux nous diviser c'est ça ?
Pour pas trop flooder, je répondrais à la question de Frantzoze plus tard.
Pour pas trop flooder, je répondrais à la question de Frantzoze plus tard.
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Une maman rêve tout éveillée
Dors mon enfant n’aie plus peur
Le passé reste au fond des cœurs
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